Forum de la rencontre candauliste

Nous etions en ballade en camping car en cet ete finissant. Autant la pleine saison n attire pas les campingcaristes, autant l arriere saison, avec encore de magnifiques temperatures pousse a se rendre sur la cote. Nous avions jeté notre devolu sur les Saintes Marie de la Mer,

Je me repassais un coup de peigne, et c est avec un certain plaisir que je m appretais a arpenter les rues de la ville et ses petits commerces, en compagnie de mon homme. Je dois dire que ma petite tenue, sexy mais classe, avec un petit combishort boutonné sur le devant qui degageait ma poitrine, la petite dentelle qui enveloppait mes seins, et mes petits talons qui galbaient mes jambes, ambrées par le soleil. Je posais un petit chapeau, et nous descendons du camion.

A coté de nous, un petit camping car s etait garé presque en meme temps que nous. Robert s'esquive poliment devant une mignone petite femme, brune, vétue d une jupe trapeze boutonnée davant et d un pull marin qui tombait sur une epaule. La fine bretelle de son bikini enroulait autour de son cou, et des petites basketts blanches lui donnaient une allure « marine » chic et décontractée. Son mari du s apercevoir que mes yeux paroururent sa petite silhouette, et il esquissa un sourire complice, en faisant de meme avec moi et son homme

Nous prenons le chemin de la place, et au gre des boutiques nous nous doublons ca et la avec chaque fois, un petit sourire entre nous deux. Apres tout, nous etions belles, et c est avec un certain plaisir que nous nous promenions dans les ruelles. Robert me fit remarquer que cette petite femme etait tres chic, et d une maniere complice, je lui retorquais que son mari etait egalement tout a fait charmant. En trotinnant, il me dit que les jambes lui faisaient de l effet.

Petite coquine, elle te tente ? Lui dis je comme ca ?
Oui, me repondit il, j avoue que je les caresserais avec plaisir !!!

Le soir declinait un peu et nous nous retrouvons, hasard de la vie, a contempler la carte d un petit restaurant dont la terrasse s ouvrait sur la rue, protegée par une petite haie de genets. La lecture finie, je me retournais vers mon chéri, lui proposant de s installer pour manger. Et d entrendre ce charmant couple nous dire, que la carte etait effectivement plaisante. Une petite serveuse s approcha

une table pour quatre je suppose ?

Aussi surpris l un que l autre, nous baffouillons ensemble

euh ! Ben !

Et nous suivons la serveuse qui nous installe. Un court instant, nous avons tiré deux autres chaises avec mon mari, a la table d a coté, mais le monsieur, tres gentiment, nous proposa de faire en effet table commune.

nous partageons deja le moyen de transport, partageons egalement la table ?
Et bien ! Euh ! Merci, en effet

Je me retournais, et me glissais sur la chaise a coté de la petite brunette, et mon epoux prit place pres de l'homme aux cheveux grisonnants

Nous venons d Ardeche, dit il Luc et Isabelle , ou Lisa et Luigi comme vous preferez!
Nous sommes savoyards, de Chambery, et nous c est Robert et Sandra,

La voix etait douce, et son sourire delicat. Ils papotent de camion entre hommes, et nous deux discutons de la Savoie, qu(ils connaissaient bien pour y avoir travailler de nombreuses années. Nous nous mirent a rire car en papotant, car nous avions egalement travaillé sur suisse toutes les deux. Et patati, et patala !!

la serveuse arrive, et sort son carnet !
un aperitif messieurs dames ? Et nous nous regardons ?
Un petit rosé, ca vous irait propose donc Robert ?

Nous reprenons la conversation, et mon matou glisse a l oreille de Luc, qu il trouvait en plus la petite demoiselle tres mignonne. Bien sur, il lui repondit qu'il partageait son avis. Et j'entendis mon homme ajouter en silence que Isabelle etait tout aussi delicieuse, et d un air coquin, Luc lui fit comprendre que je ne laissant pas indifferent.

Ce qu ils n ont pas remarqué, c est que nous avions toutes deux croisées nos jambes, et que nos prunelles contemplaient mutuellement les cuisses de l autre.Nous parlions de l endroit ou nous avions l habitude de passer la nuit sur les Saintes, soit la longue ligne derriere la dune, et dans nos eclats de rires, ils ont compris que le courant etait aussi passé entre nous deux.

