Fin des problèmes mais à quel prix.
Voilà l'histoire :
Je m'étonne à la lecture du courrier que je venait d'ouvrir.
- Quoi nous avons 4 mois de retard de paiement de loyer et hier j'apprenais que notre compte en banque était au limite du découvert permis ?
Ma femme gênée et ne relevant pas la tête.
- Je suis désolée j'ai eu peur de t'en parler.
- Tu n'as pas honte salope, je bosse comme un dingue et toi tu claques le fric à des conneries, j'en ai marre de ton attitude, tu paieras tes frasques jusqu'au dernier sous.
En pleine conversation, la sonnerie retenti et je m'empresse d'aller ouvrir. Je suis nez à nez avec un sexagénaire costume cravate, grassouillet, chauve et l'air assez rude.
- Bonjour, Maître Perrin, huissier de Justice, je vous ai envoyé un courrier il y a quelques jours afin de vous prévenir de mon passage en vue de la récupération de la somme de 3.000 € que vous devez à la société immobilière qui vous loue la maison.
Je suis éberlué, je n'ai pas vu le courrier en question et je me retourne vers ma femme qui me dit :
- Tu as reçu un courrier toi ?
- Oui, mais j'ai pas osé t'en parler…
L'huissier est déjà entré dans le salon et commence à sortir des documents de sa mallette. Sans y avoir été invité il s'assied dans le divan et dépose ses papiers sur la table basse du salon. Je m'assois dans le fauteuil à proximité tandis que ma femme prend place dans l'autre divan situé en face de l'huissier.
Elle porte une jupe courte, un chemisier noir et légèrement transparent laissant deviner ses grosses mamelles. Des bas autoportants s'arrêtent à mi-cuisses et laissent deviner le haut de ses jambes nues. L'huissier par-dessus ses lunettes de lecture a vu le spectacle et commence à transpirer à grosses gouttes, son front perle de sueur.
Poliment je propose à cet homme de prendre un verre afin de se rafraîchir. Celui-ci accepte volontiers une bière bien fraîche.
- Gina sert nous deux bières en vitesse.
Toujours couverte de honte, elle s'exécute et se dirige vers la cuisine.
Je demande à l'huissier :
- Maître Perrin, ne pourrions nous pas trouver un accord me permettant de ne pas être saisi car nous n'avons pas la somme que vous nous réclamez ?
- Je n'en sais rien, jusqu'à quel sacrifice seriez vous prêt à consentir ?
- Dites moi, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour satisfaire à vos demandes ;
- Dites donc, votre femme est très jolie, vous pensez qu'elle accepterait de me laisser profiter de son corps à ma guise ?
- Je n'en doute pas mais selon vos désirs et plaisirs, la dette prendra un aspect moins important qu'actuellement ?
- D'accord, je verrai en fonction de la prestation de votre femme, sachez que je suis très exigeant et surtout très cochon dans mes actes sexuels.
Gina ramène les verres de bière posés sur un plateau et pour elle un verre de champagne. C'est bien le moment de faire de son genre celle-là.
L'huissier :
- Madame, votre mari et moi avons convenu d'un accord qui pourrait vous permettre de voir le montant de votre dette diminué si vous acceptez le deal.
- Quel est-il Maître ?
- Très simple, je dispose de votre corps comme bon me semble, l'idée plait à votre mari je pense qu'il s'agit d'un marché donnant donnant qui devrait satisfaire tout le monde.
- Je, je ne sais pas, je dois réfléchir…
Je suis excédé par l'attitude de ma femme :
- Mais putain, tu nous as mis dans la merde, c'est à toi de nous en sortir, tu fais ce qu'il te dit sinon je t'y oblige ;
- Si tel est ton souhait, alors je suis d'accord pour réparer mes erreurs, que dois-je faire pour vous satisfaire Maître Perrin.
- Appelle moi Maître, ça suffira salope.
- Pour commencer, assieds toi dans le divan comme tout à l'heure et relève ta jupe jusqu'à la taille.
Elle s'exécute, relève sa jupe et s'assied à nouveau à la place qui était la sienne tout à l'heure.
- Maintenant tu déboutonnes ton chemisier et tu l'enlèves.
