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Forum de la rencontre candauliste

Vos aventures candaulistes

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Mon histoire de complice

Alors que le dîner touchait à sa faim dans ce restaurant chic parisien. Madame se jeta sur les lèvres de Jean le complice qui les accompagnait, les embrassa fougueusement en lui posant le plat de la main droite sur la braguette.

Elle sentit la grosseur d'un large bâton entre ses doigts palpant la matière.
Son mari sentit un coup de poignard lui traverser le bide. Comment osait-elle l'embrasser devant lui ? Elle savait qu'il aimait ça ! Cette main qui triturait la bosse de son jean sans aucune gêne !

Cette sensation donnait à monsieur de vifs picotements dans sa verge.

Son mari appréciait que sa femme se comporte en dévergondée, puisque c'était un jeu. Il la laissa faire, les laissa s'embrasser à pleine bouche, la laissa se faire peloter les seins à travers sa veste. Il eut envie de se masturber, mais le lieu était mal choisi.

- On ne peut pas faire ça ici, leur dit-il tandis que les amants s'ébattaient dans des caresses fougueuses et de plus en plus osées.

Madame avait tellement envie de cette queue étrangère, de cette bite qu'elle matait en douce dans le restaurant, qu'elle s'agenouilla et baissa nerveusement la braguette. Son mari se raidit devant cet agissement aussi impatient qu'imprévu.

Encore une fois, Madame semblait oublier sa présence. Heureusement Jean, qui sentait son mari tendu, calma les ardeurs de la dame.

- Je connais un coin plus tranquille si vous voulez.
- Évidemment ! dit Son mari.
- D'accord, souffla Madame après avoir embrassé la bosse du jean. Où va-t-on ?
- Ce n'est pas loin d'ici..

Ils embarquèrent dans le 4x4 de monsieur le mari. Madame monta à l'avant et pendant le trajet, caressa la cuisse de son mari pour le rassurer. Elle s'en voulait d'avoir embrassé le beau gentleman sur les lèvres, de lui avoir touché la bosse comme une femelle affamée de sexe, mais depuis le temps qu'elle attendait ça, depuis le temps qu'elle fantasmait sur cette queue si tentante, qu'il avait été trop dur de résister, même devant son mari. Mais monsieur n'avait pas l'air de lui en vouloir ou tout du moins, ne le montrait pas.

- C'est ici, montra Jean du doigt, après cinq minutes de voiture.
- Quoi ce parking ? s'exclama son mari, étonné d'en quitter un pour en retrouver un autre.
- Oui, c'est le seul de Paris où tu es sûr d'être tranquille. Les flics n'y passent jamais.
- Si tu le dis, maugréa le conducteur.

Il fit le tour d'une station essence désaffectée, grillagée sur toute la périphérie, hormis un écart entre deux barrières dans lequel le 4x4 s'engagea. Quelques secondes plus tard, ils se retrouvaient derrière le bâtiment, à l'abri des regards et de la rue principale. Un lampadaire éclairait l'arrière de l'ancienne station ainsi qu'une parcelle boisée.

Dès que son mari serra le frein à main, Madame descendit de voiture et ouvrit la porte arrière. Jean s'apprêtait à descendre, mais la jeune femme plaqua ses mains sur son torse et le força à s'allonger sur la banquette arrière. Aussitôt elle descendit sa braguette et poussa un petit rire sauvage à cause de l'absence de boxer. Elle passa la main à l'intérieur du jean et, frissonna quand ses doigts entourèrent le membre chaud.

D'un petit coup de poignet, elle le sortit et contempla en se mordant la lèvre l'énorme sexe en érection. Son mari avait bougé le rétroviseur intérieur et la regardait sans rien dire. Leur regard se croisa ; ils se sourirent timidement, puis monsieur cligna des yeux en hochant la tête.

Sans quitter son mari des yeux, Madame ouvrit ses lèvres pulpeuses, sortit le bout de sa langue et titilla le gros gland violacé du gentleman, toujours en regardant Son mari.