Les quatre verres s entrechoquent, et nous nous rapprochons tous de la table. Un guitariste egrenait quelques notes deux tables plus loin. Les deux mecs se sont retournés, et du coup, nous nous sommes rapprochées elle et moi, pour voir entre leurs deux tetes. Nos epaules se toucherent, et tout en bavardant, nous nous sommes collées l une a l autre, la peau contre la peau. Douce sensation,

j avais un petit fantasme inavoué, qui etait de me caliner avec une femme, mais la, le toucher se joint a mon fantasme. La petite serveuse vint interrompre la discution, en nous donnant les cartes, et nous la parcourons ensemble. Les deux hommes firent de meme. Enfin les choix fait, la jeune femme prit les commandes. Quand elle s eloignat, Isabelle, tres coquine, lachat dans un large sourire

eh bien ! Messieurs ! Vous avez la vue qui baisse ?
Nous ne sommes pas dans la meme categorie ! Et elle m'entoura de son bras

Un frisson parcouru mon corps ! Une inconnue me passait la main dans le dos !!!

Isabelle, tres libérée leur fit remarquer que les vaches regardaient passer les trains, mais qu elles ne les conduisaient pas, et que nulle autre ne pouvait egaler notre charme, ce en quoi, elle me serra . Et la conversation s engagea sur l eternel feminin la beauté des corps, et sans rougire nullement elle me faisait presque comprendre que l important c est que la petite jeune leurs fasse de l effet ! Je repondis par un sourire, un peu complice bien que genée

Ce soir, on va de nouveau etre taquinées ! Dit elle
Normal, vous etes les plus belles entre toutes ! Banale reponse masculine

Nous degustames les Gambas, puis le poisson, avec des sous entendus parfois coquins, des jeux de mots, et c est dans une belle humeur que apres le dessert nous regagnoins nos camions. Nous decidons de nous suivre, et de rester garé pres l un de l autre. Sur l arriere saison cela nous rassurerait. Robert apres un bon kilometre sur le chemin se garra dans un endoit elargi, et ils ont remisé leur vehicule a l equere, menageant un petit coin abrité du vent entre les deux mobil home, et qui donnait de l intimité a notre stationnement pâr rapport a la voie.

La suite de ce sejour, jamais je ne l aurais imaginée, meme dans mes reves les plus fous

les vehicules garés, et la soirée etant encore assez chaude en telmperature, nous installons une table et quatre chaises pour boire le café dehors. Nos deux hommes s installent, et discutent de voitures, de conjoncture economiques, et nous remontons toues les deux dans mon camping ca, pour preparé le café.

J etais au coin kitchnette, et Lisa etait donc sur le fauteuil conducteur, les jambes croisées qui me devoilaient sa petite dentelle. Mon coeur battait la chamade a la regarder, et elle devait le savoir. En effet, elle m avoua qu elle me trouvait fort sexy, avec ma petite combishsort, et commenca a me complimenter sur ma poitrine, avouant que son regret etait de n avoir que de petits seins. C etait la premoere fois que je parlais ainsi avec une femme, et elle ouvrit son petit pull marin me dévoilant ses adorables petits seins.

Je crus bon, afin d etre a la hauteur, de faire de meme, et elle se leva pour venir carrement me toucher le soutient gorge. En me fixant dans les yeux, elle me fit rougir. Le venrte me picotait a mort. C etait la seconde fois qu une femme m effleurait ainsi. Puis sa main enveloppa mon seins, et je sentis son soufle dans le cou. Elle m invita a comparer avec les siens, et pour la premiere fois de ma vie, je caressais la lingerie d une autre.

Oh la sensation ! Mon coeur etait fou ! Je serrais mes cuisses, car mon ventre semblait vouloir s ouvrir en un flot de plaisir !

