Forum de la rencontre candauliste

Cette aventure que j'aurais aimé vivre n'est que le fruit de mon imagination. Ma compagne (nous l'appellerons Caroline) n'ayant pas la même passion pour le partage et le voyeurisme... ceux et celles qui voudraient en livrer un temoignage visuel me rendraient très heureux (et excité) et me permettraient de donner davantage de corp à la rédaction de mes recits, qui bien que fictifs m'apportent beaucoup de plaisir... j'ose espérer qu'il en sera de même pour vous.

Ce fantasme a fleuri lors d'un retour de week-end. Ma compagne et moi-même revenions d'un mariage. Nous sommes tous deux habités par un mélange de fatigue, d'emotion et d'excitation : tous ces convives apprêtés, ces coiffures, bijoux, robes et chaussures de soirée dansant au rythme des verres qui trinquent et des corp qui se trémoussent nous ont mis l'eau à la bouche. Ayant partagé notre gîte avec une famille pour le week-end, nous n'avons pas eu l'occasion de faire l'amour tous les deux et le trajet de retour à la maison avait un parfum d'ennui et de frustration.

La place du passager avant était encombrée de fleurs et plante.  Nos amis, les mariés, ne pouvant pas les conserver car ils vivaient dans un appartement. Nous avions réussi tant bien que mal à les caler à l'avant de manière à ne rien renverser ou abimer. Caroline s'était installée à l'arrière de la voiture où flottait une note florale.

Dans le rétroviseur, je regardais ma compagne qui s'etait faite belle pour le déjeuner du lendemain de noces, tout en conduisant distraitement. Ses ongles de mains et de pieds vernis, sa robe qui moulait ses formes et dévoilait la naissance de ces seins et sa lingerie... J'espérais en profiter une fois de retour au bercail.

Nous refaisions le film de la soirée : les anecdotes, le menu, les rencontres avec nos voisins de tablée... "Le couple qui nous faisait face etait tres sympa", me répète Caroline pour la 2ème fois. Je lui répond qu'ils étaient aussi très beaux, notamment elle. Je lui avoue que dès l'entrée à la mairie, j'avais remarqué cette rouquine très élégante... Et la discussion dévie rapidement en débat sur la fidélité. Caroline persiste à dire qu'elle préférerait être au courant si jamais je devais lui être infidèle. Je lui explique alors que pour moi, coucher avec quelqu'un d'autre n'est pas envisageable, hormis si elle est d'accord et seulement si elle participe ! "Ah ! Vous les hommes et vos fantasmes d'avoir deux femmes dans votre lit ! " m'envoie t elle. Puis elle continue : "Et pourquoi pas 2 hommes rien que pour moi...". Je reste alors silencieux, affichant un petit sourrire en coin dans mon rétroviseur... Elle se redresse alors sur la banquette arrierre, et piquée au vif par mon silence malicieux, elle ajoute "Ben quoi, ça te plairait de me voir carresser un autre homme ?". Je decide alors d 'y aller franco. Je lui répond : " 2 femmes dans mon lit.... c'est pas tellement mon truc. Par contre, te voir avec un autre homme, ça m'excite carrément." Visiblement, elle ne s'attendait pas à cette réponse... Ses yeux s'agrandissent et elle marque un arrêt, silence. Je comprends que son imagination est en marche, et que ça ne la laisse pas indifférente car elle devient toute rouge.... je poursuis : "ça m'excite vraiment de t'imaginer sucer un autre homme, l'idée de te voir prendre du plaisir, de voir le sexe d'un autre de pénétrer, de te voir t'ouvrir...".
Là je me dis que j'ai peut être un peu forcé le trait, alors j'enchaîne : "tu sais, c'est un fantasme millénaire le candaulisme, rien de nouveau sous le soleil".

Mais Caroline est toujours habitée par les suggestions que son imagination se permet désormais de lui envoyer. Je précise alors : "pour moi, tu seras toujours source de désir, et tout ce qui te donnera du plaisir, m'en donnera ! Par contre, hors de question de ne pas faire partie du jeu, on est ensemble ou rien !".

Caroline se rassoit dans le fond de son siège. "Vraiment, ça te ferai kiffer de me regarder mouiller sur la bite d'un autre homme ?", redemande t elle. Je lui recomfirme mon désir et je lui dit :"oui, et puis, pas seulement regarder, j'ai plutôt envie de participer ? Ça ne t'excite pas l'idee d'être caressée, léchée, pénétrée par 2 hommes en même temps ?".

Elle ne répond pas mais son sourire en dit long. Elle a désormais bien compris que ce n'est pas une blague. Ce n'est pas la première fois qu'on a cette discussion. Mais cette fois, elle finit par dire : "ok mais pas de personnes proches, ni amis, ni collègues, ni voisins."

De mon côté j'ai du mal à réaliser l'accord qui vient de se former entre nous. Le silence revient entre nous et l'exitation est montée d'un cran. Il va faire nuit, nous reste 2h de route et je suis vraiment à l'étroit dans mon pantalon...

Le silence est soudain rompu a la sortie d'un rond-point, lorsque nous apercevons un auto-stoppeur. Je demande innocemment à Caroline dans le feu de l'action "on fait quoi, on le prend ?"

