Lisa, la petite ingenue de la pizzeria
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LA PETITE INGENUE DE LA PIZZERIA
Nous étions en ballade de debut de printemps, en camping car dans la drome, et un soir, nous étions au restaurant et une jolie petite brunette vint s'asseoir à la table d'à-côté.
Bonjour de politesse entre elle et nous bien sûr.
Elle était très mignonne, et mon mec me fit du pied, avec les yeux qui tournaient vers elle. C'est vrai qu'elle était superbe, à peu près ma taille, fine, belles jambes gainées de noir, jolis petits talons très hauts et chemisier largement ouvert sur une petite dentelle qui habillait ses deux jolis petits seins.
Putain ! C'est vrai qu'elle était belle , J'aime l'innocence de la jeunesse, et son impertinence
Un serveur lui amène la carte. Après quelques instants, elle nous demande avec un sourire d'ange,
qui me fit penser qu'elle ne l'était pas de la région
" Euh ! Pardon, Une caillette c'est quoi !" je suis pas d ici
" C'est une petite boulette faite de viandes et d'herbes, c'est Ardéchois ou dromois"
Je me surpris à lui répondre aussi sec, ce qui étonna un peu mon matou.
" Hum ! Elle te plait - murmura-t-il- pour que tu lui répondes aussi vite"
" Oui ! Je reconnais, c'est superbe"
Ma réponse ambiguë pouvait être dite à haute voix, ce que je fis. Les yeux s'écarquillèrent derrière ses lunettes. Je regardais à nouveau ses jambes, croisées sous la table. lles étaient très jolies, fines et mon mari s'en apercevant me dit.
" Ce sont exactement les mêmes, comme le reste"
La voix haute se prêtait aussi à sa réponse. J'ouvrais de grands yeux également
Je lui demandais si elle était nouvelle dans la région, puis mon mari sentant mon intérêt pour la fille, lui proposa de se rapprocher de nous, Elle se leva, et il rapprocha sa table. Elle se trouvait assise près de moi, et en posant son sac à main, elle effleura ma jambe et je frissonnais. La discussion se fut
alors plus agréablement, et j'appris qu'elle venait de la région parisienne, et qu'elle avait trouvé du travail sur la ville voisine, et qu'elle découvrait donc le pays, mais qu'elle ne connaissait personne.
Dommage que l'on soit hors saison. Mais tant mieux pour moi. Nous causions sans cesses l'une et l'autre, et comme mon mec connait bien le département, il lui donna quelques points à visiter. Au bout de sa pizza, elle me proposa de la tutoyer, et comme elle me plaisait, j'ai accepté, en lui demandant de faire de même. Elle hésitait, car nous avions une " petite différence d'âge"mais elle finit par accepter timidement. Elle avait 27 ans, et je lui avouais en avoir le double.
Son compliment sur mon allure me remplit de joie. Elle parla de mes de ma taille avec des mots qui me firent énormément plaisir. Et mon mari le comprit rien qu'en me regardant !! La discussion, au moment du café devint plus intime. Je la complimentais à mon tour sur son corps, et elle me rétorqua que mes jambes étaient splendides, et qu'en tant que femme, elle pouvait comprendre que certaines femmes pouvaient s'aimer plus que de simples copines.
Une partie saphique avec une belle jeunette !
L'idée me saisit une seconde. Elle me dit que j'étais plus mure, et que je devais la comprendre, et que la drague hors saison semblait bien triste. J'hésitais, Mon chéri me fit du pied à cet aveu. J'avoue que mon ventre me picotait à ses paroles, et nous lui proposons un café dans un bar de nuit de la région. Elle refuse, pour cause de travail le lendemain, et nous invite à le boire chez elle. Mon mari accepte, et nous suivons sà voiture dans les petits villages et il me dit aussi, que visiblement elle est branchée sur moi. Je suis émoustillee. Mon mari bien sur me pelote mes cuisses avec ardeur le long de la route, et je dois dire que cela me plaisait. Nous rentrons dans le garage de son immeuble, et nous nous garons à côté de la ford Ka de la fille.
" Je fais juste un saut retirer mon courrier, attendez-moi"et la voilà partie.
