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Forum de la rencontre candauliste

Vos aventures candaulistes

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Une petite faim (suite)

Le vent s'est mis à souffler dans l'après-midi, et n'a pas cessé de forcir jusque dans la soirée. À présent que mon service du soir est terminé, les clients se sont raréfiés et je me dépêche de boucler pour tout ranger avant l'arrivée de la tempête qui va nous arriver. Je plie les derniers parasols, et depuis le bout de la terrasse, j'aperçois la caravane qui m'intéresse. Les rideaux opaques sont tirés, mais une fenêtre équipée d'un store, trahit par un rai de lumière une présence intérieure. La pénombre a gagné le camping, et la dernière silhouette qui soit passée devant moi il y a cinq minutes n'était pas identifiable, j'ai tout éteint et il faut un peu connaître les lieux pour éviter de se manger un arbre. À présent je ferme le gaz, je verrouille les frigos, tout est en ordre, à la douche! Je me rase de très près, j'ai une petite idée en tête, je me dis qu'être bien doux et lisse sera toujours un bon atout. Je me glisse au dehors. Punaise ça souffle, j'ai bien fait de mettre un gros sweat. Il me faut à peine une minute pour atteindre la petite Adria que je matais tout à l'heure, le vent me poussant presque à voler jusque là. Je vérifie une dernière fois (ben oui, la nuit tous les chats sont gris, alors une caravane sur un camping de 300 places, j'aurais bonne mine à toquer chez mémé Simone ?....), mais oui, c'est bien ici. Je frappe deux petits coups rapides. Ça bouge à l'intérieur, la porte s'entrouvre aussitôt. La lumière est éteinte à l'intérieur, je ne sais pas qui m'ouvre, si c'est monsieur ou madame. Mais la voix qui cet après-midi m'a invité à nous revoir, me rassure tout de suite en lançant: Vas-y, entre. Je me glisse aussitôt dans l'ouverture. Le temps que je referme, elle est partie s'asseoir sur le lit déjà prêt, sur lequel elle devait m'attendre. Elle rallume une loupiote pas plus forte qu'une veilleuse de télévision. Pour se voir, ça oblige à être proche. Ça tombe bien, c'est ce qu'on cherche. Je m'avance en marchant maladroitement sur des sandales qui doivent traîner dans le passage, et me retrouve de suite à genoux sur le lit. Comme je tends la main pour estimer où elle se trouve, elle s'en empare et la pose directement sur son sein nu. Elle n'est vêtue que d'une espèce de liquette en voile très fin. Rien d'autre, ni soutif, ni culotte. Elle s'est calée dans le coin des coussins, a relevé ses jambes en les entrouvrant et m'annonce: "Je me faisais du bien en t'attendant, je suis complètement mouillée, touche." Tandis que je vérifie, je lui demande où est son mari. "Dehors, il n'a pas le droit de regarder." "Quoi? Mais il y a un vent à décorner des boeufs!" Elle éclate de rire en répondant: "T'inquiète pas, ses cornes sont bien accrochées à lui!" Bon, alors si tout est normal, je me dis qu'il est temps de poursuivre. Ses cuisses ouvertes exhibent un sexe superbe, qui brille et parfume l'espace d'un appel irrésistible. Je me défais rapidement de mes vêtements pour ne plus m'en soucier, et à plat-ventre sur le lit, j'entreprends de goûter le nectar de sa vulve, en glissant mes mains sous ses fesses pour lui malaxer ses splendides hémisphères. Elle gémit, elle ondule, se contorsionne parfois, je suis obligé de serrer son cul très fort pour que ma bouche demeure au contact de son sexe. Elle a dégagé ses seins de leur fausse gangue de tissu, et je libère une de mes mains pour les saisir à leur tour. Quelle nature généreuse! Nous nous régalons tous les deux, je suis en train de commencer des mouvements du bassin contre le dessus du lit, pour soulager la tension qui contraint mon noeud à durcir face au matelas. Elle s'en aperçoit et se dégage pour me surplomber, je me retourne sur le dos pour ne pas quitter sa chatte des yeux, qu'elle plaque alors sur ma bouche au moment où la sienne gobe mon membre qui n'attendait que cela. Je ne peux pas voir la scène que je vis de l'extérieur, mais je me doute que c'est très beau. Un instant, je me dis que le mari manque quelque chose, mais très vite je n'y pense plus, mon plaisir est de partager avec cette femme