Ce dernier sentit ses poils se dresser sur ses avant-bras, mais aussi ceux de son sexe coincé dans son caleçon. Il ravala sa salive quand Madame ouvrit la bouche et avala progressivement le gland, puis le manche. Ensuite, il perdit le contact de ses yeux ; des bruits de succion inondèrent l'habitacle, les gémissements d'un autre homme les accompagnèrent.

- Vas-y, suce-moi, lui dit Jean.

Jean pour couples exigeants lui attrapa sa chevelure et la tira un peu, sans trop lui faire mal. Son mari ne réagit pas, se demanda à nouveau jusqu'où sa femme se laissera faire.

- Ton mari est au courant que tu te tapes le premier type que tu croises ?

Madame poussait des grognements en suçant sa queue, cette queue gourmande, affriolante, irrésistible, malgré les sacrements du mariage qu'elle offensait de manière crue, sans détour, avec franchise et consentement mutuel.
Elle sentait la démone prendre possession d'elle, elle voulait jouir, avoir des orgasmes à répétition avec n'importe qui et pour rien au monde elle ne renierait plus sa nature de femelle excitée par tout ce qui était gros, grand et dur. Comme celle de Jean.

Son mari laissait faire, toutes ses barrières étaient tombées et il adorait voir sa jeune femme être traitée comme une salope. En un mois, elle avait déjà sucé deux types, deux queues inconnues s'étaient introduites dans sa bouche.

Ne tenant plus, Son mari défit sa ceinture, déboutonna son jean, descendit sa braguette, son caleçon et commença à se branler, le regard planté sur la pipe qu'offrait sa femme au gentleman. À chaque insulte de Jean, Madame poussait comme un grognement de plaisir.

- Tu aimes ça, hein, sucer une queue bien dure, t'en avais marre de la queue molle de ton mari.
« Quand même pas » pensa son mari. Madame sortit la bite de sa bouche, s'essuya les lèvres baveuses, et regarda son mari dans le rétroviseur :
- Oui, j'aime tellement les queues inconnues et celle de mon mari est si vieille, osa-t-elle les yeux dans les yeux.

Cette remarque faillit faire éjaculer son mari sur le volant, mais un mouvement troubla son attention, une ombre derrière Madame. Elle sentit des mains se poser sur ses fesses. Elle sursauta et tourna la tête tout en continuant à masturber la queue qu'elle tenait fermement dans la main droite. Elle arrêta son mouvement, regarda de nouveau son mari qui s'était immobilisé.

L'heure H du jour J était là. Son mari pouvait encore tout arrêter, repartir à la maison, et s'ennuyer jusqu'à la fin de sa vie, peut-être perdre sa femme. C'était à Madame de décider, uniquement à elle de poursuivre ou non l'aventure. Quoi qu'elle fasse, son mari la suivrait, mais il espérait que sa femme se comporte en véritable salope. Et jusqu'où irait-elle ?
Un petit sourire, un haussement d'épaules et Madame sombra de nouveau dans le plaisir que lui procurait la queue du gentleman dans sa bouche.

Elle frissonna quand les deux mains de Jeanl la retournèrent et lui pelotèrent les fesses, les caressèrent à travers la jupe, descendirent plus bas, saisirent le vêtement et le remontèrent jusqu'aux hanches. L'espace d'une seconde, son mari entraperçut le visage du gentleman avant que celui-ci ne disparaisse au niveau du postérieur de sa femme. Au-dessus de sa croupe, Jean fouillait son cul.

Madame se cambra, la tête en arrière, ses cheveux lissant son dos et tombant de chaque côté de ses épaules. Elle se mordit la lèvre pour ne pas gémir plus fort sous les coups de langue habile de Jean. Elle aimait ressentir au plus profond d'elle le plaisir de l'interdit devant son mari, jouir, avoir de monstrueux orgasmes.
Son mari entendit des bruits de langue, des clapotis de chair. Sa femme n'avait pas de culotte. Il frémit en pensant qu'elle se faisait faire, qu'elle se faisait lécher la chatte et le cul par cet homme, confirmant ainsi toutes ses plus grandes craintes et la libido débordante de son épouse.