" Elle a un petit cul et de jambes formidables. Tu ne trouves pas chéri ! »
Mon mec me répond que j'ai du gout, et du coup, il me prend contre la voiture, et me roule une pelle d'enfer. Ses mains remontèrent sous ma jupe, et je sentais la chaleur de ses doigts sur la peau entre mon bas et ma culotte. J'avais un petit ensemble rouge, avec porte jarretelles, petit string à double ficelle, avec ma chatte au milieu, et un mini sous-tif qui me faisait des seins droits sous mon chemisier.
Nous attendions qu elle fasse le tour de la petite maison
Il me pelotait vivement, et nous n'entendîmes pas la fille revenir, malgré ses talons claquants sur le goudron. Quelques instants plus tard, ma bouche s'était décollée de celle de mon homme, et il s'était plié sur ses jambes pour embrasser ma chatte au travers de ma jupe. Je le repoussais
J'étais en transe. Il voulait embrasser la chatte dans un parking non eclairé, et s'il était un peu tard, cette idée me faisait mouiller abondamment. Je caressais les cheveux de mon chéri, quand une main effleura ma joue. Je me tournais vivement, et je vis le joli minois de Sylvia avec un doigt sur la bouche, qui me faisait signe de ne rien dire. J'étais encore plus excitée. Mon mari avait retroussé ma jupe et me mordillais maintenant les lèvres entre les deux fils de ma culotte. Sylvia s'était rapprochée de moi, et me caressait le visage, en me regardant avec les yeux de braise d'une petite garce excitée par la
scène. Sa bouche, entrouverte se rapprochait de la mienne, et nos lèvres se touchèrent.
Nom de Dieu ! Elle me roulait une pelle ! Et je trouvais ça délicieux.
Ma chatte me brulait, et je sentais les mains de Sylvia qui se glissaient dans mon décolleté. Mon mari quitta ma chatte. Il devait avoir envie d'aller plus loin, mais quand il se redressa, il nous vis les bouches entremêlées, et Les mains de Sylvia qui fouillaient mon soutient gorge. De mon côté, je pelotais allègrement ses jeunes fesses, en remontant sa jupe, laissant entrevoir le haut de ses Jambes. Je n'ai compris que plus tard, que les formes de sa croupe se dévoilaient sous le lycra de son collant, faisant bander mon matou, qui nous laissa continuer seules nos caresses et nos baisers.
Oh ! Merci mon chérie de me laisser profiter de cette découverte sans chercher à t'imposer.
Je redoublais la vigueur de ma langue, car je le savais heureux de me contempler ainsi avec une femme roulée comme moi. Enfin nous nous décollons l'une de l'autre. Elle se penche légèrement, et embrasse mes seins en ouvrant mon chemiser. Mon étalon la laisse agir seule. Puis elle descend embrasser mon ventre, en laissant ses doigts palper mes tétons. Elle suce mon nombril, et enfin elle se baisse sur ses talons, en m'embrassant le sexe après avoir relevé ma jupe. Elle avait envie de l'un comme de l'autre, ou des deux je ne savais pas. Elle avait flippé sur mon corps, et j'avais flippé du le sien. L'ingénue, tout en jouant avec ma langue, saisit mon mari à travers le pantalon, et le pressa fortement.
" Viens ! Brante-toi sur moi " et elle reprend son léchage de ma fente
Mon mari ouvre son chemiser et relève sa jupe. Elle n'avait qu'un joli ensemble de dentelles blanches. Un tout petit boxer et un micro soutient gorge assorti. Je lui fais remarquer qu'elle à fort bon gout, et mon mari également. De la folie de faire cela, presqu au coeur du village !!
" Les tiens aussi sont chouettes, mais tu les as en rouge"
L'aplomb avec lequel elle me dit cela me fit sursauter.
Elle me faisait mouiller de la voir ainsi camper avec ses dessous sexy à nos pieds. Elle se releva, tourna sur elle-même, nous cambrant un adorable petit cul, qu'elle caressait de ses mains. Elle se retourna lentement, et ses mimines remontèrent sur ses hanches, avant de tâtonner ses seins. Face à nous, elle se titillait les bouts, et mon chéri se pressa le pantalon. Elle me toisa, et regarda mon homme avec des yeux de feu. Une voiture entra a la villa d a coté ! Mais se gara dans le garage et nous avons entendus la porte metallique se fermer, le souffle court
" Arrose-moi, si ta femme est d'accord"dit-elle
Et se mettant à genoux devant lui, en tournant sa langue à la commissure de se lèvres. J'entrouvrais alors la braguette sortais la verge raidie de mon étalon. J'entrepris de le branler devant Sylvia, et elle me laissa faire en me toisant du regard, léchant ses lèvres de sa petite langue.
