C'est l'histoire d'une des photos de mes albums, celle où je suis sur le dos, avec une dame qui me fait gouter son joli sexe épilé...
Cela se passait sur la plage de Pen Bron (près de La Turballe), une plage naturiste.
Je faisais un entrainement de course à pied et j'étais loin de toute idée coquine, d'autant qu'il était 11:00 du matin...
Il n'empêche : j'ai aperçu un couple sur la plage, nu, qui se caressait sous les yeux de quelques spectateurs (qui avaient gardé une distance respectueuse)
J'étais dans mon entrainement et j'ai continué à courir jusqu'au bout de la plage, un peu troublé quand même...
Mais à mon retour, le couple était toujours là, et toujours aussi caressant...
Je me suis arrêté et je me suis assis près d'eux, le sexe déjà raide d'excitation sous mon cuissard de course serré.
Je n'ai pas tardé à me mettre nu : mon anatomie ne laissait rien ignorer de mon envie
Et c'est alors que la belle dame a commencé à masturber son compagnon en me souriant : quelle plus belle invitation ?
Je les ai rejoints...
Ils étaient tous les deux sveltes et bronzés (c'était la fin de l'été)
La dame avait un joli corps souple et de petits seins fermes aux pointes dures d'envie et un sexe épilé, offert à ma langue...
Était-ce la chaleur du soleil ou était-ce l'excitation, en tous cas son sexe soyeux était presque brulant quand mes lèvres se posèrent sur lui;
Il était délicat, entièrement lisse, avec des lèvres fines et douces.
C'était un régal pour ma langue et mes lèvres et je le dégustai avec bonheur, découvrant ses replis satinés, butinant son joli bouton d'amour, que je sentais palpiter sous mes coups de langue, ce qui arrachait de longs soupirs d'aise à la belle...
Je la sentais se cambrer au fur et à mesure des ondes de plaisir qui envahissaient son bassin, puis son corps entier;
Une douce liqueur de plaisir vint doucement lubrifier la jolie fente et je m'en régalai
Nous avions peut-être un peu vite oublié que nous étions sur la plage...
Un promeneur se chargea de nous le rappeler, en termes très gentils, nous expliquant qu'il voulait que la plage reste ouverte au naturisme et qu'il valait mieux poursuivre nos ébats dans un endroit un peu moins visible.
Il fallut donc se rhabiller et gagner les bois derrière la plage;
Mon cuissard de course à pied avait du mal à contenir mon excitation, que cet épisode avait fait monter encore plus, et la belle était vêtue avec une ravissante impudeur, d'un short tout petit petit et d'un chemisier blanc translucide qui ne laissait rien ignorer de ses tétons pointés de désir:
Arrivés dans le lieu qui convenait, les voyeurs derrière nous, j'attirai la belle contre moi et elle m'embrassa d'un baiser de désir fougueux. Je sentais son corps contre le mien et je défis un à un les boutons du chemiser, rendant à la caresse du soleil sa belle peau dorée et ses seins magnifiques.
Je ne résistai pas au plaisir de m'allonger sur le dos et d'attirer son sexe sur ma bouche; Un rayon de soleil passait à travers les arbres et c'est là que son compagnon prit la photo.
Je sentais son joli sexe abuser de ma bouche, frotter chacun de ses points sensibles sur mes lèvres et ma langue;
Le bassin de la belle coquine ondulait, tantôt lentement, tantôt frénétiquement au rythme de ses envies et j'entendais son souffle profond s'amplifier;
Son joli anus souple et sensible s'attardait quelquefois sur mes lèvres et je le sentais palpiter au gré de mes caresses.
Je sentais la liqueur chaude du plaisir couler des lèvres de ce beau vagin et se répandre sur mon visage;
Une main masculine caressait mon sexe dressé, des doigts parcouraient mon corps, mon ventre, mes cuisses, mon joli anneau sensible et une bouche finit par donner sa douce chaleur à mon sexe quand la belle lui dit : "suce le"; L'une de mes mains avait trouvé le sexe du compagnon dur d'envies lui aussi;
Je sentis la belle accélérer le rythme de ses frottements contre ma bouche, excitée de voir son chéri aller et venir sur mon sexe.
Quel bonheur c'était de sentir son plaisir à elle monter à l'unisson du mien
Je sentais les spasmes envahir son bassin, de plus en plus puissants à mesure de ceux qui parcouraient aussi mon ventre et mon sexe.
Son rythme devint frénétique et d'un coup elle cria sa jouissance, trempée et pantelante de plaisir.
Presque au même moment, le doigt qui caressait mon bel anneau me pénétra, déclenchant aussi mon plaisir, en saccades incontrôlées, pendant que le sperme du compagnon se répandait lui aussi sur mon corps en jets puissants...
Nous sommes restés ainsi de longs instants, en sueur et heureux, inconnus mais proches, réunis pas le plaisir que nous venions de nous offrir.
Pedrolino
5817 km, Homme 59
publié il y a 16 jours
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