sandrine redevient lycéenne coquine
Sandrine redevient une lycéenne
Ayant fait un peu de tri dans mes tenues de sorties, je tombais sur un petit kilt a carreaux noirs et blancs, du temps ou c était la mode, c est à dire les années 85/90 et je me disais qu en ce temps la, c était très coquin d aller en dancing le samedi soir, avec une jupe aussi courte, et je posais la robe que j avais, pour l enfiler et me rajeunir.
Oh ! T es encore pas mal ma vieille, me dis je en me contemplant dans le miroir
voyons voyons ! Je tombais sur un petit chemisier blanc ! Taille 36
je l essayais, mais je pouvais constater que j avais pris un peu car malgré mes petits seins, la dentelle de mon soutient gorge était plus que dévoilée, entre les boutons que je ne pouvais fermer jusqu en haut de mon décolleté ! En fouillant dans un tiroir, je trouvais encore une paire de soquettes d été, et une idée sotte me vint à l esprit ! Une paire de lycra noirs, et la paire de soquettes ! La midinette de mes 30 ans allait revivre !
Je passais donc les bas sur mes jambes, caressant au passage mes cuisses, pour le plaisir et la délicatesse d une main sur cette matière Je vérifiais que la bande de dentelle du Dim n apparaissait pas vu la longueur de kilt, puis les soquettes ! Hop, une paire de bottines ! Et tournes devant ta glace ma Sandrine, j était encore bien foutue c était certain !
Dans cette tenue, je finissais de trier un peu les placards, car il me fallait un déguisement,t pour les filles d une amie, et je savais que j avais de quoi faire. L après midi s écoula, et de temps a autres, je jouais a me retourner pour regarder petit derrière, ou encore a croiser mes jambes sur le rebord du lit pour apercevoir la dentelle du bas !
On était sacrement provocantes ! Mon esprit se rappelait les piste de danse
Non ! Merci ! J ai deja un copain ! Hi hi hi c était la reponse classique quand on était repérée
je fantasmais ainsi a mes actes manqués, a ces mecs que j avais taillé d une veste en une réflexion pour ne pas être conne devant les copines. Sans oublier les papotages du lundi, a la machine a café, ou on se racontait les sorties, en enjolivant le prince charmant, qui n était a cette époque que mon mari ! Personne d autre ! J étais sage, comme une épouse modelé ! Mais aujourd'hui
j étais perdue dans mes rêveries, et je descendais dans ma tenue années 90 sans y prêter attention !
Je regardais la telle, quand Alexandre rentré. J entendis la voiture rentrer au garage, puis son pas dans l escalier . Il déboula dans le salon, sans attention particulière pour moi, mais j avais l habitude de ce coté routinier quand il rentrait. J entendis le coupe papier ouvrir le courrier, puis l habituel «
oh merde ! Encore ça a payer !
Et pour le dossier retraite, il leur faut encore une pièce !
Bon, il était en pleine forme, visiblement, car il se servit son petit whisky, me demandant machinalement si j en voulais un ! Et de lui répondre pour la 36000eme fois que je préférai un Martini ! Bruits de verre, porte du frigo, glop glop glop, puis bloup bloupbloup, les verre sont pleins comme a l accoutumée, et il me rejoint enfin dans le salon !
Il marqua l arret, comme un épagneul devant une perdrix royale !!! bouche bée !!!
ça va Alex, lui demandais je d un ton badin !
Ben ! Euh ! Oui ! Euh ! Il bredouillait avec ses deux verres
Ou tu as trouvé ces fringues ? C est plus la mode !
Oui, mais il n empêche que tu me regarde bien comme à l époque ou je les portais
je devinais au gonflement de son pantalon que l effet années 90 était bien la ! Et je croisais mes guibolles dans l autre sens, prenant soins de dévoiler le haut de ma cuisse ! Ses yeux s ouvrirent encore plus grands, et une perle de sueur roula sur son front ! Je balancés mon pied, pour qu il détaille bien la petite soquette. Ces petits trucs qui les faisaient tourner les tettes aux terrasses des café ! Ou qu on m amenait le café dans mon bureau ! Hi hi hi
il s approchât, et se penchât sur moi, pour un bisous !
Je ne vous connais pas ? monsieur ? Dis je d un air distant
Quoi, je peux pas te faire un bisous ?
Je ne suis pas une fille qui se laisse draguer par n importe qui ! L air hautaine
Il resta un instant perplexe, puis il réagit vite, (et intelligemment pour un homme) et sortit un 33 tours (et oui, on en a encore, et on en racheté, mode oblige) ! Grésillement du saphir, Ta ta ta ta ta tam ! Ta ta ta tam ! Sardou, je reconnus la musique d intro, avant les paroles sur lesquelles mesdames on a toutes fantasme en secret !
A faire pâlir tous les Marquis de Sade
A faire rougir les putains de la rade
A faire crier grâce à tous les échos
A faire trembler les murs de Jéricho
Je vais t'aimer
Il me ta,dis la main pour m inviter a danser, et je me levais ! Oh comme il est doux de se rappeler comme ça un peu le temps d hier ! Blottis l un contre l autre, sa main descendant mon dos, puis mes reins, et que pour le fun je remontais quand elle atteignais le bas de mon kilt, alors que la mienne tournais vers l avant de son pantalon ! Hum ! Comme c était bon, la tette humant la chaleur de son cou, et la main qui agrippait son sein au travers de la chemise !