Oh la belle petite cochonne !
Elle m'excitait de la voir ainsi, Libre et aussi jeune. Elle approcha sa bouche de la queue et se mit à lécher par petits coups. Sa main s'engouffra alors sous ma jupe, et fila droit vers ma fente, entre les deux lanières de ma petite culotte. Puis de l'autre main elle défit ma ceinture, tout en suçant mon époux, Elle tira ma jupe vers le bas, et je soulevais mon bassin pour l'aider.
J'étais appuyée sur la voiture, les jambes écartées, une main fouillant ma fente, et mon mari tout serré contre moi se faisait pomper par la petite coquine. Sa bouche quitta mon mari, et elle m'embrassa d'abord la cuisse, ce qui me fit tressaitlir, Sa bouche etait humide et chaude ! La salive chargée en coulait sur ma cuisse
Elle me lécha la cuisse ! Bordel que c'est bon !
Sa langue passa sur la bande de peau entre le haut du bas et ma culotte. Que j'avais chaud
Sa langue s'enfonce alors encore plus dans ma fente, et je serre mon époux très fort. Il n'en quitte pas une miette. La petite ingénue calée entre mes cuisses, et sa bouche qui passe de ma fente à sa queue rouge. Il ne peut s'empêcher de lui caresser le dos, en descendant vers sa croupe. Je vois sa main qui s'enfile dans son boxer, et j'ai l'envie de l'imiter. Sylvia se relève, se rapproche de moi, et ma main descend son dos. Elle colle aux miennes ses lèvres humides de nos deux mouilles. Et je ne peux que céder à l'envie d'être patiner par ses lèvres. Sa langue s'enfonce dans ma bouche, et ma main s'enfonce dans sa culotte. Elle se pose alors contre l'auto, écarte ses jambes, les fesses tournées vers la bouche de mon homme.
" Vas-y ! Lèche-la ! Chéri elle n'attend que cela !"
J'étais chaude.
" Oh ! Oui, fourre-moi ta langue" dit-elle en abandonnant ma bouche.
Elle gémit quand mon doigt ptournait a l entrée de son petit cul. Et sa main s'enfonça dans mes tèvres, fouillant ma chatte trempée de désir. Je m'écartais pour la laisser faire. Elle caressait divinement, son pouce parcourait mon clitoris avec une douceur extrême. Elle me regardait langoureusement, et je rejetais ma tête en arrière. Ma main caressait son joli cul dans lequel la bouche de mon mec était enfouie. Oh ! La chance qu'elle a ! Elle se fait lécher le cul. Et je sais qu'il lèche bien cette partie de mon corps.
De mon côté, deux doigts me pénétrent en allant et venant, et bientôt je sens un troisième qui m'envahit. Putain! Trois doigts dans le vagin ! La sensation était divine J'étais fouillée dans ma chatte, et un doigt remontait bientôt ma raie. Il était trop fin pour être à mon mari.
La salope ! Elle visait mon cul à présent.
Oh ! quelle délicieuse cochonne. Je me laissais faire, d'autant que mon chéri s'était relevé, et qu'il'était
mis à peloter son joli petit cul à pleines mains, en me contemplant, bientôt prise des deux côtés par la
douce ingénue.
La petite garce ! Elle me prenait en double, devant mon homme, qui se régalait. Ma chatte se dilatait au fur et à mesure qu'elle enfonçait ses doigts. Bientôt j'étais fistée par devant, et sa main allait et venait au plus profond de mon ventre. Quand elle la ressortit, elle lécha mon abondante mouille sur ses doigts. Je gémissais de joie, et sa main dans mon cul poursuivait sa lente pénétration. Quand mon mari me plantait deux doigts c'était un maximum, et elle en avait trois, fins, qui labouraient mon cul.
Ouah ! Quelles sensations !