Pourtant il ne bougeait pas, écoutait un autre homme explorer ses intimités autrefois réservées à lui seul. À l'entendre soupirer, gémir, dandiner son cul comme si elle voulait que cette langue s'enfonce plus profondément en elle, cela révélait la perversion extrême de sa femme, car si elle avait voulu, elle aurait pu arrêter cette surprise concoctée par son mari.
Madame à quatre pattes, la jupe relevée sur les hanches. Jean s'agenouilla derrière elle, posa une main sur sa fente trempée et y introduisit deux doigts.

Madame sentit un courant d'électricité lui secouer le corps. Elle fit des arrondis avec son bassin, sa croupe offerte au gentleman. Jean lui caressait adroitement sa petite chatte trempée. Puis elle chercha le regard de son mari dans le rétroviseur et ne vit qu'un bout de lui entre les sièges. Assis sur le siège conducteur,

Son mari s'était penché et regardait la scène à travers la vitre côté passager. Sans pouvoir décrire ce qu'il ressentait, il regardait les doigts de Jean masturber la chatte de sa femme, mais aussi son anus étoilé avec le pouce. Le frétillement du bassin de Madame lui indiquait que ce genre de caresse était hautement apprécié.

Jean lui fit un petit clin d'oeil à travers la vitre puis empoigna sa queue d'une main pour enfiler un préservatif et la présenta au bord des lèvres trempées de Madame à quatre pattes. Jean leva les bras en l'air, un geste que son mari ne comprit pas de suite. Il déglutit quand il vit sa femme donnait un violent coup de reins en arrière pour s'empaler sur le membre dur du gentleman. Un cri de plaisir inonda l'arrière-cour de la station essence. Son mari était cocu mais content.

Voilà, c'était fait, Son mari avait jeté sa femme dans la gueule du loup et elle y avait plongé avec délice et sauvagerie. Sa femme le trompait avec un homme, c'était fait. Jean se désintéressa de son mari et baisa sa femme comme elle le méritait, comme une grosse salope affamée de queue. Jean lui prit les hanches et défonça sa petite chatte gourmande de bites pendant que son propriétaire officiel se branlait dans la voiture.

Jean la baisait tellement fort que Madame poussait des petits cris que les passants de la rue devant la station essence pouvaient très bien entendre.

Sentir cette queue étrangère dans son conduit intime, cette queue si souvent fantasmée mena rapidement Madame à l'orgasme. La chaleur de son sexe explosa dans son corps et Madame en eut le souffle coupé, ses mains se raidirent. Elle poussa un long râle quand l'élixir chaud se déversa dans la capote, l'inondant d'un plaisir supplémentaire, aussi sauvage qu'irrespectueux.

Alors qu'elle reprenait lentement ses esprits, se demandant qui elle était, où elle était et ce qu'elle venait de faire, l'homme de joie la souleva puissamment par les épaules, la forçant à quitter cette bite chaude qui lui tapissait divinement l'intérieur.

Essoufflée et affaiblie par l'intensité de l'orgasme qui avait amolli ses membres, les rendant tremblotants, elle se laissa manipuler comme une marionnette pour remonter dans la voiture.
Monsieur reprit le volant et déposa Jean à une station de métro porte Maillot.

Madame et Monsieur venaient de vivre une expérience de candaulisme avec un gentleman.

Au plaisir de vous faire vivre cette expérience.
Jean
illustration
JeanGentleman
JeanGentleman
5990 km, Homme 50
publié il y a 25 jours
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nous14612
nous14612
il y a 25 jours
Superbe récit, merci
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Swinger
Swinger
il y a 21 jours
Bravo ! J'adore ce récit. Je me réjouis de le vivre avec mon épouse un de ces jours.
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