Allons, pas de chichis mesdames, on a toutes vécu ces moments torrides, qui recentraient l immanquable « patin », ou si possible les copines devaient voir que c était dans la poche, puis le traditionnel verre de champagne, ou le punch au bar, ou la main furtive remontait notre jambe, et qu on laissait faire, histoire de prouver qu on était libérée ! On a toutes fait notre sortie triomphale vers le canapé ou le pouf ou l équipe nous attendait !
Vous inquiétez pas pour moi, je rentre avec Appolon ! Il a une Golf GTI !
On était connes, on se la pétait, mais que c était bon !
Bon , mon Appolon affiche maintenant un profil plus prés de Bacchus, mais il danse encore bien le rock, et la pour ce slow, il était parfait. Sa main avait fini par relever le petit kilt, et glissait sur la bande de chair entre ma petite culotte, et le bas. Et sa bouche avait rejoint la mienne aussi, et ma main avait aussi rejoint son entrejambe, et il m invitait a rejoindre le canapé, et je prétendais vouloir encore danser ect ect ?.. Nostalgie ? Non, le temps passe, mais on s aime encore !
Finalement je craque, on se pose sur le canapé, baisers fougueux ! Sa mains remonte sous la jupette plissée, et son doigt s immisce sous ma dentelle ! Oh putain ! que c est toujours aussi bon ! On ne s en lasse pas ! La phalange qui titille le clitoris, et les cuisses qu on a envie d écarter, mais qu on s efforce de tenir serrées ! L autre main qui souligne le seins, écartant le pan du chemiser entrouvert ! C est fou cet effet !
Tu viens ? on monte chérie ? La suite logique non ! La phrase classique
Je voulais pas du classique, pas ce soir, pas dans cette tenue ! Non autre chose !
Tu viens chéri ? On descend ?
Un quart de tour magique, il me regarde ? Il me répond en reprenant ma question ? On descend ? Je prend la direction du sous sol, prenant soins de lever mes genoux un peu plus haut que d habitude, façon défilé de mode ! He ! Années 85/90 oblige ! Je sais qu il me matte le cul, j en suis sure ! Le bruit de mes talons en plus ! Et le chemisier qui bat de l aile, laissant le dos apparaître au gré de la démarche !
Hop ! un petit coup d oeil par dessus l épaule ! Oui le chasseur suit le gibier !
Je me pose contre sa voiture (enfin notre voiture, mais c est plus chaud de dire la sienne), et je me laisse embrasser. Ses mains chaudes comme la braise parcourent mon corps, et mes seins se tendent quand ses doigts pincent doucement mes tétons surexcités. Ma main frotte son sexe sur le tissus de son jeans, et bientôt sa bouche quitte la mienne pour mordiller mes seins sur la dentelle !
Ma main ouvre son ceinturon, et je baisse lentement sur mes talons, en léchant son ventre que je griffe au passage ! Ma bouche mordille a son tour le tison de chair enfermé ! Ses mains caresse ma chevelure, et mes doigts abaissent len-te-ment son boxer,libérant le colosse chiure que ma bouche a peine a engloutir tant il est ?????
Qu est ce que raconte ! Tu divagues ma vieille ! Non je rectifie !
Ma main sort un sexe un peu mou, que je masse doucement de ma main, puis comme il durcit légèrement, jet le prend dans ma bouche, lui donnant enfin une vigueur ! Je me relève alors lentement, l embrasse de ma bouche salivant de ses salines effluves, et je sens ses mains qui s agrippent a mes cuisses, me soulevant pour me poser sur l aile de son cabriolet ! Je fais glisser ma petite dentelle, qui reste accrochée a mon talon d un coté, et je sens qu il me pénètre !
Oh ! Ouii ! Hum ! Comme c est bon ! Nos langues entremêlées comme toujours !
Les coups répétés de son ventre contre mon pubis m enflamment ! Je suis bouillante ! Folle ! Histerique
Il me repose, je me retourne ! Son sexe, humide de ma fente qu il venait de prendre, s engage lentement entre mes fesses ! Ouii ! Il est la ! Je le sens ! Je suis a lui ! Il est a moi ! Nous sommes a nous ! Viens ! Cognes tes bourses a me fesses ! Oui ! Je te sens ! J aime te savoir en moi !
Il accéléré ! Il pousse a fond son membre en mon corps ! Je l entend ! Il rugit ! Il s immobilise !
Ahhhh ! Tiensssss ! Hummmmm ! C est bonnnnn ! Prends ca !!!!!! oh ! Je t aime
Je sens son corps s écouler dans le mien ! Nous haletons tous les deux ! Un ultime coup de reins
Accoudée sur l auto, je le sens qui se retire, lentement ! Sublime instant ! Je vais le pilonner sur place ! Le scier ! L atomier de sensualité ! L inonder de perversité féminine ! Il va frémir sur ses jambes, en montant l escalier ! Si il arrive en haut !
Je recupere ma petite culotte a mon pied, et en tortillant a peine mes fesses pour rejoindre l escalier, je le cloue au sol ! Je remonte devant lui l escalier, tandis que le long de mes jambes coule son amour, sa semence ! Il en voit les gouttes qui dévalent les bas noirs ! Il ne voit que cela ! Je le sais ! Ma petite culotte a la main, je m arrête, juste en haut des marches ! J entrouvre mes jambes ! Je sens sa bouche qui remonte le bas, puis l autre sa langue qui aspire sa sève sur mes fesses, dans ma raie !
Ahhhh ! Tiensssss ! Hummmmm ! C est bonnnnn ! Prends ca !!!!!! oh ! Je t aime
A mon tour, je viens de craquer ! Je crois que je vais encore conserver ce petit kilt et ce chemisier
70ASIUL
5485 km, Femme 64 / Homme 67
publié il y a 4 ans
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