Un anniversaire de mariage pas comme les autres
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En été 2021, après des vacances en Ardèche mémorables (pour ceux qui suivent), nous avons eu la volonté de poursuivre nos expériences. Nous avons ainsi publié une annonce pour trouver un partenaire de jeu. Peu habitués à ce type de démarche, il est vrai que nous avons été dépassés par la quantité de postulants.
Après une sélection aussi pénible qu'excitante, nous avons jeté notre dévolu sur un homme que nous appellerons Angelo dans ces lignes. Après quelques échanges de messages, nous avons pu très rapidement fixer une date. Et quelle date… Le hasard a voulu que cela tombe sur notre anniversaire de mariage…
Puis, le jour « J » arriva. Nous allions enfin rencontrer celui qui allait devenir notre initiateur.
Après quelques minutes de route où notre imagination a pu s'exprimer librement, nous sommes arrivés en vieille ville de Fribourg, aux pieds d'un imposant immeuble de molasse où, à l'encadrement de la porte de bois, trônait une sculpture de deux lions.
La tension de Tanja était palpable. Après avoir appuyé sur la sonnette, la voix d'Angelo a retenti pour préciser qu'il fallait monter au dernier étage.
Nous avons lentement gravi les grandes marches de molasse, puis celles en bois massifs.
À l'approche du but, nous avons aperçu notre aventure du jour qui nous attendait. Arrivé le premier, je lui ai spontanément tendu la main pour le saluer, tout sourire. Puis, Tanja, qui me suivait, a été accueillie par une bise après qu'Angelo lui ait demandé l'autorisation. Gentleman ou réservé, dans tous les cas, il nous a réservé un accueil chaleureux.
Après quelques banalités échangées, nous avons pénétré chez lui. J'ai immédiatement été impressionné par la taille du salon. Une pièce d'environ 50 m2 s'ouvrait devant nous, avec une rangée de fenêtres qui illuminaient la pièce et un plafond haut bardé de poutres. Il était composé, au fond, d'un canapé trois places gris, d'une table visiblement en grès et de deux poufs de cuir brun.
Sur la gauche se dressait une imposante cheminée. À droite, un meuble long accueillait diverses oeuvres d'art et autres décorations épurées. Au premier plan, une grande table en bois massif était accompagnée de deux rangées de quatre chaises. Sur un set de table, j'ai remarqué que différents accessoires intéressants avaient été négligemment laissés (une bouteille de lubrifiant, un plug anal de petite taille, une boule pour la bouche, une cravache)… bienvenue chez Christian Grey…
Après avoir pu lui donner la bouteille de rosé destinée à briser la glace ou, surtout, à calmer notre stress, Tanja s'est rapidement éclipsée aux toilettes, me laissant seul avec notre hôte. Là encore, durant le service du rosé, nous avons échangé quelques banalités sur le bâtiment, son emplacement en ville et les possibilités de parquer.
Au retour de Tanja, après avoir distribué les verres, nous nous sommes déplacés au salon. Instinctivement, j'ai incité ma femme à s'installer sur le canapé, en compagnie d'Angelo, et j'ai personnellement opté pour un pouf côté cheminée. J'ai délibérément invité Tanja à tenter un rapprochement physique pour qu'elle puisse gagner en confiance.
Nous avons pu rapidement échanger sur nos attentes et craintes respectives. Devant l'évidente timidité de Tanja, j'ai clairement pris les rênes de la discussion. Nous avons appris qu'Angelo était en couple avec une femme dont la fonction exigeait également la discrétion. Ils formaient ce que l'on appelle un couple libre, où chacun peut avoir des aventures sexuelles de son côté, mais où ils échangent à chacune de leurs expériences. Ils s'aimaient.