Je chancelais sur mes jambes, et je m assis dans le fauteiul a mon tour ! Elle se mit sur mes genoux, offrant sa petite poitrine a mes levres ! Ouhouaaa ! Je n osais pas, mais elle prit delicatement mon visage et l apliqua sur ses seins . Hummmm ! Gemit elle ! Je ne savais plus ou j etais, mais que c etait bon, de les sentir gonfler sous mes levres. Sa main caressait mon cou, ! Elle devait aimer la coquine.

Puis elle se laissa glisser a mes genoux, et sa bouche embrassa mon ventre ! Hoooo ! Nonnn !: oh !!! sisss ! Je ne savais pas, je voulais ! Je ne pouvais dire quoi que ce soit, et sa langue tirilla mon nombril. Une langue douce et delicate sur ma peau ! J en revais, et c etait la ! Ouiii ! Pour moi !
Tout en becotant mon ventre, elle ouvrit les boutons de ma combi short. Sa main passa sur mon pubis, sur ma dentelle ! Ouhouaooooo ! J étais folle, envie de hurler mon plaisir !

Puis je sentis mon short glisser sur mes jambes, et je me retrouvais juste avec mon petit slip de dentelle sur laquelle sa bouche allait et venait. Je ne savais si c est moi qui mouillait intensement ou ses levres qui me trempait. Dans ma folie, mes jambes s etaient relevées sur les accoudoirs, et je lui offrait ma fente, de laquelle elle avait ecarté ma fine dentelle !

Oh ! Sa langue divine sur mon bouton ! Ses levres sur les miennes ! Le nirvana !

Je me cambrais, et un petit cri s echappa de ma bouche que je mordillais en tenant son visage applique sur ma fente ! Sa langue frottait mon bouton, et sans doute ma petite chatte devait suinter de cet orgasme grandissant.Qu'une femme est douce ! Oh ! La la ! Je perdais toute raison.

Enfin, elle se releva, et sa bouche vint m embrasser de mes mille senteurs. Parfum de femme, parfum de moi ! Ma cyrine abondante avait trempé ses levres, et nous nous sommes embrasser longuement. Je lechais ses joues, et elle me prit par la main, et nous nous sommes dirigées vers la couchette, tirant au passage, le rideau du camping car. Nos hommes parlaient toujours

Nous nous sommes allongées l une contre l autre, Lisa s etant denudée egalement.
A mon tour, j embrassais, febrilement sa petite chatte epilée, et sa moiteur me fis perdre la notion du temps, de la décence, de la morale ! Ouiiii ! J embrassais le sexe d une femme ! C etait encore plus exquis que ce que j avais imaginé dans mes reves les plus fous ! Je morillais ses levres juteuses, et j aspirais son petit bouton qui gonfla sous ma langue ! Elle se releva, pour m embrasser, et nous avons croisé nos jambes.

Lentement, entre nos cuisses, nos sexes se sont rapprochés, et tandis que nos mains griffaient nos dos, nos pubis se sont effleurés. Nous basculames nos corps en arriere, et nos fentes se sont melées. Nos levres se frottaient l une a l autre, nos clitoris se frolaient ! Les nerfs etaient a fleur, et nos corps s agiterent. Plus rien ne nous arreterait ! L orgasme etait notre conquete ! Absolue ! Ennivrante .

Nos deux corps sont montés, decolant nos petits culs de la couchette, resterent un instant suspendues au dessus du lit, puis dans un cri , nous nous sommes affallées sur le couchage ! Haletantes ! Fremissantes

Ouiiiiii ! Nonnnn ! Ohhh ! Si encore Lisa ! Ouiiii ! Hummmm ! Que c est bon !!!

La jouissance extreme etait la ! Je m envolais ! Rien de comparable avec un homme ! Tout en delicatesse reciproque. En envies partagées ! Nous nous sommes allongées l une a coté de l autre, pour reprendre nos esprits, Quelques minutes plus tard, nous nous sommes relevées, et nous avons remis nos vetements. Un petit coup de lingette sur nos levres, et nos joues, un coup de peigne, et nous sommes ressorties, l air de rien, avec la cafetiere et les tasses.

Nos hommes parlaient toujours, ils ne s etaient apercus de rien. Nous avons pris le café ensemble
et je vous raconterais la suite de notre petit sejour en terre camarguaise un autre jour !!!