Je m'arrête finalement en bord de route, il arrive à notre hauteur et nous convenons de le déposer 60km plus loin. Il s'installe derrière moi et nous reprenons notre route. On fait les présentations, on papote et on ironise sur le tas de fleurs sur le fauteuil passager. Au fur et à mesure de la discussion je m'aperçois que Caroline m'envoie de nombreux petits regards appuyés. Notre derniere conversation avait visiblement toujours place dans ses pensées. Je profitais d'un arrêt au feu pour jeter un oeil discret à notre hôte : plutôt tres charmant : baroudeur chic, métisse et élancé.

Caroline n'a pas attendu mon feu vert pour lancer de petites perches Mathieu qui n'imaginait pas encore la suite. Prenant des positions lassives, elle se mit a orienter la conversation sur les occasions dans la vie qu'il faut saisir,   les rencontres, l'instant présent. Notre invité dubitatif resta passif. Alors Caroline prit l'initiative de lui lire les lignes de la main.

Elle se decala pour s'installer sur la place centrale arriere et saisit la main de Mathieu. Elle lui effleurait la paume et lui carressait le poignet en se collant contre lui. Je n'en perdais pas une miette, mais cantonné au champ visuel du rétro.

Enfin, Mathieu se mit a rire et déclara ; "tout le monde est ok pour ca ?" Nos regards se croisèrent dans le rétroviseur et je conclus : "ce voyage est tellement long il faut bien s'occuper. Et puis, moi j'ai les mains prises" en désignant le volant d'un mouvement de tête.

Caroline me fixa 3 secondes dans le rétroviseur puis elle enroula ses mains autour de Mathieu et l'embrassa. Je bandais déjà à mort... les mains de Mathieu cherchaient les seins de ma femme au travers de sa robe de soirée, elle carressaient ses jambes. Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu Caro dans cet état. Ils se carresserent ainsi quelques minutes lorsque Caro s'attela à libérer le sexe de Mathieu. Je ne voyais rien mais j'entendais les bruits de ceintures et de braguette. J'entendis surtout un son de contentement sortir de la bouche de Caroline à la vue du sexe de Mathieu. Puis des sons succion et de langue. Caroline faisait de longs râles de plaisir de sa bouche pleine.
Dans mon rétroviseur, je la voyais ce mettre a 4 pattes sur la banquette. Je ne voyais que son cul et ses jambes, de profil et devais me contenter d'imaginer le reste.
Je vis la main de Mathieu remonter la robe de Caro et carresser son entrejambe à travers ses sous-vêtements de fête. Les mains manucurés de caro s'y joignerent pour retirer cette culotte. Elle se pencha vers moi, me la donna et demanda " ça te plaît". Sans attendre, elle repris notre ami en bouche. Sa culotte était trempée. Dans le rétro je voyais désormais les jambes longues et blanches de Caroline, et son cul sur lequel Mathieu promenait sa main.
J'entendis soudain ma femme pousser un cri de plaisir. D'un bref coup d'oeil, je vis qu'il avait glissé un doigt dans son cul. Une giclée de cyprine asperga le fauteuil. Je devais alors me concentrer sur la route, ça devenait dangereux.
Caro se redressa et lança a Mathieu un "coquin !". Elle s'allongea alors sur le fauteuil arrière droit et se débarrassa de tous ses vêtements,   Mathieu en fit autant. J'avais maintenant une bien meilleure vue. Caro ecarta largement ses jambes, sa chatte degoulinais. Mathieu la penetra de 2 puis rapidement 3 doigts. Elle hurla, la cyprine giclait sur mes avant bras. Caro me regardais dans le rétro : "tu vois bien là, tu vois bien ?" Répétait elle en haletant. Nous poussions tous des rales de plaisir.
Puis tout le monde se tut, Mathien laissa reposer le corp de Caro, il s'assit sur la place centrale. Il hissa Caroline qui vint s'asseoir sur lui, la penetrant.
Cette fois je voyais tout, ses petits seins pointés, ses jambes écartés et sa chatte bourrée par une belle queue épaisse. Elle renversa sa tête en arrière, et posa un de ses pieds aux ongles vernis sur l'accoudoir central. A ce moment j'ai failli jouir. Caro elle eu un orgame. Elle etait a lui désormais, il se retira pour la sodomiser, dans la même position. Sa chatte s'ouvrait et se fermait au rytme des va et vient. Je m'appercus alors que Mathieu avait éjaculé dans sa chatte, d'où le sperme sortais.
A ce moment je me suis garé. Caro me regardais droit dans les yeux tandis que Mathien lui prenait tendrement le cul. Elle essuya le sperme de Mathieu de ses lèvres et le repandit sur ses tetons puis sa bouche.

J'hesitais entre me joindre à eux et ne plus bouger tellement l'instant était extatique. Le temps de me rendre à l'arrière du véhicule, Mathieu avait jouit une seconde fois et Caro tremblait de tout son corp. Je glissait alors mon sexe dans  la bouche de Caro alors que de petits jets de cyprine arrosaient Mathieu, toujours en elle. J'ejaculais dans sa bouche, je n'avais jamais joui aussi fort, ses yeux me cherchaient sans me trouver et je regardaison sperme couler le long de sa bouche puis de son cou.

Il nous fallu une dizaine de minutes pour reprendre nos esprits et nos places. La  nuit était tombée sur nous.