Fantasme ou réalité. Il y a plusieurs années, nous étions partis Léa et moi avec un groupe d'amis pour un week-end à Budapest. Nous avions passé une journée sympathique à visiter les monuments à l'effigie d'un monde communiste désuet. Nous étions plusieurs couples à partager ce moment. Dans l'après midi nous avons partagé le traditionnel goulash dans un restaurant. En début de soirée, nous nous sommes rendu aux bains romains. Il régnait une douce sensualité dans les bains chauds où une vapeur de souffre s'exhalait. Le contraste avec le froid extérieur était saisissant. Des couples s'embrassaient sensuellement à peine dissimulés par les vapeurs. Léa et moi nous embrassions stimulés par cette atmosphère érotique. Après les bains, nous avons rejoints un bar de nuit où régnait une ambiance un peu folle. Les verres s'enchaînaient. Par moments, Léa et moi nous perdions de vue. Nous sommes rentrés tard à l'auberge de jeunesse où régnait une ambiance gaie et chaleureuse. Nous avons prolongé longtemps la fête. J'ai fini épuisé et ivre. Je ne me souciais plus de Léa et ne pensait plus qu'à m'affaler dans un lit. Léa ne m'a pas rejoint tout de suite. Le lendemain au petit jour, Léa m'a rejoint et a tenu à me parler. Je sentais sa difficulté à mettre des mots et ses hésitations. Pleine d'une culpabilité honteuse, elle m'avoua qu'elle regrettait ce qui c'était passé avec un de nos amis alors que je dormais profondément dans les vapeurs d'alcool. Son forfait semblait pourtant exagéré mais je ne suis jamais parvenu à chasser les images qui ont surgi de mon imagination. Léa peut dégager du charme et se montrer attirante. Je la connais aussi desinhibée avec l'effet de l'alcool. Léa est une reine de la fellation. Je me laisse souvent fondre sous les caresses de sa langue et de sa bouche. Je succombe entièrement à son pouvoir de me faire tordre d'une ivresse ou je m'abandonne totalement. Avec le temps, je suis devenu comme dépendant de sa bouche qui sait me faire jouir. Ce soir là, j'ai imaginé que Léa et mon ami Christophe n'avaient pas pu s'empêcher de se rapprocher. Ils se sont d'abord embrassés fougueusement pris d'un ardent désir interdit. Je le vois qui laisse ses mains glisser sur ses hanches puis ses fesses. Il glisse une main sous son pantalon et caresse subtilement sa douce toison velue. Ses doigts lentement écarte sa vulve et s'attarde sur son clitoris. Elle commence à être excitée totalement et à s'abandonner. La transgression de me tromper est présente mais les effets aphrodisiaques de l'alcool et du moment chassent cette idée. Elle aussi à son tour caresse son pénis à travers son pantalon. Elle sent qu'il se durcit et qu'il est avide de désir pour elle. Comment résister ? Elle glisse ses mains dans le pantalon et caresse la peau soyeuse de son sexe. Il l'embrasse à l'oreille et elle frémit. Il lui susurre de continuer. Elle ferme la paume de sa main sur son sexe tendu. Elle le libère du vêtement et assiste au spectacle d'une queue bien dressée et turgescente. Elle halète de plaisir. Comme s'il pressentait qu'elle lui pouvait obéir, il lui ordonne plus fermement et d'une voix qui tremble d'essuyer un refus : " suce moi !". Elle s'agenouille à ses pieds et commence à poser ses lèvres sur son gland. Il s'assoit confortablement dans un fauteuil pour jouir entièrement du spectacle de son visage ivre de plaisir. Léa s'enivre en le suçant. Elle mouille bien sa langue et descend tout le long de la hampe jusque vers ses couilles. Elle les malaxe doucement. Elle va et elle vient. Les pupille de ses yeux se dilatent de la puissance d'offrir ce plaisir à un homme qu'elle n'a jamais goûté et qui appartient à une autre femme. Il pose ses mains sur sa tête exigeant qu'elle soit plus ferme et plus profonde. Ivre lui aussi et sans pudeur, il commence à pénétrer sa bouche plus sauvagement. "Que c'est bon! Oh, tu es une vraie petite chienne. !" Il ralenti la cadence pour éviter de jouir trop vite. Il sent son sexe qui veut exulter de plaisir. Elle sent dans sa bouche les palpitations de ce sexe tendu. Elle perçoit les premières saccades du sperme qui remonte du ventre. Son éjaculation puissante libère son plaisir au fond de sa gorge. Le sperme jaillit en quantité. Elle lape les dernières gouttes qui surgissent. Elle est pleine du parfum de son sexe. Ils sont ivres de plaisir. Maladroitement, il remonte son jean et referme la fermeture éclair. Ils se quittent un peu honteux comme des enfants surpris d'avoir commis un larcin sans gravité. Ils se séparent et chacun rejoint son conjoint. Par la suite, je me suis toujours demandé si c'était pour réparer cet épisode que Léa m'offre ce plaisir qui crée ma dépendance.
Simbadlemarin
5817 km, Homme 47
publié il y a 5 mois
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