Nous avions rendez vous avec un photographe, pour quelques photos qui devaient m aider à prendre conscience de mon corps. Me trouvant petite, et avec peu de confiance, avec mes petits seins et ma taille 36, je n'osais pas trop les aventures éphémères, malgré quelques rencontres furtives qui s »étaient toujours bien passées.
Après la route, un peu compliquée ce jour la, nous finissons par le retrouver devant chez lui. Accueil chaleureux, et nous penetrons dans l antre du David Hamilton de service, un homme courtois, élégant, et sa compagne, une fort jolie femme. Ils étaient de notre tranche d age, et le dialogue déjà agréable sur le site, se confirmèrent d entrée de jeu.
Ils nous invitent à nous asseoir, et nous offrent le verre de l amitié, avec quelques viennoiseries concoctées aimablement pas madame. La cordialité faisant son effet, nous passons un moment plus tard, dans son studio photo, une pièce tendue de noir, avec des projecteurs. Puis je monte avec son amie pour me changer, et celle-ci me maquille légèrement, et m aide à me vêtir ou plutôt me dévêtir. Ses mains étaient douces, et délicieuses sur ma peau qu elle effleurait parfois.
Oh ! Le souvenir de sa main qui jamais ne touchait, mais effleurait ma peau !
Puis nous sommes redescendues toutes les deux, et sa présence me rassurait. C'était la première fois que j allais poser devant un vrai photographe, bien qu ayant eu l occasion de le faire une ou deux fois avec un autre ami. Mais la, le décor était planté
Il me laisse déjà me décontracter, puis m invite à m installer sur un fauteuil, au milieu de son atelier, et me conseille gentillement sur la posture à adopter, n'hésitant pas à me monter lui même les gestes sensuels a adopter. Eh! oui! Je n imaginais pas que des photos érotiques étaient finalement le fruit d un travail sur le « mannequin » que j étais pour cet après midi. Ses mains se posaient de temps a autre sur un seins, ou le titillait pour en faire jaillir le téton,
j'avais une chemise ouverte sur de jolis dessous rouge, minimalistes, et il me fit quelques clichés. Puis il m'invita à changer de tenue, ce que je fis dans l atelier, avec toujours sa douce compagne pour m aider à agrafer les dessous, car mon mari était fébrile à cette occasion. J aimais sentir ses doigts chaud sur mon dos, et je retournais sur le plateau. Sa voie était en plus rassurante,
Clic ! Clac ! Je me détendais, variant les positions, le laissant prendre ma cuisse , pour la mettre en extension. Et je fut croqué sur le numérique, dans mes dessous noirs avec de fins rubans blancs. De temps a autre, il s approchait de moi, me prévenant ainsi que son « assistante » qu il allait me toucher, me montrant comment mettre ma main sur la hanche, pour être sensuelle, et non provocante. Il n 'aimait que les belles images de la femme.
Puis il me fit des shoots, juste avec un chemisier de dentelles blanches, ou tout était suggéré mais jamais dévoilé, mon sexe toujours a peine masqué par une main ou par la dentelle. C'était excitant de me sentir femme, vedette du zoom l espace d un instant. Mon mati nous observait, et papotait quelque peu avec son épouse, qui semblait apprécier mon corps, bien que tout aussi timide que moi, visiblement.
Elle allât chercher une chemise de nuit, vaporeuse, et je sentis les mains se poser a travers la dentelle sur mes seins, pour qu ils soient bien moulés dans le fin tissus, et nous avons fini les prises de vues. J 'étais émoustillée, mais a aucun moment ils n eurent de gestes déplacés, même si secretement j aurais voulu plus sans doute. Je devais mouiller très legerement, et enfin je me rhabillais.
Nous avons pris une coupe de champagne, et j aurais voulu être arrosée, pour sentir leurs bouches déguster les fines bulles sur mon corps, mais ils déclinèrent cette invitation masquée, ne voulant pas mêler la séance de « travail » et les éventuels câlins. Ceux ci viendraient sans doute, me dirent ils après une autre séance, et j attend avec impatience qu ils nous invitent pour récupérer les clichés. Nous sommes rentres, et dans l auto, nous avons papote sur la gentillesse qu ils avaient, les conseils, et tout ce qui fit de cet après midi un moment de rêve.
Et vous savez quoi ? J ai hâte de les revoir, pour plus peut être
70ASIUL
5485 km, Femme 64 / Homme 67
publié il y a 4 ans
inscrivez-vous !