La transgression dans l’obscurité
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Avec notre partenaire régulier, un scénario s'est déroulé et s'est reproduit pour surmonter la gêne que l'on peut vivre dans cette situation très transgressive et exceptionnelle du candaulisme.
L'idée est simple. On accueille notre invité mâle dans l'obscurité totale.
Deuxième partie de soirée voire en pleine nuit, on attend fébrilement l'arrivée de notre invité.
Dans le silence de la nuit on entend un toc toc discret sur la porte. Le coeur se met à battre avec force. C'est le moment. Ma femme et moi sommes totalement nus. Et l'appartement plongé dans l'obscurité, nos voix servent de guide. Notre invité rentre et se déshabille sans un mot pour jouer le jeu. Dans le noir, nos yeux s'habituent aux silhouettes, la moindre petite lumière de l'extérieur éclairent nos peaux nues et les meubles de la pièce.
Notre invité repère les contours féminins de ma femme sur le canapé. La pièce plongée dans le silence et mille nuances d'obscurités, une tension sexuelle s'impose et chacun dévisage la nudité de l'autre à travers ce jeu d'ombres.
Dans le silence et l'obscurité, cela pourrait être lui ou peut-être un illustre inconnu qui aurait pris sa place, un homme nu dans notre salon qui s'assoit tout près de ma femme, elle même totalement nue.
Dans la pièce, les parfums, les odeurs de chacun montent aux narines, je sens le parfum de l'invité, je sens son corps qui transpire.
On entend chaque petit frottement, un glissement de tissu ou de peau à peau, d'un pied qui bouge sur le parquet, les corps qui bougent sur le canapé.
Sur le canapé d'angle je les observe gestes encore hésitants sur la méridienne. Plus les minutes passent plus nos yeux s'habituent à l'obscurité, j'observe le sexe de notre invité, en semi érection il a une queue qui s'impose. J'ai l'impression qu'il a une queue 2 ou 3 fois plus épaisse et longue que la mienne, effet d'optique ou vieux complexe de virilité ?
L'invité de moins en moins timide s'aventure à caresser ma femme, il lui prend la main, lui caresse l'avent bras, la nudité totale, pas besoin de déshabiller, d'un geste à l'autre ses mains explorent et soupèsent les seins de ma femme. Ses doigts s'aventurent entre ses cuisses… j'entends que ma femme est humide, très humide, les doigts lui caressent sans pudeur ses lèvres et son clitoris. Je l'entends gémir assez rapidement. Aussitôt elle se baisse vers la verge de notre invité, elle goûte puis n'hésite plus, je vois sa tête descendre et faire le geste de bas en haut, de haut en bas, elle lui pompe sa bite sans aucune retenue. Elle y met de l'amour dans son ouvrage, on sent une dextérité où les sensations sont partagées. J'entends les bruits de bouche à queue, cet homme qui respire plus fort, le mouvement de frottement des corps nus sur le canapé. Ma femme lui lèche et suce gland, verge, bourses. Je me sens boulversé. Je transpire, humilié et honteux et j'ai une excitation inconnue et troublante. Et dans cette nuit noire prolongée chez nous, cet homme entreprend de faire l'amour à ma propre femme, il la pénètre tout au fond d'elle avec sa queue tendue. Il se glisse dans sa fente et impose l'épaisseur de sa verge en elle. Pris de vertige, les ombres qui s'agitent dans mon salon c'est bien ma femme qui se fait baiser par un autre homme que moi. Je ressens une vague de honte, de peur, de trouble, d'humiliation. C'est un rite de passage chez le mari candau ? J'accepte et j'assume le poids de ces sensations du direct. J'entends ma femme prise gémir, par moment petits gémissements par moment grands gémissements et aussi j'entends le bruitage des pénétrations cadencées, rythmées, et décidées. Les deux corps dansent sur le canapé de mon salon d'une positon à une autre. Le canapé aussi est vivant, il grince et couine.
La pièce sent l'odeur et les parfums de ma femme et cet homme qui transpirent et même on sent l'odeur sexuelle qui s'en dégage. Je me sens paralysé, j'essaye de saisir ma queue qui reste pétrifiée, elle grossit à peine, ma queue n'arrive pas à sauver l'honneur dans une véritable érection, ma virilité en toute humilité offre tous les pouvoirs à cet homme qui invité chez moi et à explorer au plus profond de l'intimité de ma femme.
Cela paraît simple et pourtant un très long cheminement inattendu qui tient à un fil. Dans l'ombre et le silence, les autres sensations sont accentués, on ne voit mais on entend beaucoup plus, on sent aussi beaucoup plus, mais cela aide à une timidité première qui peut freiner ou faire peur au tout début. Le noir peut-il finalement aider à mieux voir ? Je suis consentant mais pour être honnête on ne sait plus si on est l'est toujours à tout moment ? Le doute nous habite pendant qu'une vraie autre bite me rend mari cocu ou mari candau selon mon ressenti. Apaisé que ma femme y prenne plaisir, j'apprécie la voir épanouie et heureuse d'un acte haut en émotion pour moi aussi.
Ulysse2022
5990 km, Femme 44 / Homme 48
publié il y a 2 mois
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