Ma femme et moi faisions souvent l'amour et nous entendions très bien dans ce domaine.
On parlait et on fantasmait pour s'exciter. Je parlais souvent de pipes et de la faire sucer pour elle et pour moi. Elle me disait qu'il n'y avait pas que ça bien qu'elle était une excellente tailleuse de pipes. Dans nos histoires, elle me disait fantasmer sur le fait qu'un autre homme la baise, qu'elle aurait plaisir à se laisser aller dans les mains et sous l'étreinte d'un autre gars que moi avec moi ou sans moi. Cela pimentait nos ébats. J'étais excité à la fois de la jalousie que ça me procurait et le plaisir de jouissance que ça pouvait lui donner.
Progressivement, on s'est demandé si c'était uniquement de l'excitation ou un réel fantasme à assouvir. Nous en sommes convenus que pour qu'il n'y ait pas de tromperie, elle pourrait rencontrer un homme mais sous ma direction et toujours devant et avec moi.
J'ai donc entamé des recherches d'un gars bien bâti et bien monté, l'objectif n'étant que sexuel. Après plusieurs échanges par mail, j'en ai sélectionné un, Didier.
On s'est alors téléphoné et avons bu un café dans un bar en ville pour échanger sur nos fantasmes, nos pratiques et ce que chacun voulait bien.
Certains jeux ou certaines situations ont été préparés lors de notre rencontre préalable entre hommes.
Le jour prévu, un samedi à 14h précises, on sonne au portillon. J'appuie sur l'interphone et libère la porte. Didier se présente derrière la porte vitrée du séjour, je le fais entrer. Il reste debout devant la porte, Sandra (ma conjointe) installée dans le canapé le regarde de haut en bas. Je lui demande s'il a l'air de convenir. Sandra me répond « c'est possible, faut voir »
Moi : - viens en faire le tour pour accepter ou refuser.
Elle se lève donc et fait le tour de Didier comme on le ferait d'une voiture qu'on veut acheter.
Je demande à Didier de se déshabiller pour que Sandra puisse apprécier ses formes, ses pectoraux et sa bite. Il s'exécuta. Nous avions devant nous un bel homme d'un mètre quatre-vingt, avec de beaux pectoraux et une belle queue qui, bien qu'encore au repos, était bien développé.
Je lui dis donc, qu'en penses-tu ? Veux tu palper ?
Oui, il faut ça me dit elle.
Elle caresse délicatement son dos musclé, sa poitrine et ses pectoraux. Ce simple effleurement mit en érection notre hôte. Elle descendait sa main pour effleurer son sexe et ses boules puis osa prendre en main cette bite bien dressée et qui avait l'air bien dure. « Ok » me dit elle.
Je demandais donc à Sandra de se déshabiller aussi, j'en fis autant.
Moi : Maintenant je vais te présenter Sandra
Je me positionnais derrière elle et pris ses magnifiques seins dans les mains en disant à Didier « de superbes seins, la bonne taille, ni trop gros, ni trop petit et avec des tétons superbes ». Didier appréciait (toujours en érection). Je continuais et passais la main entre les jambes de Sandra pour écarter ses lèvres pour que son clitoris soit bien visible. « Vois-tu ? magnifique chatte, n'est-ce pas ? », « en effet », répondit il.
Je continuais à flatter le corps de ma compagne puis « Chérie, baisse toi en avant que Didier apprécie ton petit cul », je l'aidais à se baisser et lui doigtais la chatte déjà bien accueillante. Je profitais de l'humidité de mon doigt pour lui mettre dans le cul et signaler à Didier qu'elle n'était pas vierge du cul mais que je comptais garder ce trou pour moi. Didier acquiesça.
Moi : « alors Didier, que penses-tu de cette salope ? veux tu passer l'après midi avec nous et la baiser ? »
Didier : Oh oui, d'ailleurs je ne débande pas, j'apprécie ces belles miches et ce superbe entre cuisses, tu ne m'avais pas menti
Moi : On peut aller boire un café maintenant, allons s'installer au salon, installez vous sur le canapé, je vais prendre le fauteuil en face
Je me déplaçais vers la cuisine (ouverte sur le séjour) pour préparer les cafés. Didier et Sandra échangeaient quelques mots que je ne comprenais pas. Je déposais le café sur la table du salon. Didier déposait sa main sur la cuisse de Sandra, qui en réaction écartait ses cuisses. J'étais en face et je bandais aussi très dur.
