Première expérience, inattendue...
6
C'est le moment de raconter à tous un souvenir que je n'ai jamais raconté à personne.
Il y a environ 25 ans maintenant, - j'étais encore jeune à l'époque-, j'étais allé draguer un soir dans une boîte de nuit près de l'aéroport de Genève qui s'appelait « Le milliardaire ». C'était dans le bâtiment de Palexpo. Je ne sais pas si ça existe encore, je crois que non.
Parfois on trouvait de la bonne femelle là-bas.
J'étais au bar, il y avait pas mal de monde. Je regardais autour de moi pour trouver une femme chaude que je pourrais emballer. J'en vois une, assise sur la banquette au bord de la piste de danse, qui avait l'air pas mal. Seule, environ 40 ans, pas spécialement jolie mais bien, habillée de manière banale comme une petite bourgeoise, avec une petite robe de couleur beige, pas une minijupe. Elle avait des chaussures à talon, mais pas sexy, Bref elle était quelconque en somme mais elle avait l'air pas mal. Je la trouvais attirante. Elle avait l'air d'une mère de famille plutôt rangée, mais je sentais qu'elle avait quelque chose de spécial. Je ne me trompais pas.
Je m'approche et lui propose de danser un slow. Elle accepte.
On danse, bien collés l'un à l'autre. Elle ne disait rien, pas bavarde la dame. Je sens son corps, en fait extraordinairement attirant et souple, qui se laissait faire. Elle était très bien faite, mince, plutôt grande, peut-être 1 m 70, peut-être un peu moins, blonde-châtain, avec un ventre bien plat, les cuisses parfaites, les seins parfaits aussi, un peu petits. Je sentais que je pouvais faire ce que je voulais, elle serait toujours consentante avec ses airs de sainte nitouche.
Je lui demande : « Vous êtes venue seule ? » Elle me répond : « Non, je suis avec mon mari ». Ça m'a étonné, et je lui dis : « Aïe, pas de chance pour moi, j'avais envie de vous draguer et d'aller au lit ». Elle répond : « Pas de problème, je suis d'accord. On est venu là pour ça ». « Mais alors votre mari, il est d'accord ?». « Oui, tout à fait. On sort comme ça tous les week-ends, je cherche des hommes et lui il m'accompagne ».
J'étais de plus en plus étonné et excité en même temps. On continue à danser. Je pose mes mains sur ses hanches. Je sens que sous sa robe quelconque, elle a des porte jarretelles sexy, ça me fait bander. Je lui dis : « Waw ! tu m'excites ». Je commençais à la tutoyer, je n'ai pas le tutoiement facile pourtant d'habitude.
Je me serrais contre elle et elle pouvait sentir que je bandais. On était tous très serrés, donc je pouvais commencer à la peloter discrètement sans que personne ne remarque rien. Je sens sa chatte qui est toute mouillée. Elle est discrète, elle ne dit rien, mais je sens qu'elle est aussi excitée que moi. Je réussis à caresser un peu sa vulve et son clito. Son mont de Vénus est très proéminent et frémissant, tout mouillé. Mon excitation devient indescriptible. Je lui dis : « Maintenant j'ai envie de te baiser. On va où ? » Elle me dit : « On peut le faire ici ». « Quoi ? Ici ? C'est impossible ! ». « Si, il y a un coin, on connait bien. C'est derrière le bar. Mon mari montera la garde pour être sûrs qu'on viendra pas nous déranger ». J'étais tellement excité… Elle dit : « Suis-moi ».
On sort de la piste de danse. Elle me présente son mari, un grand gaillard en jeans, très sympathique, un peu du genre cowboy. On se serre la main. Le gars nous précède. Il se dirige vers le bar et je m'aperçois qu'en effet derrière le bar, il y a une cloison avec un grand miroir dans lequel se reflète la salle de danse, ce qui donne l'impression qu'elle est deux fois plus grande qu'elle n'est en réalité. Mais derrière cette cloison il y a un coin séparé, avec une table et une banquette confortable, assez grande on peut même s'allonger entièrement dessus. Parfait pour baiser. Ici deux à quatre clients peuvent s'installer pour une consommation. Et de cet endroit on ne voit pas la salle et on ne peut pas être vus de la salle, ni du bar, puisque c'est derrière la cloison.
On est « de l'autre côté du miroir », c'est le cas de dire.
On s'assied avec la femme, et le mari nous demande ce qu'on veut boire. Il commande pour nous une bouteille et il nous la met sur la table avec deux verres. Puis il ressort et se poste en sentinelle à l'entrée de notre nid d'amour. Costaud comme il était, personne n'aurait osé forcer le passage, et de la salle, on ne voyait pas ce qui se passait là, dans la pénombre….
Ce qui s'est passé ensuite, vous le devinez tous. Je ne vous donnerai pas les détails sales petits curieux vicieux. Mais je peux dire que c'était une amante exceptionnelle. Elle suçait comme une reine. Elle était hyper chaude. Elle ne savait pas s'exprimer par le langage, mais dans le sexe, là elle savait s'exprimer. Je l'ai prise plusieurs fois, dans toutes les positions… J'ai joui plusieurs fois, et elle aussi.
Cette histoire continue, après ça on a changé de crémerie et on a été baiser ailleurs. Mais je vous garde la surprise.
La suite au prochain numéro.
Ah dernier point : je garantis que l'histoire est vraie.
bel-ami
5741 km, Homme 55
publié il y a 6 mois
inscrivez-vous !