Luigi soumi et feminisé par Lisa
SOUMIS ET FEMINISE un soir de la semaine, apres la flamme olympique a Marseille, et le concours de l eurovision, j'étais comme d habitude a dialoguer avec quelques amis et du coup nous avons fini relativement tard ! Et Hop ; une bouteille de whisky Je ne me rendis pas même compte que Lisa était monté _à | étage, je pianotais juste pour lire les mails du jour sur le net, quand j entendis dans | escalier que Lisa redescendait, et je sentis sa main me prendre par les cheveux, avec peu de ménagement ! J étais très étonne, et je m écariais - ho ! Doucement ! - Ta gueule ! Tu m enerves avec tes dialogues a la con avec tes copains et des canons que vous avez bu et je vais m occuper de toi ! ELLE tirait toujours mes cheveux, et me tira hors de ma chaise - couché gros porc ! MOI, je vais te dominer comme une loppe ! Puisque c est ce que tu veux - hum! Vrai ! Oui j aime ! Lui disais je aussitot - Tais toi, et déshabilles toi ! Les pédés de ton espèce sont pas habillés comme ça ! Mais comme le suisse ne te retournes pas !! allez a poil ! je me levais, et m exécutais, et me retrouvais nu, avec ma maîtresse dans le dos qui rigolait - hi hi hi ! Mais t est gras, t es gros, tu me dégoûtes, et ça va changer ! Sa voix était ferme ELLE se mit a tourner autour de moi ! Sa tenue était divine ! Un combishort de cuir et un collant opaque Lycra moulaient ses jolies formes. a ses pieds, ces derniers petits brodequins noirs qui la rendaient hautaine, avec ce 1ook un peu grunge en somme, e Lisa portait un masque vénitien gami de plumes qui la rendait mystérieuse, d autant qu a ses mainse Lisa avaient ses petites mitaines de dentelles ELLE me jeta une jupe de cuir au sol, et une paire de bas, - Mets ça, petite lopette ! ça va être ta fête ELLE tenait un martinet dans sa main, et Lisa avait un petit sac a main en bandouliere. Qu avait ELLE mit dedans, j allais le découvrit, et surtout ne pas le regretter.e. Lisa s assit dans le fauteuil, après avoir dégager la table basse de son chemin, ELLE pouffait a me voir me féminiser. De temps a autre, e Lisa me fouettait assez fermement les fesses de son martinet, Quand je fut habillé elle se leva, me toisa en me tournant autour, et pinçant fermentent mes seins. - A genoux, petite lope ! Tu vas regretter de vouloir être soumis ! Je me mis dans la position, et elle me donna un coup de pied plutot appuyé dans mes bourses, et je me pliais en deux pour reprendre mon souffle. Son pied était arrivé en fait un peu fort sur mes parties ! - Et ça veux jouer les soumis en se pliant a la première botte sur ses couilles vides ! Ha ha ha ELLE tira mes cheveux pour me redresser ! - j ai dis a genoux, et jambes écartes ! Je t ai pas demandé de chialer comme une gonzesse ! Je me relevais, reprenant mon souffle tout en me tenant les boules endolories. et Lisa se baissa vers mon oreille et la tira pour bien l ouvrir ! Et murmura - Eniève tes mains, ce n est qu un début ! Je VEUX que tu apprenne à résister, comme un homme, et non comme une lopette de merde ! Tu fais le malin en me faisant chier à longueur de journée, et bien c est fini ! C est clair ? Je ne répondais pas, et une gifle magistrale arriva sur ma joue - je t ai posé une question, tu réponds ! - Oui, cest clair ! Le martinet cingla mon dos ! Je cambrais mes reins sous le coup !e Lisa semblait dechainée - cestclair qui ? QUI ? Petite lope !!! - Maîtresse, reopndis je humblement ! - Maîtresse ! 