Au cours de la discussion, il a fallu que je prenne congé pour me rendre aux toilettes. Le stress, le froid, peu importe, il fallait que j'y aille. Les toilettes, de taille très réduite, n'ont occupé que quelques petites minutes de mon temps. J'ai toutefois pu admirer un dessin où des corps se mélangeaient au gré des positions du Kamasutra… Tiens donc. Rien n'était laissé au hasard…
A mon retour, j'ai vu la main de Tanja glissée entre celles d'Angelo. Il la caressait, visiblement dans le but d'établir un premier contact et de la rassurer. Il lui parlait calmement, avec douceur. Dire que je n'ai rien ressenti à ce moment-là, ce serait mentir. Un frisson de jalousie m'a parcouru, je l'ai combattu et j'ai gagné. Doucement, il a laissé courir ses mains sur son corps, les épaules, les cuisses. Il a pu exposer son expérience dans le domaine du triolisme où il est impératif de rappeler la règle de base : la femme est Reine. Elle détient le pouvoir suprême et les hommes doivent lui être complètement soumis. Si elle dit stop, tout s'arrête.
Excellent, c'était parfaitement dans la lignée de tout ce que j'avais dit à Tanja. Nous étions donc parfaitement sur la même longueur d'onde. J'espérais que cela avait rassuré ma Belle. La discussion s'est prolongée durant toute cette phase d'apprivoisement. Tanja me sondait du regard. En retour, j'acquiesçais, l'incitais… Et, j'ai dû me réabsenter… décidément…
A mon retour, la situation avait comme… évolué. Tanja était à cheval sur ses jambes, enlacée et ils échangeaient visiblement un baiser langoureux. Me voyant revenir, Tanja a tendu la main dans ma direction afin que je la rejoigne et l'accompagne à se détendre et la rassurer probablement.
Angelo a caressé sa peau et embrassé ses seins contenus dans sa magnifique robe saumon, choisie pour l'occasion. Il lui a caressé les fesses. Puis, il a demandé l'autorisation de descendre sa robe sur son ventre afin de pouvoir malaxer et lécher ses seins avec énergie, pour ne pas dire frénésie.
Sentant la ferveur monter, Angelo s'est levé et nous a demandé si un matelas ne serait pas plus confortable que le canapé. En répondant à la question, j'ai retiré la robe de Tanja qui s'est retrouvée en culotte de dentelle blanche, adorable, désirable, offerte. De son côté, elle a décroché ma ceinture et a défait les boutons de mon jean. Elle m'a embrassé et, pour la première fois de cette journée, j'ai senti le goût d'un autre homme.
Notre amant est revenu, un matelas sur le dos, couvert d'un drap-housse bleu. Il l'a déposé entre la table à manger et l'espace salon, à même le sol, sans plus d'artifice.
Il a attiré Tanja à lui et ils se sont retrouvés allongés à se caresser mutuellement. Puis, il a fait glisser sa culotte. Après s'être couché sur le dos, il l'a attirée à lui afin qu'elle remonte et se mette à califourchon sur son visage, sa chatte offerte à sa bouche, comme je sais qu'elle apprécie. Sans ménagement, il lui a léché et aspiré son clitoris. Tanja, habituée à plus de douceur, était clairement surprise, mais visiblement très réceptive.
Après avoir retiré mes vêtements et les avoir abandonnés sur une chaise, je suis venu me placer devant la bouche à Tanja qui, visiblement, écoutait ses sensations, les yeux clos. Après l'avoir embrassée, elle a découvert ma présence et a commencé à me sucer. C'était bon, très bon. J'ai aimé voir Tanja prendre du plaisir et en donner de manière simultanée.
Après quelques instants, souhaitant multiplier le plaisir d'Angelo, j'ai invité Tanja à se placer en position de 69. Je me suis dit que le reste allait suivre facilement et ce fut doucement le cas. Toujours fouillée par la langue de notre initiateur, elle a laissé courir ses mains sur son pénis, sur le caleçon d'abord, puis sous le tissu. Je me suis approché d'elle, à quatre pattes, pour l'observer. Cette scène était belle et sensuelle. Finalement, cette queue, imposante tant par sa longueur que sa largeur (bien plus massive que la mienne) a été sortie de son écrin. Après l'avoir décalottée sans même y penser, elle l'a prise en bouche et a commencé à effectuer des va-et-vient. Angelo se tordait de plaisir et ne cessait de lécher tantôt son vagin, tantôt son petit trou offert dans cette position. Je me suis placé à une dizaine de centimètres du visage de Tanja pour la voir à l'oeuvre, avec une certaine envie de pouvoir, comme elle, donner tant de plaisir. Comme si elle était dans ma tête, elle a laissé échapper cette queue luisante et est venue m'embrasser profondément afin que je n'en perde pas une miette. C'était bon, sur ma langue, j'ai découvert un autre goût d'Angelo, toujours mêlé à la salive de ma femme. Mon excitation était à son comble. Nous avons continué un moment dans ces positions qui semblaient tous nous combler.
