Premiers pas en terre inconnue
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Adeptes des vacances en camping-car, nous nous sommes rendus en famille dans un camping en bordure de l'Ardèche, en été 2021.
Si la première semaine de vacances s'était déroulée tranquillement, dans la détente la plus complète, la deuxième semaine a permis de faire évoluer la relation avec mon épouse, avec laquelle j'étais dans une relation exclusive depuis 18 ans.
Alors que nous nous trouvions sur une plage de galets à prendre le soleil, ma femme, Tanja, m'a spontanément déclaré qu'elle était prête à tenter une partie à trois, avec un autre homme. Si mon esprit s'est emballé, je lui ai quand même demandé d'où venait cette soudaine envie.
Là, elle m'a expliqué qu'un jeune homme, au camping, ne la laissait pas indifférente et que c'était visiblement réciproque. A chaque occasion, il tentait de l'approcher pour échanger quelques mots lorsqu'elle se trouvait seule.
Du coup, les jours suivants, j'ai observé le manège. J'ai pu voir des échanges de regards, des sourires. Mais, étant présent, ce prétendant restait toujours à bonne distance. Comment aurait-il pu imaginer que l'homme que je suis appréciait l'expérience. Plus encore, je fantasmais à l'idée de voir ma femme prise par un autre homme.
Un soir, alors que nous mangions au restaurant du camping en famille, ce jeune homme, accompagné d'un ami, a pris place à une table proche de nous. Une faible distance nous séparant, nous avons pu percevoir les échanges de nos voisins et nous avons appris que ce jeune homme se prénommait Jason et que c'était son dernier soir dans le camping. Le lendemain, il devait repartir dans le nord de la France. Immédiatement, j'ai pu lire la déception dans les yeux de ma femme.
Le repas terminé, j'ai invité les enfants à rejoindre le camping-car pour dormir. Ceci nous laissait plus d'espace.
S'il était évident que Jason matait Tanja, il n'osait pas engager la conversation. Alors, pour faciliter la chose, je me suis absenté une dizaine de minutes. A mon retour, j'ai vu, à distance, que le dialogue s'était bien engagé. Toutefois, dès mon arrivée à table, il a cessé tout contact. Pire encore, une fois son verre vide, Jason est parti.
Quelques minutes plus tard, alors que nous regagnions notre camping-car, nous avons passé devant le mobile-home de Jason. En compagnie de son ami, il sirotait une bière sur la terrasse. Là, ma femme a pris l'initiative et a engagé la conversation. Après quelques minutes, elle a invité Jason à passer à notre camping-car pour boire une bouteille avant son départ du lendemain. Visiblement gêné par la situation, il a préféré décliner l'invitation, pour la plus grande déception de Tanja.
Sur le reste du trajet pour rejoindre notre véhicule, j'ai proposé à ma femme de retourner le voir seule. Ce soir-là, elle était habillée d'une petite robe estivale qui mettaient bien en valeur ses formes généreuses. Je lui ai dit que Jason ne pourrait pas résister et qu'elle pouvait, s'il était déjà couché, laisser son numéro de téléphone à tout hasard.
Gênée comme une adolescente, elle a tout de même succombé à ma proposition. Arrivée au camping-car, elle s'est empressée de trouver un bout de papier pour y griffonner son prénom et son numéro de téléphone et est partie d'un pas rapide.
Et là, j'ai connu l'attente… les minutes s'égrenaient sur l'horloge digitale de mon réveil.
Après une bonne quarantaine de minutes, j'ai commencé à m'inquiéter et j'ai tenté de voir mon épouse, sur le chemin, dans l'obscurité. Rien. Dix minutes plus tard, j'ai entendu des bruits de pas. Là, à la faible lueur de la lune, j'ai vu Tanja qui s'approchait du camping-car.
Arrivée devant la porte, elle s'est penchée en avant et tentait de reprendre son souffle. Il s'était passé quelque-chose avec Jason et elle avait visiblement besoin de récupérer son souffle et son esprit avant de me rejoindre. De mon côté, j'étais tiraillé par la jalousie et par l'excitation.
Une fois entrée dans le véhicule, elle m'a rejoint d'un pas pressé et m'a enlacé en serrant très fort. Je ressentais sa culpabilité et son étreinte lui permettait de trouver du réconfort.
Mon excitation a pris le dessus et je l'ai embrassée avec fougue. Je fouillais de ma langue cette bouche qui, visiblement, avait été fouillée par une autre langue, voir plus, peu de temps auparavant.
Prestement, j'ai retiré la petite robe et libéré son opulente poitrine que j'ai parcourue avec ma langue et j'ai mordillé ses tétons qui étaient déjà (ou encore) dures. Un goût salé s'est révélé à mes papilles, ce qui n'a que décuplé mon plaisir. Couchée sur le lit, ma langue a continué son exploration, pendant que mes mains caressaient l'entier de son corps. Arrivé à son string, j'ai senti le tissu et apposé mes lèvres au niveau de sa vulve. L'humidité était perceptible.
Après avoir délicatement retiré cette culotte, j'ai pu profiter d'une chatte bien mouillée, bien au-delà de ce que peut provoquer l'excitation. Nul doute, un autre homme avait passé par cette désirable cavité. Ma langue a donc profité d'explorer cette vulve pendant plusieurs minutes, n'en perdant aucune miette. Ma femme se tordait de plaisir, sans un bruit.
Puis, j'ai guidé ma queue pour qu'elle pénètre très lentement cette chatte propre. J'ai continué par des va-et-vient lents tout en prenant appuis avec mes mains sur ses épaules pour m'enfoncer le plus profondément en elle. Son corps, réceptif, accentuait mes mouvements. Le contact de nos deux corps brulants rendait l'atmosphère étouffante. Notre transpiration s'en donnait à coeur joie à la faveur de cette nuit d'été caniculaire.
Après quelques minutes de ce traitement, n'y tenant plus, j'ai rependu ma semence sur les seins de ma belle. Des jets puissants et épais ont constellé sa poitrine, visibles à la seule lueur de la lune qui avait trouvé le temps de monter dans le ciel étoilé.
Comblé par ce spectacle et encore excité par les circonstances, j'ai nettoyé la zone de ma langue avant d'embrasser à plein bouche Tanja. Puis, nous avons été emportés par le sommeil.
Le lendemain, à notre réveil, Jason était déjà parti.
Je n'ai jamais demandé à Tanja ce qu'il s'était réellement passé avec cet amant d'un soir. Cela lui appartient. De mon côté, j'ai appris que le partage m'apportait énormément...
Swinger
5741 km, Femme 47 / Homme 49
publié il y a 2 mois
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