Forum de la rencontre candauliste

Nous restâmes un moment ainsi, allongés côte à côte, profitant au maximum du spectacle et du plaisir que nous offrait ma femme.
Une queue dans chaque main, sa bouche alternait entre les pipes vigoureuses et les jeux de langues plus sensuels sur nos glands et nos couilles gonflés de plaisir.
Elle s'arrêta quelques instants continuant de nous branler et observant avec envie nos sexes dressés et durs comme de la pierre luisants de bave.
Elle se leva, tendit un nouveau préservatif à A. qui eut à peine le temps de le dérouler avant ma femme ne vienne s'empaler sur lui jusqu'à la garde poussant un long gémissement.
Elle se mis alors a onduler le bassin sensuellement en gardant son amant au plus profond d'elle et frottant sa vulve contre le pubis de son amant qui lui maintenait fermement les hanches.
Lorsqu'il lui saisit les deux seins pour les malaxer, Marine commença de va et vient assez intenses, renversant sa tête vers l'arrière et plaquant ses mains sur le torse de son amant.
Je me plaçais derrière elle pour observer la queue d'A. entrer et ressortir de la chatte toute crèmeuse de ma femme en me caressant devant cette scène incroyablement érotique.
Pour me faire profiter d'avantage, A. saisit les fesses de Marine et les écarta pour me faciliter la vue dévoilant également un petit trou légèrement ouvert.
J'embrassai les fesses de ma chérie jusqu'à ce que ma bouche n'atteigne sa rondelle.
Comprenant mon intention, Marine se cambra davantage en se penchant sur A. qui en profita pour littéralement lui dévorer les seins.
Je fouillai notre petite trousse à malice pour en sortir le lubrifiant que j'appliquai lentement sur l'anneau de ma chérie avant d'y entrer délicatement phalange puis mon majeur tout entier.
Je commençais un lent va et vient qui semblait plaire à ma femme dont les gémissements se faisaient de plus en plus appuyés.
Je ressortis mon doigt et après avoir ajouté un peu de gel, je le remplaçais accompagné de mon index sans aucune difficulté.
Le cul de ma femme était brûlant et je pouvais sentir la queue de son amant à travers ses parois.
Il était temps de franchir la nouvelle étape dont nous avions tant parlé en préparant la soirée...
Je récupèrais mes doigts et je me positionnais assez maladroitement je dois le dire derrière Marine qii cessa ses va et vient, A. lui écartant les fesses pour me faciliter le passage.
Un peu gêné par les jambes de mes deux partenaires je mis quelques secondes à trouver le chemin.
Marine m'indiqua que j'y étais par un "Vas-y là" et je m enfonçais assez brutalement en elle.
Elle gémit mais ne sembla pas souffrir de cette maladresse.
Je me gainais dans cette position assez inconfortable tandis qu'elle prit les choses en main reprenant lentement ses mouvements de bassin, une queue dans chacun de ses orifices.
Ses mouvements s'accélèrerent au rythme de ses gémissements de plus en plus intenses.
Malgré ma position j"essayais de tourner la tête pour nous observer dans le miroir situé derrière nous ce qui me mit dans un état presque second même si le tableau qui s'offrait à moi était incomplet.
Soudain les gémissements se firent plus étouffés et je compris que Marine et A. s'embrassaient à pleine bouche.
Ma chérie avait cédé à la dernière barrière qu'elle s'était elle même fixé avec son amant signe qu'elle était complètement libérée.
J'entendais leurs lèvres et leurs langues se mélanger ce qui me lança des frissons dans tout le corps et sentant mon plaisir monter je me retirai et m'écartai.
J'en voulais plus. Je souhaitais que cette scène dure.. longtemps...
La position semblait également être difficile pour Marine qui se retira également et s'allongea en cuillère à côté de son amant qui ne lui laissa aucun répit.
Écartant les fesses de ma chérie, il demanda "Et moi aussi je peux passer par là ?"
Question purement rhétorique car sans attendre la réponse de ma femme, il la sodomisa.
Marine accueillit cette intrusion sans broncher se contentant de lâcher un "ouuuhh" très excitant en fermant les yeux et blotissant sa tête dans l'oreiller.
Un de ses mains descendit vers son entre-cuisse qu'elle se mit à frotter lentement pour accompagner la queue d'A. qui la pénétrait de plus en plus profondément.
Je m'approchai d'elle et lui saisit un sein pour lui titiller le mamelon.
Semblant alors se rappeler de ma présence, ma femme se contenta de passer sa main libre sous mes bourses pour me les caresser au rythme de sa masturbation.
Je contemplais ma chérie prendre du plaisir avec son amant qui continuait de lui prendre les fesses avec vigueur tandis qu'elle branlait maintenant ma queue bandée au maximum presque douloureuse d'excitation.
Soudain, je sentis une intense chaleur me brûler le ventre.
Je me raidis de façon incontrôlable et lâchant son sein, je vins serrer ma queue à la base de mon gland devenu violet losqu'un un premier jet de semence puissant et abondant jaillit pour s'écraser sur le buste de Marine qui rouvrit les yeux.
Je corrigeais le tir juste à temps pour qu'un deuxième jet encore plus abondant ne vienne lui couvrir les seins.
Les jets s'enchaînerent ainsi longtemps semblant ne jamais pouvoir s'arrêter.
J'accompagnais chaque giclée d'un râle de plaisir que je ne pouvais contenir.
Les seins de ma femme étaient dégoulinants de mon jus maintenant aussi transparent et liquide que de l'eau.
Marine m'observait jouir en astiquant maintenant frénétiquement son clitoris tandis qu'A. à qui la vision de ma femme couverte de mon jus semblait plaire lui pilonnait désormais les fesses.
La main de Marine ralentit d'un coup et elle eu juste le temps de plonger sa tête dans l'oreiller pour couvrir les hurlements qu'étaient en train de lui provoquer un incroyable orgasme anal.
Sûrement serré par les contractions de plaisir de ma femme, A. souleva son bassin et cramponnant celui de Marine, il plaqua son pubis contre ses fesses pour décharger au plus profond d'elle même.
Sa jouissance semblait également intense car il accompagnait chaque mouvement de bassin par un cri de plaisir.
Tous les trois terrassés par la puissance de nos orgasmes, nous mîmes plusieurs secondes à retrouver nos esprits dans un silence bercé par nos souffles haletants.
Marine finit par sortir la tête de l'oreiller tandis qu'A. sortait délicatement de ses fesses.
Elle nous regarda les yeux embués et d'une voix cassée par ses cris de plaisir nous lâcha un "C'est tout ?" qui nous fit tous les trois éclater de rire.

Ainsi se déroula notre première expérience libertine.
Même si d'autres très intenses suivirent, celle-ci restera sûrement la meilleure...
Elle fût également pour moi la révélation de mon plaisir candauliste.