Puis, j'ai proposé à Tanja d'aller chercher un préservatif et, toujours occupée à sa tâche, elle a acquiescé. Prestement, j'ai sorti de mon sac, ses magnifiques préservatifs, récemment découverts, qui ont une texture propice aux sensations et un goût de menthe qui permet d'échauffer tant le porteur que le receveur… J'ai ouvert l'emballage et préparé le préso pour le tendre à Tanja. Comme je m'y attendais, elle avait bien écouté ma théorie sur la mise en place de cette protection. Ainsi, au moyen de ses lèvres, elle l'a déroulé sur toute la longueur de cette verge en érection. Parfait, un sans-faute…
Puis, l'enchaînement logique a suivi. Elle s'est ensuite retournée et s'est empalée sur cette queue monumentale qui a littéralement disparu entre ses cuisses. Des montées et des descentes, des montées et des descentes, … Les gémissements témoignaient du plaisir de chacun. De mon côté, soit aux fesses de ma Belle, j'admirais le spectacle et en profitait, de temps en temps, pour glisser ma langue dans son anus. Je l'ai léché et y ai inséré ma langue aussi loin que possible, espérant préparer la zone à m'accueillir. Étant déjà à la limite de ma résistance, j'hésitais, sachant pertinemment que si je m'y présentais, l'orgasme serait fort et rapide. Quel homme n'a jamais rêvé d'être dans une pareille situation ? Afin de me calmer un peu, je me suis brièvement interrompu et j'ai observé cette vue magnifique : ma femme prise par un autre. De manière magique, son propre plaisir décuplait le mien.
Après quelques minutes, je n'ai pas résisté à la tentation et j'ai entrepris de préparer son petit trou pour m'y accueillir. Angelo a dû comprendre mon intention car, en même temps que ses assauts, il profitait d'écarter largement les fesses de Tanja pour que je puisse plus facilement y insérer ma langue. Quelle sensation étrange d'avoir ma bouche à quelques centimètres seulement de ce pénis étranger, de cette odeur étrangère. Après une première tentative, je me suis rapidement rendu compte que la position à adopter n'était pas si aisée. Qu'importe, comme je l'avais préparé, j'y ai enfoncé, plusieurs fois, un petit vibromasseur et après avoir vigoureusement branlé mon membre pour gagner en rigidité, je l'ai guidé jusqu'à ce que la dilation de cette porte dérobée accepte mon passage. Victoire ! Une fois dedans, j'ai commencé quelques allers-retours. La sensation, divine, m'a toutefois surprise. En effet, contrairement à mon imagination, je ne ressentais pas du tout la présence d'Angelo. Je n'étais ni plus ni moins à l'étroit que lorsque l'on fait ça qu'à deux. Néanmoins, extérieurement, mes couilles allaient frapper la verge et les bourses de notre compagnon du jour. Cette vision et ces sensations m'ont poussée à jouir, comme je m'y attendais. J'ai envoyé 4 ou 5 décharges de sperme qui se sont déversées directement dans cette cavité offerte. C'était bon… Après quelques secondes, je me suis retiré. Je pensais voir couler ma semence le long de ce magnifique sillon, mais il n'en fut rien. Visiblement, la présence active du pénis d'Angelo poussait Tanja à contracter son sphincter. Pas une seule goutte ne s'en échappait. Zut !
Angelo, dont la résistance m'a clairement impressionné, a continué ses coups de butoir, sans ralentir. Puis, ils se sont retournés et Tanja s'est retrouvée sur le dos. Il lui a soulevé les jambes pour entrer plus profondément en elle. A plusieurs reprises, je me suis dit, ils vont exploser tous les deux en émettant des cris puissants, mais rien de tel n'arriva. Tanja a fait ralentir le rythme. Alors que je m'étais déplacé pour l'embrasser en même temps qu'elle se faisait prendre, elle m'a susurrer une phrase que je n'ai pas compris sur le moment. Ne sachant ce qu'elle attendait de moi, j'ai continué à l'observer et à l'embrasser. Son visage était couvert de sueur. Elle prenait visiblement du plaisir, mais ne jouissait pas. Après quelques instants, elle a stoppé Angelo dans son élan. Je pensais qu'elle voulait juste souffler, mais non. Elle nous a dit qu'elle devait impérativement interrompre l'échange pour aller aux toilettes. Elle nous laissa donc seuls quelques instants. Angelo, toujours en érection, a semblé déstabilisé. Pour ma part, ayant joui peu avant, cette pause était bienvenue.
