Forum de la rencontre candauliste

Sandrine m'avait plusieurs fois demandé si on pourrait se faire une ballade a deux dans une des voitures de mon homme ! Je lui avais donc expliqué que certaines, je ne voulais même pas les conduire ! Trop puissantes pour certaines, je voyais la route défiler et je me faisais peur a la moindre caresse sur l accélérateur. Inconduisibles pour un petit gabarit comme moi pour d autres, ou encore lourdes berlines cossues ou je préférais mille fois être passagère que conductrice.


Au grand dam de Luigi, qui aurait tant voulu que nous partagions cette passion.


La seule que je conduisais a l occasion, c était un petit cabriolet, une lotus en l occurrence, qui était d une taille raisonnable, et qui était avec le « moteur a l avant » c est a dire pas un machin qui partait en tette a queue dans les virages ! En plus le coté cheveux aux vent était agréable, et ce qui me plia:sait le plus c était le regard des hommes quand je traversais la ville. Et ça, oui, j aimais


Un jour, je me décide a l 'emmener avec moi en ballade. Un petit tour en drome provençale.


Nous avions prévenus nos hommes que nous ne serions pas la a midi, et que le salades étaient au frigo!E ! Pas folle la guêpe, un peu de régime leur ferait pas de mal ! Hi hi hi ! Petit short bien coupé blanc, chemisier fuchsia, la petite écharpe en tissus crêpe blanche, et petits talons ! Bref la femme pimpante bien que la cinquantaine bien tassée ! Eh oui ! Ou hélas !


Sandrine taire vêtue d une petite jupe bleue, et d un petit top orange plein de petites aggraves sur le devant, dont la moitié étaient ouvertes, laissant entrevoir juste ce qu il fallait de la dentelle bleu;e marine également de ses dessous . Une petite paire de talons a brides orange aussi ! La belle était comme moi, soit cool voir style « néglige» soigné, soit minette ! Il faut sire qu elle avait dix ans de moins que moi, et du coup elle pouvait de permettre bien des choses.


Nous voilà parties, dans un petit bruit d échappement qui contribuait à faire tourner les regards


Sortie d Aubenas ! Direction Montélimar ou l on s arête pour ouvrir la capote !! oui je sais la capote anglaise ! Puis, cheveux au vent, direction Nyons, ou nous avions projeté de faire un peu le marché. Longue ligne droite ou (Le bon Nicolas n avait pas encore planté tous ces radars ). Évidement j accéléré, et la petite fusée grise s envole. Et la petite jupe de Sandrine aussi !


Ah ! Tu voulais le cabriolet, faut accepter lui dis je en rigolant
Mais ça me gène pas ! Je crois qu on se connaît assez


je me penche juste un peu en avant pour voir sa petite culotte, de façon coquine, pour rire


Un petit string ! Dit elle en tenant sa jupe relevée !
Tu feras moins la maline quand on traversera les villages !
Oh ! Ça on verra ! Ça dépend des tracteurs ou des routiers qu on croisera
Oh ! Tout de suite ! On est toutes les deux, et on a que deux places


Nous roulons bon train, et mis a part un motard qui nous suivit quelques kilométrés, la coquine n eut pas grand chose a contempler, mis a part les champs de lavandes.et nous voilà déjà à Valvaires !
A un moment, travaux sur la route, et feu rouge. Un ados sur une petite moto s arrête de mon cote. Vue sur une partie de mes guibolles mais surtout sur celle de ma copine, qui était assise de l autre coté. Bien sur, elle se croit de suite obligée de croiser les jambes, et d ajuster ses lunettes de soleil. Dire que je l ai connue coincée comme pas deux !


Breeem ! Breem ! Breem ! Breeeem ! Oh que ce boucan était agaçant, outre la fumée


Je fit de même sur la pédale de droite et il du prendre ça pour une réponse ! Merde ! Merde
Il cessa son bruit infâme, mais releva la visière de son casque, croisant le regard de la belle, qui joua a nouveau de ses lunettes de mouche ! Il la salue d un hochement de tette, et bien sur, elle lui répond ! Ah la garce pensais je tout bas, on se fait une sortie femmes, et déjà elle s amuse. Je savais qu elle s était mise a aimer les petites mains qui caresses, mais qu elle n allait jamais plus loin.


Ni elle, ni moi, ni nos deux maris d ailleurs n aurions admis qu un homme essaye d aller plus loin


Je feu passe au vert, et il démarre levant sa roue avant ! En deux coups de cuillères a pot, nous voilà devant lui. Et bien sur, il nous colle au train dans son boucan d enfer (merci Renaud pour le tire). Du coup, je ralenti, pour qu il nous dépasse et nous laisse un peu plus a la cassette ! Et oui, ces vieilles dames avaient encore un radio cassette auquel Luigi tenait comme a la prunelle de ses yeux.Mais non, il ralentit, zig zague, bref, je voyais le coup ou s en déferait pas !