Gina est un peu gênée mais à la fois excitée d'être ainsi commandée par un inconnu qui impose malgré tout le respect. L'enjeu en vaut sans doute la peine
Elle est maintenant en soutien gorge et string sous le regard des deux hommes dont l'excitation commence à monter en flèche.
- T'es bien foutue petite pute, avec tes gros nichons dont je suis friand, mais ton corps et tes jambes sont magnifiques. Glisse ta main sous ton string et tripote toi le sexe, je veux voir le plaisir qui t'envahit.
Elle s'exécute, glisse ses doigts sous son petit tissus et commence une langoureuse caresse dans ses parties intimes. Elle ferme les yeux et bascule la tête en arrière, ce trou à bite commence à prendre du plaisir, un peu trop sans doute aux yeux de l'huissier.
- Arrête maintenant tu es déjà prête à jouir grosse salope, lève toi et amène ton cul par ici.
Elle se lève et se présent devant le Maître qui lui ordonne de se tourner. Elle effectue un demi tour et présente ses fesses devant le nez du bonhomme qui n'hésite pas à claquer ce cul magnifique qui le nargue.
- Tu ne dois pas t'emmerder avec cette grosse cochonne à ta disposition !!
- Non, c'est vrai que lorsqu'elle est en forme c'est un sacré volcan italien ;
- Mets toi à genoux grognasse, sors ma bite en feu et enfonce la dans ta bouche de traînée, puis tu suces à fond, allez exécution.
Elle s'agenouille devant le bonhomme, dégrafe son pantalon, sors son sexe déjà tendu de son slip. Elle marque un temps d'arrêt, ce mec est monté comme un âne (pardon pour sa profession). La main de Gina entoure le sexe et ses doigts ne parviennent pas à se rejoindre lorsqu'elle enserre l'engin, il est énorme. Timidement elle avance la bouche et du bout de la langue commence à titiller le gland luisant dont la couleur tire sur le bleu tellement l'irrigation est intense et vive.
Elle ouvre grand la bouche et avec difficultés elle tente d'engloutir le mandrin menaçant qui est tendu vers ses lèvres. Elle gobe difficilement la bite de l'huissier et commence une lente aller et venue du bord de sa bouche jusqu'au fond de sa gorge. C'est tellement profond qu'elle manque à deux ou trois reprise de remettre mais parvient à s'accommoder de la taille du membre énorme qu'elle tente de dompter.
L'huissier la tient par les cheveux et lui tire la tête vers son gros ventre, pour mieux enfoncer encore sa pine hors norme, elle manque d'étouffer et essaye de se retirer de l'étreinte du bonhomme, sans résultat.
Maître Perrin lui fait glisser les bretelles de son soutien et fait jaillir les petits tétons qu'il ne manque pas de pincer au passage, il triture les petits bouts et tapote du revers des mains les gros seins de mon épouse.
Elle gémit de douleur et de plaisir tout en continuant à pomper le gros qui s'est débarrassé de son veston et de sa chemise.
- Arrête maintenant et suce ton homme il en crève d'envie sale traînée.
Je suis un peu gêné par la taille de mon sexe à côté de celui de l'huissier qui regarde la scène en souriant.
Pendant Que Gina commence à me sucer, l'huissier s'est levé et a pris place derrière la belle. D'un geste brusque il déchire d'un coup le string de sa proie et le jette au milieu de la pièce non sans l'avoir respiré au préalable.
Lui saisissant les cuisses il lui ordonne :
- Allez putain, écarte tes jambes que je vois mieux ta chatte de salope.
Elle écarte ses jambes très largement, laissant une vue pleine sur son sexe épilé presque entièrement et humide du plaisir qu'elle ressent à ce moment.
Le gros saisi sa bite en main et la promène sur les fesses de la belle, il la laisse glisser jusqu'à la fente mouillée où il s'attarde lentement en prenant un plaisir à écarter les lèvres du bout de son gland, sans pénétration, juste une préparation du terrain. La conne commence à gémir comme si elle prenait un plaisir énorme à ces caresses intimes, elle va déchanter.
Maître Perrin en arrêt devant la vulve de Gina cesse tout mouvement, me regarde, me fait un clin d'oeil et pose ses grosses mains sur les hanches de sa proie.
