Forum de la rencontre candauliste

Ce jour là, j'étais à la recherche d'une paire de chaussure. Luigi est moi nous promenions donc dans ma ville fétiche à visiter toutes les boutiques de "pompes".

Comme souvent l'été, j avais une petite jupe, un charmant kilt la mode cette année là) et un chemisier blanc, assez déboutonné, afin que l'on aperçoive la dentelle de mon petit soutient gorge. L'ensemble était jaune, petit tanga de dentelles et corbeille assorti.

De petits talons à brides aux pieds, nous entrons dans une petite boutique du centre ville ! Ding Dong !

Une jolie femme, brune, vetue d une belle petite robe blanche qui la moulait nous sourit et nous laisse un instant gambader entre les étals !

J'essaie une paire, qui hélas est trop grande, et la dame s approche alors.
- Attendez, je vais voir si je l ai en 37

Elle disparait dans la réserve, et revient avec la bonne pointure. La vendeuse se met a mes genoux, et j entrevois une petite chatte lisse entre ses jambes !

Mon ventre me saisit aussitot ! Elle s'en aperçu, et me fixa du regard en me passant le pied dans le talon. Luigi tournait du coté des hommes, regardant aussi pour se chausser. Le face à face dura deux ou trois secondes, et sa main remonta sur le mollet.
-Belles jambes ! murmura-t-elle
-Merci ! dis un peu troublée

Jamais une femme ne m'avait caressée jusqu'a ce jour ! C'était troublant et excitant en même temps. S amin sauta mon genou, et j 'ecartais ma jambe pour me défaire de cette caresse. Ce geste eut pour effet d'écarter mon kilt et de dévoiler mon petit triangle de dentelle.
- Femme de classe et de gout ! repris la belle en me toisant à nouveau de son regard chaud !

Elle tira délicatement sur sa robe en se cambrant, et la pointe de ses seins revela sa nudité sous le fin tissu blanc
- Perso, je ne porte jamais rien ! sussura-t-elle

Elle devait sentir mon émoi ! Une femme ne m avait jamais fait de telles révélations, et je devais sans doute rougir, bien qu'émoustillée par cet aveu. Elle pris mon ped chaussé et le glissa etre ses jambes, et le bout pointu (la mode cette année là) se posa sur sa fente !

OH ! JE VOYAIS TOUT ! Luigi tournait toujours dans les rayons, mais je crois qu'il avait compris, ou'il savait déja ou il m'avait emmenée !!

Elle ferma un court instant les yeux !
-Hummm ! Ouiiii !

Ce gémissement silencieux sortit de sa bouche, elle souffla quelque instant, puis me retira l'escarpin qu'elle porta à ses lèvres ! Elle embrassait sa cyprine, face à moi, ses yeux rivés dans les miens ! J'était folle d'envie ! Je voulais mais n 'osait pas franchir le pas.

Elle le compris.

- Ecoutez, suivez moi dans la réserve, nous allons bien trouver votre taille ou la couleur qui vous conviennent !

Elle parla assez fort pour que Mon chéri s'approche.
- Je vous laisse la boutique un moment ! si cela ne vous dérange pas, monsieur ?

Luigi fit un signe de tête en accord ! Piège ou fantasme ?

Je suivais la vendeuse dans l arrière du magasin et elle me laissa passer devant elle dans le petit escalier colimaçon. Sa main se posa sur ma jambe !
- Attention, il est raide ! medit elle et je m arretais

Sa main remonta ma jambe jusqu'en haut, et ses doigts parcoururent ma lingerie ! Je frémissais ! c était l'enfer et le paradis ! Laissant sa main sur ma petite culotte, et monta sur le palier et se colla à moi !

Son visage était si près du mien que je sentais son souffle !
les yeux plogés dans mon regard, sa bouche s'approcha et elle déposa un doux baiser sur ma joue. En une fraction de seconde, tout bascula ! Ses lèvres se posèrent, délicatement, puis sa langue passa sur les miennes, et elle m'embrassa avec fougue ! Je n'en pouvais plus !

Elle me poussa tendrement vers un petit tabouret de bar, et s'agenouilla devant moi. La main écarta mon petit kilt, et sa bouche pris l'ascension de ma cuisse !

Je voulais hurler ! me débattre, mais rien ! j'étais aimantée par sa douceur et sa délicatesse ! Que de la douceur, du voluptueux ! de la tendresse !

Rien a voir avec un homme ! messieurs prenez de la graine

Sa bouche baisa lentement ma dentelle, puis l'écarta !

Oh ! comme c'était bon ! Chaud ! Fin ! Suave !

Mes mains saisirent sa chevelure, j'allais craquer ! Sa langue fouillait ma fente ! je devais être trempée !

- Non !! Non ! Arrêtez !! Si Encore ! Oh ! comme c est bon !

Je m'adossais contre le bar, cambrant mes reins pour mieux m offrir à sa bouche gourmande ! Ses mains griffaient finement le haut de mes cuisses.

PUIS UN SOUBRESSAUT ! je me hissait sur mes talons, et retombais sur le pouf ! Lasse ! Vidée ! Heureuse et honteuse en même temps !

Mes mains repoussèrent son visage, Elle se releva, et me sourit gentiment. sa main remis mon kilt en place, j étais essouflée .

- Je suis heureuse de vous avoir offert ce moment de rêve !

Elle pris alors une boite sur un rayon et se mit à descendre le escaliers. Je la suivais, sentant mon tanga tout humide sur mon pubis et ma vulve.

- Voila ! votre dame a trouvé son bonheur !

Elle ouvrit la boite ! Des escarpins avec une bride, rouges brillants, avec le talon noir ! Exactement de que je voulais

- Madame ees comblée, vous aussi ? vous aimez ?

- Oui ! j'adore ! Sublime ! ajouta Luigi

Parlait-il de ce qu'il avait probablement manigancé avec la jeune femme, ou parlait-il des chaussures ?? Emue je baissait les yeux !

- Votre code ! Merci ! Au plaisir de vous revoir !

Nous fumes dans la rue. Luigi me prit la main et me la serra très fort en marchant. Je n'ai pas osé lui en parler dans la rue, mais de retour au parking souterrain !!!!

- J'ai envie moi aussi d'embrasser ta petite culotte !

Il le fit contre l'auto, qui était garée dans un coin mal éclairé
Sa bouche tourna derrière, et il me fit une belle feuille de rose ! Délicate elle aussi !

- Voila ! ma chérie ! comme ça, tu as été comblée totalement cet après-midi ! Il m'embrassa goulument

C'est comme ça qu'il m'avoua qu'il n'avait rien orchestré, mais qu'il avait compris dans le magasin que la femme avait envie de moi, et qu'il avait adoré savoir qu'elle me le faisait dans l'arrière du magasin !

Dans l'auto, je glissais ma main sur sa cuisse remontant son bermuda. Ma main sentit une chaleur humide en haut de sa cuisse ! une moiteur connuemais presque sèche.

Il avait donc jouit silencieusement dans le magasin

C'est pour cela que je l'aime.