Un petit bout de ligne droite, j sors la cavalerie (merci Julien Clerc pour celle la) et la je le sème pour de bon ! L avantage ce cette petite bombinette ! Et nous voilà a Nyons ! On se gare, bien a l'entrée de la ville a cause du marché, et hop ! On ferme l auto ! La capote reste ouverte et Sandrine me regarde inquiète ?


Tu ferme pas ? Tu crains pas ?
Non non ! Tu sais c est le genre de voiture que les gens regarde, mais qu ils respectent


On pose juste le gilets dans le coffre, et Hop ! Nous voilà trottinant sur le trottoir, ou ce qu il en restait vu les voitures qui stationnaient ! Evidemant les deux mémères rouspètent contre ces « mecs » oui, ces « mecs » qui se garent n importe comment.


Plus la bagnole se voit et plus ils veulent qu on la voie !
Ah ! Ça te va bien Lisa d dire ça ! T as vu dans quoi on roule


Breeeem ! Pet pet pet ! Breem ! Pet pet pet ! Breem ! Pet pet pet !


Vous m avez compris, notre ado ! Je presse un peu le pas, mais elle au contraire se retourne, lui fait un petit signe, et tord son popotin de droite et de gauche. Elle le sait, ça marche ! Mais la, je me dis non ! Sandrine, pas avec un gars qui pourrait être ton fils ! J étais un peu agacé par son manège. On arrive sur la place du marché, et on commence par se posé en terrasse !


Deux cafés, et deux croissants ! On contemple les gens, on parle de l ambiance ici


Oui, je sais ! Vous aviez deviné ! Qui vient carrément s assoie a la table d a coté ! ,notre Casanova en herbe ! Casque au coude ! Bon e vais pas dire qu il était moche, non ! Pas aussi beau que mon fils mais bon, allez, pas mal ! Voilà ! Pas de quoi faire une folie ! J ai cinquante cinq ! Mais ma cocotte elle, avec ses quarante cinq piges, et sa petite tenue, elle devait l attirer, et elle minaudait !


Toi, si on avait sur avec Luigi, on t aurais jamais débridée, je te jure !!! pensais tout bas


Bref, on bois le café, et nous voilà parties dans le marche ! Enfin, nous ?? moi plus eux a dix pas derrière. Je sais pas si elle réalisait que c était un gamin ou presque, même si il avait trouve a placé son age, a savoir qu il était entrain de passer son permis moto, et qu il avait les dix huit ! Qu est ce qu on sen fout disait la petite voix dans ma tette Et si on prenait pour un pic nique, tu en pense quoi, avec ce temps, ça serait sympa non ? Allez on part pour le pic nique
Un petit SMS en marchant pour dire aux hommes qu on allait se poser dans la verdure pour manger, savoir si ils avaient bien trouvé le frigo, et les salades (sait on jamais) et me voilà, mon grand panier en raphia avec baguette, jambon, salami, tomates (et même la salière en cigale) deux péchés, un petit rosé de Provence (plus la chaussette isotherme, pour la dame) je me fais mon petit marché dans la bonne humeur ! Les commerçants sont agréables dans notre région !


Ma nymphette, je ne sais trop ou elle en était Sans doute avait elle largué enfin son gigolo ?
Je relonge les trottoirs, rouspète après la BMW allemande qui dépasse et la Volvo qui colle au mur. Bon je vais passé pour une chèvre, jalouse, non, bien sur ! Sans tout ceci, Nyons ne serait pas Nyons Qui vois je au détour du virage ? Ma Sandrine appuyée contre la voiture, jambes bien droites sur ses petits talons ! En plus elle fume ! Non ? c est lui ? J arrive, et le grand dadet me sort


Deux jeunes meufs, bine roulées, dans un belle caisse ! Ouhaou ! La classe !


Je file au coffre, ou je dépose mes emplettes. Je fouille pour gagner du temps ! Oui, il y a un petit parasol, un plaid (écossais bien sur), mais il est la planté ! Je m approche, et Sandrine me présente Paolo (j aurais pu deviner) étudiant en biologie (ça j aurais pas devine). On parle deux minutes, et une auto klaxonne, c est vrai qu on est a moitié sur la voie. Je démarre, m écarte du muret et Ma copine monte a coté. Sans m attarder, je pars et le vois courir a sa bécane !


