Forum de la rencontre candauliste

Sandra et moi étions tranquillement dans le jardin, sous un saule dont le feuillage frémissant donnait de la fraicheur à cette fin d'après-midi torride de la mi-Juillet. Nous oscillions entre l'ombre végétale et les rayons brulants du soleil, et nous prenions soin d'enduire nos corps de crème ou d'huile entre deux douches bien fraiches et un moment dans son petit jacuzzi, dont l'eau était presque trop chaude

J'avais un petit maillot de bains noir, petit slip bas sur mes hanches, et larges boucles dorées sur les côtés, le petit haut assortit, avec une boucle entre mes deux seins. Une petite chainette à ma cheville était le seul bijou, la chaleur interdisant tout autre accessoire. Sandrine elle, était lovée dans un petit bikini jaune, lacé sur les côtés et devant pour le soutif. Il tranchait avec le rouge pétillant de ses ongles.

Nos bavardages incessants allaient sur les feux de la veille, magnifiques, le bal qui en suivit, auquel nous n'étions pas allée, et le bar avec ces interminables buveurs de bières et de marquisette, et nous étions deux femmes, sur la robe trop courte que portait The nana trop bodybuildée, ou le short trop échancré de la fille de Trucmuche, qui avait dû se faire sauter trois ou quatre fois dans la soirée avec cette tenue

De temps à autre, nos délires portaient sur un Tarzan ou un Rambo qui ne nous avait pas même regardés, ce qui signifiait surtout qu'il était donc le matuvu de service, et rien d'autre. Nous n'avions pas même remarqué que Luigi et Michel (le prénom de circonstance de mon mari sur candaulisme.net) étaient accoudés au bar de la terrasse, et qu'ils se marraient presque de nos causeries de quinquagénaires
Luigi éclata de rire, quand nous décrivions le Schwarzenegger du village
- parce que vous imaginiez qu'il allait sans vous draguer
- et alors ! on peut toujours rêver !
- vous êtes pas mal, certes, mais pas pour les minets de 30 ans

Ils s approchèrent, et les fantasmes allaient bon train, Sandra nympho déçue de la soirée, et moi la bi qui n'avait rien tenté non plus. La discussion dévia sur notre frustration, et Luigi s'en alla un moment vers ma voiture. Il revint et tendis entre deux petits tuteurs des arbres fraichement plantés le collier de perle dont Lisa vous avait déjà parlé dans une de ses histoires.
- Debout les petites vicieuses ! vous voulez vous éclater ?
- Oh ! Sandy, tu connais les idées géniales de Luigi, essayes !

Je me relevais et m'approchait de mon mari. Il me mit un bandeau sur les yeux puis me passa de fines menottes de velours aux poignets. A mes chevilles, il en fixa à nouveau de petites en velours douces, et il les relia d'une petite barre qui me maintenait les jambes ouvertes. Il passa ligne de perles entre mes jambes, et tendis le tronçon à nouveau. Il revint vers moi, et défit le lien entre mes deux seins, le haut s écarta sur mes petits seins, puis les deux lacets du slip.

J'étais nue ! Que devaient-ils penser de mon corps ? Beau ? Laid ?

Ils me prirent chacun une main, et me firent avancer sur le fil de perles qui trouva aussitôt sa place entre mes lèvres lisses et ma fine raie entre mes blanches fesses. Je ne bronzais pas souvent sans le bas du maillot. Je m'avançais à pas hésitant, et compris très vite le but du jeu coquin de son homme. Je me bloquais, et oscillais d'avant en arrière sur les perles, soutenue par les deux hommes. Ma voix lâcha des gémissements endiablés qui montaient entre les cris stridents des cigales. Mon chien s'approcha et vint sentir mon petit cul délicat. Michel le repoussa gentiment du pied.

Mon bassin ondulait de plus en plus vite, et mon souffle s'accéléra. Lisa s'approcha, sentant ma « petite mort » prochaine, car elle connaissait le pouvoir du jouet. Je la sentis derrière moi, saisissant mes deux petits seins qu'elle fit rouler entre ses doigts. Ils durcirent aussitôt, et elle me les pinçotât avec un peu plus de fermeté, m'arrachant des cris et des gémissements de petite salope que je devenais une fois de plus entre leurs mains.

Ma sentant proche de craquer, sa seconde main descendit mon ventre, et vin tapoter mon pubis. J'accélérai encore mes oscillations. Luigi et Michel me portait presque, et mes jambes flageolaient. Ma tête partait d'avant en arrière, rejetant ma crinière brune. J'étais à point !
- Viens ! craque ! petite saloooppppee ! murmura Lisa

Je plantais mes ongles dans les bras des deux males, et je tremblais sur le fil violement, frénétiquement, et ma chatte senti la main de Lisa. Mon ventre se crispa, et je me mis à couler, lentement tout d'abord, d'une cyprine épaisse. Elle frottait son ventre en appuyant un peu ! Elle savait bien ce qu'elle faisait ! Elle se mit à genoux à côté de moi, léchant ma cuisse juteuse de ma mouille
- ouiiiiii ! ouiiiiiiiii ! oh !! nonnnnn ! ouiiiiii ! oh putain ! c' est bonnnnn !

Et je m'affalais, supportée par les deux hommes, tandis que de mon sexe luisant coulait de ma mouille en abondance. Je resserrais mes cuisses en sentant sa langue. Je venais de jouir, et ne tenais plus sur mes jambes. Lisa défit le mousqueton du collier, et le retira d entre mes cuisses. Ils me déposèrent sur la pelouse, et tous les trois me laissèrent à mes soubresauts orgasmiques

Quelques minutes plus tard, après avoir repris mes esprits et mon souffle, je les rejoins au bar, ou je dégustais une coupe de Clairette bien fraiche. Puis nous avons dressé la table, et nos hommes se sont occupés du barbecue.