D'un coup il s'enfonce dans la salope qui ouvre grand la bouche, lâche ma bite qu'elle suçait et pousse un cri de forte douleur quand le membre énorme la déchire en deux jusqu'au plus profond de ses entrailles. Une fois à l'intérieur, l'huissier stoppe son mouvement le temps que Gina reprenne ses esprits.
- T'en as pas connu de si grosse de ta chatte de bite à soldats hein cochonne, attends tu vas déguster les mignardises de l'huissier.
Alors qu'elle se remet difficilement à me pomper, il commence un mouvement de va et vient allant du bord du vagin meurtri et s'enfonçant au plus profond de la grotte trop petite. Ses aller et venues sont ponctués par le claquement de ses couilles frappant le haut du sexe de la salope qui gémit de plus belle et il faut que je la rappelle à l'ordre pour qu'elle s'applique à mieux le pomper.
Pour être en phase avec moi, le gros claque de plus belle les fesses rougies de ma femme en lui enjoignant de mieux s'appliquer à sucer tandis qu'il accélère les mouvements, défonçant de plus belle le sexe de la chienne qui gémissait de plus belle.
Puis, d'un coup en se retirant, il me dit :
- couche toi sur le divan et toi salope empale toi sur son sexe et fait toi baiser comme une sale pute que tu es.
Je m'installe sur le large divan Gina me chevauche, un peu réjouie d'être libérée par le gros chibre qui lui labourait la chatte.
Humectant ses doigts, l'huissier s'approcha du corps en mouvement de Gina et sans ménagement il introduisit son index dans la rondelle de la belle qui sursauta par surprise mais accepta cette agression assez agréable pour elle qui aime la sodomie.
Le sentiment de bien être s'estompa lorsque le gros glissa ensuite son majeur dans le cul de la pouffiasse et se mit à décrire des circonvolutions de plus en plus large, préparant la cible à ce qu'elle allait subir immédiatement.
En effet, la grosse queue entre ses mains il dirigeât le bout de son membre vers l'orifice préparé et, immobilisant les hanches qui ondulaient sous mes mouvements, il poussa lentement sa grosse queue dans l'anus de Gina qui resta figée par la douleur intense qu'elle ressentait. Elle était prise par les deux côtés et la cadence se remettait en route.
L'huissier :
- je vais de défoncer le cul belle salope, tu ne vas plus t'asseoir durant quelques jours.
- Non, je vous en prie pas de violence, allez doucement.
N'écoutant pas les suppliques le gros poussa son membre gonflé dans le fond du cul de cette chienne qui se mit à hurler de douleur.
Quelques allées et venues et elle s'était accommodée à cette baise violente et en redemandait.
-Baisez moi bande de salauds, défoncez moi la chatte et le cul, faite moi jouir mes cochons.
Ces mots nous excitèrent de plus en plus, nous avons poussé le régime à fond et démontaient royalement les orifices de la putain de service qui se mit à jouir dans un grand râle bruyant.
Ensemble, nous nous sommes retirès des orifices et présente nos queues devant la bouche de la pute. Des flots de sperme jaillirent et inondèrent la bouche, les tempes et les gros seins de la belle qui se reléchait les commissures des lèvres avant de nettoyer soigneusement les pines dégoulinantes du bout de la langue.
L'huissier :
- Bon salope, tu as gagné la réduction d'une partie de ta dette, mais si tu veux que je te la blanchisse complètement, je t'invite samedi prochain à un dîner que j'offre à quelques amis et tu seras à mon servie durant cette soirée. A prendre ou à laisser.
Je regardai ma femme et je lui fis signe de la tête afin d'influencer positivement sa décision.
- D'accord dit elle, je serai à votre disposition samedi. Mon mari m'amènera à l'heure que vous souhaitez.
- 22 heures sera la bonne heure, celle du dessert tu vas être dégustée par mes invités.
Il se rhabilla et emporta les papiers qu'il avait laissés sur la table. Bu la dernière gorgée de sa bière et quitta la pièce aussi froidement qu'il y était entré.
Italove13
5364 km, Femme 53 / Homme 58
publié il y a 1 an
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