Voilà maintenant plusieurs minutes que nous discutions avec LUI.
Malgré nos craintes nous l'avions rapidement retrouvé dans le club malgré la pénombre qui y régnait et le monde présent ce soir là.
Fidèle à ce qu'il nous avait montré en ligne, nous l'avions reconnu dès son entrée et, lorsqu'il avait croisé nos regards, il s'était naturellement présenté devant nous et nous avait salués avant de s'installer à nos côtés.
Rien qu'à tes yeux, j'avais tout de suite compris qu'il te plaisait beaucoup.
D'ailleurs tu avais accepté qu'il nous offre un verre, ce qui était le code pour dire que nous étions d'accord tous les deux pour aller plus loin.
La discussion s'était très vite débridée et nous savions maintenant tous quels étaient nos attentes, nos interdits et nos tabous.
Un petit blanc commençant à s'installer, il était temps de passer aux choses sérieuses.
Je finissais mon verre d'une traite et vous demandais de m'excuser le temps d'aller aux toilettes.
Je rentrais dans le vestiaire et m'asseyait plusieurs minutes, au milieu des allers et venues des autres couples, tous ivres de désir.
Après avoir estimé le temps assez long pour épancher une envie pressante, je me levais et retournais dans la partie dancing. J'esquissais un sourire en apercevant notre banquette vide…
Je traversais la piste où un début d'orgie se profilait et pénétrait dans le couloir amenant aux chambres.
Une forte intensité sexuelle y régnait, des gémissements résonnaient de plusieurs pièces pas toujours fermées, les voyeurs pouvant se régaler.
Le souffle de plus en plus court, j'arpentais le couloir en jetant un oeil furtif à chaque fenêtre laissée rideau ouvert.
Devant la quatrième, deux hommes se tenaient debout devant un hublot, particulièrement concentrés sur ce qui se passait dans la pièce.
Je m'approchais d'eux et te reconnus tout de suite.
Vous n'aviez pas perdu de temps…
Ta jolie robe noire était déjà jetée au sol et tu te tenais debout sur la banquette, magnifique dans ce body que je t'avais offert complété par les bas porte-jarretelles.
Notre ami avait libéré tes deux sublimes tétons et s'affairait à les faire durcir à grand coup de baisers fougueux.
Ta main déjà perdue dans son pantalon, tu m'adressais un rapide regard, les yeux tout embrumés par l'excitation, ce qui me coupa un peu plus le souffle mais dessina une énorme bosse entre mes jambes.
Si vous pensez être LUI, vous pouvez nous contacter pour poursuivre cette histoire...
Cplefama76
6054 km, Femme 36 / Homme 40
publié il y a 4 ans
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