Nous échangeons quelques mots sur tout et rien mais la main baladeuse de Didier remontait en haut de la cuisse pour effleurer sa chatte (qui luisait de mouille) et descendait jusqu'à son genou. Je me déplace alors pour m'assoir à côté de Sandra, elle avait donc de chaque côté d'elle un homme en érection. Elle ne put s'empêcher de prendre une bite raide dans chacune de ses mains. Elle les masturbait très délicatement. J'enfouis un doigt dans sa chatte trempée. Didier, vérifie toi-même si notre femelle est prête lui dis je.
Il mit donc son majeur dans sa chatte, le sortit puis enfourna 2 doigts, les sortit, puis enfourna trois doigts et fouillait bien. Puis il lui caressait la poitrine, lui prit un sein en bouche tout en continuant de lui titiller le clito. A mon tour, je la doigtais à nouveau et effleurait la main de Didier qui s'occupait du clito.
Sandra gémissait un peu et se lâchait. Il se mit alors debout devant elle pour lui faire goûter sa bite. La présence de ce beau membre devant elle ne la fit pas hésiter. Elle le prit en bouche et le suçait avec vigueur. Sandra était en train de sucer un autre homme devant moi, à quelques centimètres de moi. Je trouvais la scène magnifique. Didier appréciait cette pipe et elle avait l'air de déguster une nouvelle bite sans me trahir et en se faisant plaisir. Très excité, je me lève et pousse délicatement Didier pour le remplacer. Didier profitait pleinement du corps de Sandra en la caressant partout avec ses deux mains.
Les ébats évoluaient bien. Sandra touchait une bite ou une autre, Didier la caressait toute entière en passant assez souvent sur sa chatte, son clito et sa vulve, et moi aussi profitais de cet instant de bonheur que j'offrais à Sandra. Sandra appréciait d'être touchée et caressée à 4 mains, profitait de caresser ou sucer deux bites l'une après l'autre. On se retrouvait sur le tapis du salon. Didier positionnait Sandra en levrette et après lui avoir lécher la chatte et le cul, s'agenouillait derrière elle. J'explosais de plaisir. Quand Didier s'enfonça dans sa chatte, je ne puis résister à me mettre à genoux devant elle pour me faire sucer et être aux premières loges de sa saillie. La jouissance montait en moi et ne puis m'empêcher de lui dire « allez salope, fais toi plaisir, et avale moi ». Ma giclée dans sa bouche fut copieuse. Je crois qu'elle-même jouissait du fait des coups de butoir qu'elle recevait et d'avoir senti que j'avais joui. Mais Didier était endurant et continuait ses va et vient. Elle couinait jusqu'à ce que Didier pousse un petit cri en se lâchant dans sa chatte.
Quelques instants au calme puis je proposais de boire un verre d'eau pour se remettre. J'étais vidé, épuisé mais heureux que Sandra se soit bien faite plaisir dans sa chatte.
Mais Didier n'avait pas l'air rassasié, il continuait à caresser les seins et le corps de Sandra, je voyais sa bite remonter doucement mais surement. Pour ma part, j'étais excité mais incapable de bander à nouveau. Sandra, qui à l'habitude se satisfait d'un orgasme avait l'air d'apprécier la recharge rapide de notre étalon. Progressivement, ils recommençaient à baiser devant moi. Je regardais et m'excitais sans bander ! Il l'a faite assoir sur lui qui était assis sur le canapé. Elle s'empalait et prit son pied une deuxième fois. J'étais admiratif !
La fin de l'après midi nous a permis de nous séparer, tous satisfaits. Comme convenu, Sandra n'avait pas les coordonnées de Didier et je préférais éviter qu'elle le revoie.
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