Mince, La Sandrine, tu vas voir qu on va l avoir toute la journée
Ben quoi ! On peu plus s amuser ?
Si, mais enfin pas avec des gamins quand même !
Mon homme a dit quartier libre, alors c est quartier libre !


Pas manqué, sortie du tunnel de la déviation, notre minot. La route est un peu sinueuse, pais bon ça roule pas mal, mais je ne le décroche pas. On discute avec elle, et je lui dis qu il est déjà midi et demi, et qu on va se poser dans un coin, et qu on va avoir son artiste dans les pattes. J avoue un peu déçue, moi qui pensait plutôt échanger un câlin avec elle quand j avais parlé pic nique.


On bifurque, et on monte un peu dans la colline après Sahune (pour ceux qui connaissent), et un petit chemin qui amené vers un petit bois. Je gare l auto, et bien sur il gare sa moto ! En descendant, je jette un regard furibond a Sandrine. Elle me répond par un sourire d ange ! Oui tu parles de l ange ! Je déballe la couverture, pas besoin de ce parasol, le panier !


Elle ? Elle minaude avec son bambin ! Il la tient par la taille


Tu verras qu avant de manger, il lui aura rouler un patin a la garce ! Me disais en moi même
Pas loupé. Eh c est pas aux vieilles guenons qu on apprend a vivre ! Bon ben on va partager le repas.Mais pourquoi ais je proposer de pic niquer ! Mais pourquoi ! On aurait pu se faire un petit resto sympa ! Mais bon quand le vin est tiré, fait le boire ! Et comme le rosé et servi, et bien met donc un troisième verre !


Assise en tailleur, je voyais bien qu il matait mes jambes, et cela le rendis un peu plus sympa a mes yeux, mais sans plus ! Il avait certes de l humour, de la repartie, parlait finalement pas trop mal le français ! Bref d accord il était adjudante en biologie. En belle petite salope, la belle était assise de coté, dévoilant ainsi sa petite culotte noire, et j en étais sure, avait dégrafé au moins dis pressions de plus sur son top ! Elle savait faire son jeu ! Dire qu elle était coincée il y a pas un ans !


Elle était venue habiter pas loin de chez nous, et je la croisais quand elle revenait du lycée ou elle posait ses enfants. On avait parler comme ça, et puis un jour le café. A l époque elle était vraiment coincée, ne connaissant personne, et souvent en jogging, ce qui ne la rendait pas vraiment attirante au demeurant. Peu a peu on s était appréciées puis de fil en aiguilles, elle me parlait de ma façon de m habiller. Pour eux, ils venaient de construire et les poches n étaient pas vraiment garnies, et donc un jour je l invitais pour récupérer deux trois fringues que j avais triés.


Je lui avais proposer de les essayer avant de les prendre, et elle s était réfugiée dans ma chambre, par pudeur sans doute. J avoue que j avais franchi la porte quand elle était juste en dessous. Pas vraiment folichons d ailleurs ! Le free gum multicolore, et l'écrase nénés brassière. Du coup, je saisi l occasion de lui aire essayer un coordonné. Elle le passa, montrant ses jolies fesses, et voilà ! Nous étions devenues un peu plus amies cet après midi la !


Vous avez sans doute lu le lent parcours d initiation que elle et son homme avait reçu coquinement de notre part. Mais la, quand même, j aurais jamais fais avec un gamin. Je vis la main de Damien qui se mit a parcourir son mollet, puis remontait sous sa jupe, et j avoue que je ressentais un petit frisson dans mon short. Les deux s embrassèrent, et j étais la a les regarder. Les mains passaient, les mains massaient, et encore un peu j aurais rejoins nos deux étourneaux


Non, mais quand même, je dépliais ma jambe et pouvait ainsi me grattouiller sous la jambe du short, car mine de rien, l excitation de les voir montait en moi. Son top était tombé déjà et ses seins dressés elle se faisait téter par le jeune. Torse nu, il était pas mal j avoue. Elle se releva en m adressant un petit regard coquin qui m émoustilla encore plus, et avait fait glissé sa jupe, me montant ses superbes fesses. Et il se mit a genoux pour les embrasser !


Hum ! Comme tu es doux ! Tu m exiges ! Non ! Oh Damien, arrêtes !
Tu aimes ça , petite salope ! Depuis ce matin tu aimes ça !
Ouiii ! Remit elle langoureusement pendant qu il baissait son string.


La chienne, d habitude,, dans nos jeux coquins, on prenait le temps de préliminaires délicats, entre femmes, avec nos hommes, ou sans d ailleurs, avant de finir dénudées et encore pas toujours totalement. Elle se tournât, offrant sa fente a la bouche, écartant même les lèvres de ses doigts !
Elle finit par descendre sur ses genoux, et s allongeât sur le dos. Ils étaient occupés, et je pouvais me doigter sous mon short sans soucis ! J étais aussi excité qu elle.