C'était génial, la douceur avec laquelle elle me pénétrait doublement. Bientôt elle m'arracha un long cri d'orgasme, et je retombais ivre et fatiguée sur le capot. Elle m'embrassa, et me demanda si c'était bon. Quand mon mari me pose une telle question je ne réponds pas, car je suis un peu gênée, même après tant d'années, mais là j'étais comblée. Elle essyait ses doigts dans une lingette qu elle avait tiré de son sac a main ! Putain, nous etions sur une parking de villa ! C est fou
" C'était merveilleux Sylvia ! Tes mains m'ont prises de façon sublime !"
Elle s'installa alors sur le capot de l'auto, écartant sa fente de ses mains, et me présenta sa chatte lisse et parfaitement rasée.
" Viens fait moi jouir ! Fiste-moi aussi petite coquine !"
Jamais mon mec ne m'avait parlé comme cela, et pourtant il en lâche quand on s'envoie en l'air.
Mais la ! Une gamine me commandait, et je me mis en position. Oh ! Si je pouvais faire jouir la petite garce devant mon mec. Nous avions la même idée avec mon chéri. Elle en voulait, elle allait en avoir. Je commençais à lui écarter la fente.
" Tiens chéri, [èche sa moule, elle respire le plaisir et l'envie."
La langue de mon mari s'enfonça dans la raie de Sylvia. Quand il ressortit, sa bouche était trempée, tant il l avait trepée de sa salive abondante, Je ne pus m'empêcher de l'embrasser. Bordel ! Elle mouille sacrément, et que c'est bon ! Je suçais chaque centimètre de sa bouche. Puis je me mis à laper la fente de Sylvia, tant c'était bon. Ma main risqua un doigt dans son trou, et je le fis monter et descendre. IL glissait à merveille, et j'en rajoutais un, puis deux. Trois doigts fouinaient son vagin et elle en voulait encore. Comme elle me l'avait offert auparavant, je poussais donc ma main dans con. Elle poussa un long râle de bonheur.
" Super ! Fourre-moi bien ma chérie !"Plus elle criait, plus cela m'excitait.
Elle prit mon autre main et la guida vers son cul. Je n'avais pas envie de la prendre derrière, a main nue et elle le comprit. Elle tâtonnât dans son sac à main. Merde ! un god en double. Long, doux au toucher comme mon Angelo à la maison. Elle le glissa dans sa fente dégoulinante de plaisir, et mit ma main dessus.
" Pousse-le ! Ma chérie, j'ai trop envie. et il rentra facilement.
J'allais en venais dans son vagin avec son gros jouet. Sylvia s'excitait à un rythme fou sur son double gode. Mon homme glissa alors dans ma chatte qui s'était fait dilater quelques minutes avant, un ou deux doigts, en me glissant à l'oreilie
" Viens toi aussi chérie, fais toi plaisir, tu le mérites largement»
Je n'attendais que cette invitation. Je n'avais pas pensé qu'il était double, et Sylvia me présenta l'autre gland et le mouilla de sa salive. Croisant mes jambes avec les siennes, je m'enfonçais sans problème sur la queue de latex, tandis que mon époux m'embrassait. Ses mains allaient et venaient sur nos deux corps, et nos culs étaient pelotés sans ménagement ce qui nous faisait pousser de petits cris tant nous étions excitées.
Nos chattes se rapprochaient maintenant à une cadence folle, et nos clitoris se cognaient à chaque poussée. Les doigts masculins massaient nos fesses, et nous ne savions plus nous retenir. Nom de nom ! J'avais un envie de craquer mêlée à une envie de pisser. Cette sensation, je le savais signifiait un
orgasme proche, et visiblement la petite garce en était au même point. Elle poussa un petit cri, et je sentis mon ventre se faire inonder.
Oh ! La salope, une femme fontaine ! Je poussais un cri semblable au sien. Je pissais aussi
Je venais de décharger ma mouille, et mon chéri s'en apercu. IL lécha longuement nos ventres, à la recherche de nos semences. Nous nous baissées pour le sucre. Il déchargea de suite et nous nous sommes embrassées. Un long baiser baveux de foutre chaud, et les fils de sperme coulaient sur nos
seins. J'étais au comble de l'orgasme. Une voiture est entrée, et nous nous sommes enfouis dans la voiture. Sylvia s'est engouffrée, à moitié déshabillée dans l'ascenseur.
Le lendemain, je me rendis compte que je n'avais pas même son téléphone.
J'aime l'innocence de la jeunesse, et son impertinence
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70ASIUL
5485 km, Femme 64 / Homme 67
publié il y a 6 mois
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