Au retour de Tanja, j'ai constaté que le pénis d'Angelo avait quelque peu ramolli et le préservatif commençait à tomber. Il a profité de l'enlever dans le but d'en changer. Tanja ayant repris sa position couchée sur le dos, je suis venu entre ses cuisses pour la lécher. Angelo, debout, nous a demandé s'il faillait nous laisser un peu. J'ai répondu « Surtout pas ! » et il est venu s'installer en diagonale sur le visage de Tanja afin de se faire pomper. Il n'a pas été déçu. De ma position, je voyais ma femme se faire littéralement baiser la bouche. Il pénétrait sa bouche comme s'il était logé dans son vagin. Quant à Tanja, elle aspirait ce bâton de chair avec une ferveur que je ne lui connaissais pas. J'étais impressionné.
A plusieurs reprises, j'ai cru qu'Angelo allait jouir et remplir la bouche de ma femme. Mon imagination, sans limite, me permettait déjà d'imaginer rouler une pelle, pleine de sperme, à mon épouse. Curieusement, cette vision m'excitait terriblement. Mais il a tenu bon, alors que je pensais qu'il allait craquer. Il s'est retiré et je lui ai laissé la place pour qu'il puisse la pénétrer à nouveau. Et là, il a repris ses assauts. Il était infatigable. Les seins de Tanja s'agitaient de bas en haut comme dans tous les meilleurs films. La vue était magnifique ! Je m'efforçais de mémoriser chaque instant pour qu'ils deviennent inoubliables.
Sous les coups de reins, la tête de Tanja a dépassé le sommet du matelas. Je me suis donc déplacé et, après avoir tenu un moment la nuque de ma femme avec une main et la caressant de l'autre, elle m'a demandé son «Womanizer». Après le lui avoir remis, je me suis placé au haut du matelas, à genoux, afin de faire reposer la tête de Tanja sur mes cuisses. La vue était imprenable. Je voyais clairement la bite d'Angelo entrer et sortir de la chatte de ma femme. Elle était belle, ils étaient beaux…
Tanja continuant à être expulsée du matelas sous les coups, je l'ai signalé à son amant. Là, il s'est retiré et d'un coup sec, il a tiré Tanja à lui. La surprise lui a fait échapper un petit cri. Il l'a, à nouveau pénétrée et Tanja a placé son jouet en contact avec son clitoris. Le feulement de l'objet était perceptible et les yeux clos de Tanja confirmaient sa concentration pour atteindre l'orgasme. Mais il se faisait attendre. Je voyais que Tanja était frustrée de ne pas l'atteindre, malgré son visage rougi par l'énergie reçue et déployée. Elle a lâché son jouet un instant et Angelo en a profité pour lui soulever le bassin pour mieux la pénétrer. Pour accompagner sa démarche, Tanja s'est cambrée, prenant appui sur ses mains. Très jolie position. J'étais surpris. Sachant que Tanja est sensible au fond de son vagin et ayant maintenant connaissance de la longueur de la queue d'Angelo, j'étais impressionné qu'elle accepte en elle, si profondément, un tel organe sans rechigner.
Quelques instants plus tard, étonnamment, elle a repris sa position couchée sur le dos et elle a demandé à Angelo s'il accepterait de jouir sur son corps. Elle lui indiqua une zone comprise entre son vagin et ses seins. Inutile de préciser que mon imagination s'est emballée une nouvelle fois. Il a accepté, visiblement de bon coeur. Puis Tanja lui a demandé s'il acceptait de se positionner en X, position que je sais qu'elle apprécie particulièrement. Visiblement, c'était la première fois qu'il se positionnait de la sorte. Après l'avoir guidé, il s'est retrouvé dans la bonne position et a pu continuer à donner du plaisir. Personnellement, j'étais toujours à la hauteur de la tête de Tanja, sans perdre une miette du spectacle, mais sans y participer activement.