9 lettres ! Hi hi hi ! Plies toi en avant ! Je m inclinais, prenant appui sur mes bras. et Lisa donna un coup de pied dans le bras, et je tombais face contre le sol, e Elle éclata de rire ! J offrais a sa vue ma croupe, avec mes couilles qui pendaient entre mes jambes, elle elle se mit derrière moi. - Comptes petit con ! Tu vas apprendre le respect ! ELLE me donna un nouveau coup de pied moins appuyé dans mes parties et je pris mon souffle en accusant le coup, Lisa était décidée, et enfin j avoue, cela me plut, juste l a faible douleur, celle qui angoisse sans faire mal ! Le regal, Lisa se controlait quand même, nos jeux ne sont pas du BDSM, sordide, mais des jeux de roles occasionnels ! Nous aimions ces pieces de theatres coquines en somme - Un, maîtresse, dans un léger gémissement ! Et déjè le pied les refrappait Nouveau gémissement, nouveau éclat de rire de ELLE, - deux, maîtresse - trois, maîtresse - huit, que je lachais le souffle un peu court - neuf ! Maîtresse ! J étais plié a cause de ce dernier coup que Lisa avait franchement appuyé, et elle tira mes cheveux fermentent, me regarda dans les yeux, et me releva, - Oh ! La petite merde a mal a ses coucouilles ? Alors on va lui masser alors ! Hi hi hi - enleves tes mains ! Alors, tu es un mâle, et les mâles n ont pas mal, ils sont fiers, enfin quand ils se montrent hommes, et pas lopette comme toi. Les paroles etaient geniales, crues, ce qui fait tres plaisir dans ces jeux ! Ses coups de martinet ou de pieds, bien maitrisé ! Une deesse de la domination coquine ! Lisa s agenouilla devant moi, et massa du bout des doigts depassant de ses mains gantées dans ses mitaines, mes bourses malmenées, les pressant délicatement, et alla même jusqu a deposer un baiser sur ma verge recroquevillée. - On a bobo a ses bobolles, petite couille molle ! ELLE crachat sur ma verge, et se releva.e Lisa me toisa a nouveau dans les yeux ! Je voyais les siens dans les ouvertures de son masque !e Lisa était ferme et décidée ! Du grand art - couches toi ! J ai sali mes chaussures sur tes sacs a foutre, et tu dois êles nettoyer Elle s assis dans le fauteuil, et je m allongeai a ses pieds. Et ma belle se posa sur mon ventre, et alluma une cigarette. Puis mit ses pieds de chaque coté de mon visage ! Et me les montra du doigt - lèches ! Nettoies ! Tu le sais, tu es MON léché botte ! Mon léché botte ! Répéte ! - Je suis votre léche botte maîtresse ! - Alors montres le ! Et je léchais ses chaussures, sur le dessus, sur le cotes sous ses rires sarcastiques - Ca fait le gros dur, mais en fait tu n es que ma petite lolotte feminisée ! Tu es quoi ? Répéte - Je suis votre lolotte féminisée, maîtresse ! ELLE éclata de rire a nouveau ! Me traitant de petit pourceau, de couille molle, de bite minuscule, de sous bandeur ! En se marrant a chacune de ses petits insultes divines ! J était aux anges, depuis le temps que j en rêvais !! puis elle posa sa chaussure sur ma tete, la plaquant au sol ! Enfin elle se releva - tu ne bouges pas ! Ecarte tes jambes ! Reste couché ] ai dis j ecartais mes jambes ! Je présentais mes fesses grassouillettes, avec mes couilles et mon sexe traînant au sol, Elle se pencha sur moi, et me dit ! - Après les coup de pieds, on ça voir si tu préférés que je les piétines - Non, maîtresse ! Dis-je en gémissant, pensant a son traitement a coup de pied - tu as la trouille que je les éclate ! Je suis dominatrice, pas sadique ! Tu le sais ELLE ecarta mes boules, et centra ma verge a plat sur la moquette ! Je sentis son pied qui se posait dessus ELLE, pressant puis appuyant davantage, jusqu a un gémissement de ma part ! - je savais que tu ne tiendrais pas ! Pas de couilles, et une bite molle ! Hi hi hi - maintenant, tu comptes en plus ! J adore !!!! ha ha ha Maitresse neuf lettres !!! ELLE remit son pied et appuya a nouveau jusqu a un nouveau gémissement ! Et | opération se renouvela par neuf fois. Je comptais, et Lisa en ricanait egrainant les lettres de Maîtresse. - Debout, que je vois 1 état de ta bite molle ! ELLE repris son massage, embrassant le bout de mon sexe qu elle avait décalotté, le dorlantant de paroles chaudes, et le griffant de son ongle délicatement ! De temps a autre, e Lisa crachait sur le gland, le titillant ensuite de son doigt - On va