Ouii, ! Suce bien ! Voilà ! Sur mon bouton ! Ouiiiiii ! Oh d est bon quand tu le mordilles
Viens, jouit salope ! Allez ! Craques ! Et il se mit sur elle


Elle se releva illico ! Et fit mine de lui envoyer une claque ! Je retirais mon doigt de mon short


Je t ai bien dis ! On se câline ! Mais pas de baise ! Prend moi pas pour une pute !
Dessolé ! J étais pris par mon élan ! M en veux pas ! J avais envie de craquer
Alors, si tu veux n je veux bien te faire une pipe


l entendre prononcer ce mot, fur une décharge electrique pour moi ! Oh ! La petite garce, elle appliquait a la lettre la consigne de son mari ! Il sorti son sexe ! Oh le beau morceau ! Il était rasé, et sa tige était raide, droite ! Une verge d ados ! J en eu presque envie, mais mon doigt s était enfilé sous ma petite culotte et pressait mon clitoris tout humide ! Elle se mit a genoux, et l engouffra !


Oouiii ! Oh ! Tu aimes ça ! Oh ! Tu dois faire souvent !


Le discours n était certes pas très élevé, mais j avoue très excitant a entendre . Et a voir sa bouche et sa main qui allaient et venaient, sortant le gland violet avant de le dévorer a nouveau me faisais chavirer ! La petite pute, elle avait vraiment envie de le vider câlinant ses bourses gonflées !
Sa langue de temps a autres entourait sa tette, pour lécher tout autour, ou pour lui croquer délicatement ses attributs


Ouhaoa ! Oh, super salope ! T aimes ça ! Bordel je vais lâcher ma purée


Quelle élégance ! Choquée, je ne retirais pas pour autant mon doigt décidée a partir. Jetais si prés de jouir que je ne pouvais plus m arrêter. Sandrine avalait le membre de plus en plus vite, et,les râles de Damien s amplifiaient. Il pris sa tette, et la guidait profondément sur son sexe ! Un petit fil luisait sans le soleil depuis le menton de Sandrine. Il se cabra !


Moi aussi ! Mon doigt fouillait sous mon short ! C en était bientôt ke dénouement


Ohhh ! Ouiiiii ! Ah ! Putain que c est bon ! Vides moi ! Viiiiiiide moiiiii !


Elle but jusqu a la derniere goutte, pressant le gland dans sa bouche !Il tremblait sur ses jambes et moi, les miennes étaient animées de soubresauts qu ils ne voyaient pas ! Mon doigt venait de m achever. Haletante, mais retenant mon calme, je fis mine de me m allonger pendant qu elle finissait de laper l extrémité de la queue de Damien qui perdait peu a peu de sa superbe. Elle retira sa bouche, et je la vis se tourner de coté! Elle chercha dans son sac a main un mouchoir, et elle s essuyât la bouche !


Je suçais ma cyprine sur mon doigt ! Ils n avaient rien vu de ma jouissance silencieuse


C' est bon , tu peux partir maintenant ! Aller laisses nous maintenant !
Mais Sandrine ?
Casses toi ! C est bon, tu as eu ce que tu voulais, moi aussi ! Alors merci ! Bonne route


Il remontât penaud sur sa moto, et parti en lui adressant un doigt d honneur. Nous avons rangé un peu les reliefs du repas, et nous sommes allongées dans l'herbe un moment. Je ne lui dis rien, elle ne me dit rien. Je profitais qu elle avait les yeux fermes, pour vérifier la propreté de mon short. Un peu plus tard, j ai regarder mon interphone !


Tu as vu, il est déjà trois heures et demi, faut presque deux heures avec les touristes
Alors allez ! On y va ! Elle se releva, ajusta sa jupe, reboutonna son top
Tu te sens bien ! Lui dis je, un peu choquée, un peu curieuse
Oh ! Tu sais quand on chez vous, on fait pas plus tu sais


Elle m avait répondu d un ton badin, comme si c était naturel. Je ne rajoutais rien. Peu a peu elle montait dans le libertinage, mais sur des échelons que nous avions décide de ne jamais gravir avec Luigi. Sur le six heures nous sommes arrivés a la maison. Nos hommes jouaient au ping pong. Je rangeais l auto dans le garage, et je vis qu elle embrassait son mari. Le soir nous avons fait des grillades en se faisant des clins d oeils.


Je sais pas si elle le lui a raconter, ou si il avait devine