Là, Tanja m'a surprise et j'ai compris qu'elle était vraiment prête à tout. Elle a porté sa main droite à sa bouche et s'est humecté les doigts de salive. Une fois bien humide, elle les a enfoncés dans le petit trou d'Angelo. Il a été visiblement surpris, mais il ne s'est pas retiré pour autant, continuant ses mouvements. Tanja lui a néanmoins demandé si ça le gênait et il a répondu par la négative. Elle a donc continué à lui stimuler la prostate sans ménagement. Cette vision m'ayant permis de retrouver une certaine vigueur, j'ai présenté ma bite à sa bouche. Elle l'a accueilli avec un plaisir manifeste. Il était évident qu'elle avait décidé de nous faire jouir. Comme pour confirmer mon intuition, elle a mouillé les doigts de sa main libre et me les a insérés. Ainsi, nous nous sommes retrouvés au moment où Angelo pénétrait ma femme. Quant à elle, elle nous pénétrait de ses doigts et me gratifiait en même temps d'une pipe. Une magie, une fusion des corps… Sous cette pression, je n'ai, une fois de plus, pas pu résister longtemps et j'ai déchargé dans sa bouche. C'était bon, même très bon… j'avais atteint un tel niveau d'excitation que je n'ai ressenti à aucun moment de la gêne ou du dégoût, tels que j'ai pu parfois le ressentir une fois le coup parti. Non, je restais là à admirer le spectacle. Ma femme était la Reine et nous étions à sa merci.
M'ayant déjà fait jouir, elle souhaitait que notre hôte fasse de même. Par ses mots, elle lui a dit de ne pas se retenir et d'accueillir son plaisir. Après quelques minutes supplémentaires sous ce traitement de choc, il s'est retiré rapidement, s'est retourné en retirant son préservatif et, cambré en arrière et comme l'avait demandé Tanja, il a inondé son ventre de plusieurs saccades de sperme chaud, très liquide et quasiment incolore. Expérience faite, nul doute qu'il avait déjà tiré pas de coups de fusil pour en être à cette texture… Voyant ce sperme glisser sur le corps de ma femme, j'ai récupéré avec mes doigts les gouttes qui tentaient de s'échapper en faveur des courbes de son corps. J'ai étendu ce liquide sur son ventre comme si j'y étalais une crème solaire. Par moment, j'ai caressé ses seins avec mes mains enduites de sperme puis, comme mes pensées me l'ordonnaient, j'ai léché cette poitrine offerte. J'espérais que Tanja me demande de la nettoyer intégralement, mais ce ne fut pas le cas. Mais j'en ai profité un peu et j'ai aimé… beaucoup.
Nous sommes restés là, Angelo assis sur un pouf et nous assis sur le lit à se câliner, se caresser, se remettre de ces magnifiques émotions.
J'espérais que nous allions, après une phase de récupération nécessaire, pouvoir reprendre les ébats et, qui sait, faire jouir comme il se devait mon épouse. Toutefois, elle n'a pas souhaité poursuivre, estimant que ça faisait déjà beaucoup pour une première fois. Elle n'avait pas tort, mais tous les hommes restent des hommes…
Assez rapidement et probablement maladroitement, nous avons pris congé d'Angelo. Tanja n'a pas manqué de caresser une dernière fois cette belle verge en gratifiant son propriétaire d'un baiser langoureux à titre de remerciement.
Encore sonnés par cette expérience merveilleuse, nous nous sommes rendus aux Bains de Charmey. Notre excitation étant toujours bien présente, lorsque nous nous sommes retrouvés dans la cabine de change, avec sa permission, j'ai léché avec avidité son ventre encore recouvert de la décharge d'Angelo. C'était très salé, sans plus. Loin du goût de mon propre sperme. Après avoir soigneusement nettoyé la zone, j'ai échangé un langoureux baiser afin qu'elle puisse, elle aussi, apprécier le goût et le souvenir qui y étaient associés.
Swinger
5741 km, Femme 47 / Homme 49
publié il y a 1 mois
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