te faire juter un peu, car si tu comptes sur les branlettes de ton propriétaire, tu dois pas souvent te vider ma pauvre quequette ! - Un doigt dans son cul, et hop, ça coule ces mâles la ! - Tournes toi ! Et écartes bien tes jambes ! Les mains sur la tete, interdit de te branler - Oui, maîtresse ELLE ouvrit son sac a main, et j entendis le bruit du préservatif qu on ouvre !e Lisa|l agita devant moi en ricanant ! - c est pour qui ce petit morceau de latex ? Hein ! Répond petit pede - pour moi, maîtresse, et je compris ou elle allait en venir ELLE tendit son doigt, et me donna le caoutchouc ! -Enfiles le sur mon doigt ! Rapport protégé ! Hi hi hi dit elle en ricanant pendant que je glissais le fourreau sur son majeur. et Lisa prit le gel dans son petit sac, et me le donna !Puis se remit sur son fauteuil. J enduisis son doigt. - tournes toi, et essarte bien tes fesses de femme, vu que tu es habillé en femme ! Son doigt tourna un instant sur ma rondelle, puis d un coup sec Lisa m enfonça son petit pieux dans mon trou ! Je me cambrais sous le coup vif ! Elle caressa mes fesses de l autre main ! Tout doix ! Tout doux ajouta t elle - chut ! Les mecs ne prennent pas de délicatesses avec nous, j en prend pas avec toi ! Le doigt fouilla un instant et se posa sur mon olive ! Putain, la garce ! Ma prostate ! hummmmmmooiiiii - J aime sentir les couilles qui se remplissent, lentement ! C est jouissif ! Sentir le jus qui se transvase, tout doucement ! Puis sentir couler le trop plein dans ma main ! Sans branlette ni sucette, juste un orgasme ruiné ! Son doigt massait lentement, professionnellement devrais je dire ! Elle était assise, confortablement, et prenait tout son temps. Tout ce qu elle voulait, c était du sperme chaud dans sa main, Je savais qu elle aimait la semence, qu elle se caressait le corps de plaisir - Viens, coule petite bite ! Montres que tu sers a cela ! Donner ton jus ! Traite du taureau je sentais mon foutre migrer lentement dans mes couilles, que la belle garce massait de sa main libre, Les mains sur la tete, je ne pouvais pas me branler, elle me l avait interdit ! Elle allait me vider integralement, - hum ! Je sens que ces bourses se remplissent de bon jus ! Donnes moi tout ce que tu as dans la main ELLE palpait et se réjouissait de les voir se gonfler ! Jamaise Lisane m avait masser aussi longtemps ! Je sentais que le vase allait déborder. Je ne pouvais pas même me retenir ! J étais a sa mérci. Comme une bete ou on preleve son sperme ! - Hummmm ! Ouiiii ! J avais atteins le sommet du vase ! Je débordais - voilè ! Donnes ton foutre a ta maîtresse, tu n es bon qu a cela ! Ouliii sa main se remplissait de ma chaude semence ! Je tremblais sur mes jambes. Et Lisa avait obtenu son offrande.retira le doigt masseur et me le tendis pour que je retire le préservatif. - tourne toi, que tu me vois jouir a mon tour ! Avec ton bon jus de couillles ELLE se massa les bras le cou en gémissant que c était bon, chaud ! - Humm ! En plus tu me soignes la peau, c est bien connu ! Que c est bon ! Regardes tu vois pas besoin de me faire baiser ! J arrive toujours a mes fins ! Tu ne bouges pas tu te contente de me regarder Puis elle glissa sa main dans son combi, puis dans le collant, et fermant les yeux elle fit aller sa main sur son abricot, et je vis tout doucement ses fines jambes frissonner, ses lèvres se pincer, son bassin se soulever du fauteuil. Indecente a souhait, sa mouille faisait luire le collant - Hummm ! Ouiiii ! Ohhhh ! Ah ! C est bonnnnn ! Yesss ! Yesss ! Ouiliiiil ELLE retomba sur le fauteuil, essoufflée, vidée, mais heureuse visiblement. Et repris lentement son souffle Elle m offrit son doigt, Juteux de sa mouille et mon foutre. - lèches ! Suces ! Lapes ! Petite salope que tu es ! Je m exécutais avec délectation. Quand Je finis mon régal de sa main, e Lisa dormait sur le fauteuil.
