Week-end en Normandie première confidence
Un week-end d'automne sans les enfants dans un hôtel balnéo, un week-end très spécial. L'homme que nous avons déjà vu plusieurs fois devait venir aussi ce week-end dans un hôtel juste à côté. Week-end détente, repos, balnéo, et peut-être encore des émotions interdîtes avec notre partenaire secret ? C'était promenade en bord de mer, et soins en balnéo… et dîner crêperie avec notre complice, crêperie blindé de monde, grande proximité, ma femme collée serrée à lui comme si c'était son ami de toujours ou son mari au regard des inconnus tout autour. En sortant de la crêperie, on promène à trois dans les boutiques de déco et de touristes, puis au bord de mer avec des moments de silence. A un moment, ma femme était curieuse de voir son bel hôtel. Très joli hôtel, on s'installe pour boire une boisson chaude dans le salon de thé au rez-de-chaussée, puis ma femme lui demande, tu me montre ta chambre ? J'ai bien noté le «me », ils montent donc tous les deux pour « voir » la chambre avec une vue sur mer. J'ai compris qu'ils voulaient être à deux là haut. Au bout de 5 min j'imagine déjà tout ce qu'il peut se passer là haut entre eux dans cette chambre. Ils ne reviennent pas, 10 min passées, ce n'est plus une visite … il y a autre chose, que font ils ? que fait elle ? 15 min passée je reçois un texto de ma femme : « tu peux aller à la balnéo je t'y rejoins direct mon amour » Traduction : il se passe déjà des choses … j'hésitais à partir ou l'attendre, je joue avec mon portable et plus fort que moi je veux me rapprocher d'eux …. Je savais l'étage et le numéro de chambre car la carte était restée sur la table longuement avant qu'ils montent. Je monte au troisième étage, je traverse le long couloir alors que je n'ai pas de carte, pas de chambre … je cherche la bonne chambre … je croise un couple, une femme de ménage et enfin devant la chambre, le couloir est heureusement désert, je tends l'oreille … j'entends ce que je pouvais redouter. J'entends des claquements réguliers un peu étouffés. Tout en surveillant le couloir je tends l'oreille un peu plus et je reconnais des onomatopées qui veulent tout dire : « oh oh oh » venant du timbre de voix de ma femme qui trahissait des coups de reins, ils étaient déjà en pleine action, elle se faisait baiser, je ne pouvais qu'imaginer les choses, mon coeur battait plus vite, par moment j'entendais plus rien par moment j'entendais à nouveau et puis j'entendais sa voix dire « oui oui oui …. » elle se lâchait totalement pour l'encourager. D'habitude peu expressive, elle s'abandonnait à crier ses « oh oui , oh oui … » comme si elle simulait mais aucune raison de simuler donc elle extériorise son plaisir plus facilement en mon absence. Je n'avais plus à tendre l'oreille. Ma femme se faisait pénétrer sans complexe depuis de longues minutes. J'éprouvais un sentiment étrange de jalousie forte et de voyeurisme troublante. Elie y prenait un plaisir intense. Le paradoxe est arrivé quand je croise dans le couloir un monsieur qui entend ma femme … il me dit d'un air complice « il y en a une qui prend du bon temps ici » me dit il en souriant, je me rend compte soudainement, un vieil homme inconnu a entendu ma femme gémir pendant qu'elle baisait avec son amant, et croyant dire à un autre inconnu, il dit à son mari « il y en a qui prend du bon temps ». L'excitation et le trouble me donnaient un vertige, les bruitages sexuels finis, je n'entendais plus rien, je me suis dirigé vers la sortie et vers mon hôtel pour rejoindre la piscine balnéo où ma femme devait m'y rejoindre …. On devait se voir à 3 ce soir mais elle n'a pas pu attendre et se faire baiser, je ne peux pas dire en secret car par texto elle me disait «on a fait quelques bêtises dans sa chambre, c'était un très bon moment, je te rejoints tout de suite, je t'aime mon Amour ». C'était le début du week-end déjà très intense !! ….