toute la sensualité que nous sommes en mesure de nous offrir, et je suis ravi qu'elle ait jeté son dévolu sur moi. Elle me demande de la prendre dans sa position initiale, complètement offerte et accueillante. Je plonge en elle avec ravissement, c'est comme si son sexe avait pris la mesure de mon gland, s'ouvrant dès qu'il se présente à l'entrée, ne forçant pas, accueilli comme un hôte habitué du lieu, et je vais tout au fond. C'est presque dommage de devoir s'arrêter aux boules, j'ai encore envie d'aller plus loin! Très vite, ses gémissements se transforment en cris, râles et soupirs confondus, tant elle mélange son plaisir heureux, et la retenue d'être en train de s'accoupler dans un camping à quelques mètres des autres caravanes guère plus épaisses. Je la rassure: "Tu sais, ça souffle tellement qu'il n'y a personne dehors, et le vent fait plus de bruit que nous." En guise de réponse, elle me lance: "Baise-moi encore en levrette, ça me fait trop jouir". J'adore! Quel bonheur d'entendre ça! Elle s'est mise à quatre pattes, et nous retrouvons notre rythme de cet après-midi. Nos corps se parlent harmonieusement dans ces mouvements débridés, il fallait vraiment qu'on se trouve tous les deux, ça se passe tellement délicieusement, c'est intuitif. Après un moment, sans rien me demander, elle se libère de ma queue complètement lubrifiée, même mes couilles sont humides de sa cyprine, tout en continuant de frotter sa raie sur mon chibre. Puis, en se cambrant comme une dingue, elle saisit la tige en passant sa main entre ses cuisses, et positionne mon serpent contre son oeil de bronze. "Appuie doucement". Appuie....tu parles, ça rentre tout seul sans forcer, même pas semblant de résister. Et là, elle se recule encore pour être bien certaine d'être arrimée. Ce faisant, elle relève son buste pour saisir les deux placards hauts, offrant chacun une niche pour s'aggriper. Qu'est-ce qu'elle fait? La réponse me parvient d'elle-même: "Défonce-moi l'anus!" Il y a des ordres qui ne se discutent pas, et comme je suis un garçon bien élevé, en tant qu'invité, je me dois d'être agréable à la maîtresse de maison. Visiblement, elle a de l'entraînement, ça se passe merveilleusement, là encore cette sensation d'être ici à sa place est très grisante. Nous sommes complètement déchaînés, la caravane déjà malmenée par les bourrasques, doit bouger comme un prunier, j'entends même le séchoir Tancarville replié sur le côté, qui n'arrête pas de cogner contre le bord. Je n'en reviens pas de tenir aussi longtemps, je fais tout pour penser à autre chose qu'à ses jolies fesses qui enveloppent mon vit de haut en bas, je me dis qu'on va se prendre une branche sur la tronche, qu'un tsunami va ravager la plage et inonder le camping, que j'ai oublié d'éteindre mon four...Ça fonctionne un certain temps, mais là je n'en peux plus, je suis en train de baiser une déesse affriolante, et tout homme normal doit reconnaître à un moment que c'est elle qui gagne. Elle le sent à ma façon de serrer ses hanches et à mes cris...Avant que je vienne elle me demande: "Sur mon cul!" J'ai à peine le temps de faire le mouvement, la première salve lui zèbre le dos, je corrige le tir pour la fin. Je reprends mon souffle, nous sommes en sueur, je ne sais même plus où la caresser tellement nous sommes trempés. Elle me dit simplement un petit compliment (que franchement je garde pour moi pour ne pas passer pour un vantard, mais qui fait sincèrement très plaisir) et ajoute: "Je vais garder ta semence comme ça, pour qu'il voie, à demain...." Je remercie, je trouve à tâtons de quoi me rhabiller, et m'éclipse. Dehors le vent me cueille, je retourne à la douche et en me retournant, aperçois une ombre qui regagne le petit nid chaud que je viens de souiller. Je suis très content de ma soirée...
Artoutan
Artoutan
5936 km, Homme 51
publié il y a 7 ans
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Colamco
Colamco
il y a 7 ans
encore une fois un recit qui va emoustiller bcp de femmes et de maris bravo pour ces ecrits jamais vulgaire
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gbhot68
gbhot68
il y a 7 ans
Oui je confirme également superbe récit bien narré
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