la seance de cinéma avec Luigi
La séance cinéma avec Luigi
Une fois par mois, nous avons l'habitude d'aller au cinema, l'occasion de sortir avant tout, et puis se tenir informés du box office. Pourtant, jusqu'a cette soirée, la derniere en date, je serais tentée de dire « A la derniere séance » il ne m'etait jamais rien arrivé dans les salles obscures, au point que je n'imaginais meme pas qu'il puisse s y passer quelque chose, mis a part peut etre dans les « vox », ou les films diffusés excitent peut etre le chaland. Ce depuis ma vie d etudiante, donc pas mal d années.
Luigi m avait deposer devant le kino, car il faisait froid en ce soir de février, et il etait allé garer la voiture dans un parking situé à au moins cinq cent metres, mais qui avait l avantage d etre surveillé, meme de nuit.
Je l attendais donc, en prenant un café. Je feuilletais la revue des films du mois, jambes croisées, et sans doute absorbée par ma lecture, je ne remarquais par que le pan de ma jupe s etais negligement mit a pendre, de sorte que mes cuisses etaient devoilées tres haut. D un rapide coup d oeil vers l entrée, je regardais si mon mari arrivait, quand un homme, pas mal au demeurant, me fit un petit pouce levé, et un cligement des yeux qui me firent comprendre de suite.
Je relevais le pan de la jupe. Mais l homme s approchat, et me murmura
« Dommage ! c etait si joli à contempler »
« Merci du compliment, mais il y du monde qui va arriver » repondit je en souriant
Il retrourna s assoir a sa table, et volontairement, je les croisais de l autre coté, sachant le resultat avec ma jupe. Et j abaissait coquinement mes lunettes sur mon nez, regardant sa réaction par dessus mes verres. Il etait comme figé, affichant un large sourire, et levant a nouveau son pouce. Je soulevais ma tasse de café à son encontre, et a nouveau il s approchat.
« je peux m assoir a votre table » dit il d une voix agreable
« mais j attend mon mari qui est allé garer l auto à la gare» il repartit vers le fond de la salle
je crus bon, au stade ou j en etais, de faire tomber mon porte monnaie, de sorte que en me baissant, je me tournais vers lui, bien droite sur mes jambes, lui devoilant ainsi ma petite dentelle et mes bas.
Puis je me remis sur ma chaise, et croisait a nouveau mes guiboles.
« La tu es un peu coquine quand meme ma vieille » » me disais je ce faisant, quand le tourniquet de l entrée se mit en mouvement et que Luigi apparu. D un regard, il balaya la salle, et vint me rejoindre.
« Hum ! Quel delicieux spectacle vous offrites à ma vue chérie, j en suis tout emu » dit il
« tu nes pas le seul, je pense, si j en crois les regards »
Il etait placé a l envers de la salle du café, et ne se retourna pas, sachant que je disait surement vrai, et sans doute un peu amusé de le savoir. Un homme aime toujours savoir sa femme admirée, tant que la vulgarité et la grossiereté ne s en mele pas. Enfin sur les coups de neuf heures moins dix, il s avanca au guichet pour prendre les billets de notre seance, de sorte que je vis l homme emboiter son pas et prendre la file de la troisieme salle.
«tiens, il va voir aussi « le chant des loups » me dis je sans plus
Luigi revint, finit son café, et sorti fumer une cigarette avant l ouverture des portes. Debout contre le mur, j attendais ce moment, quand le monsieur se mit a coté de moi, sans etre collé veritablement
« je voulais voir la suite de « qu est ce qu on a fait au bon dieu, vous m avez fait changer d avis »
je le toisais par dessus mes lunettes a nouveau
« j en ai entendu parlé en bien du chant des loups, alors c etait l occasion »
« vous venez souvent dans cette salle de cinema, il me semble que votre visage ne m est pas etranger »
Luigi arriva avant ma reponse, et me fit signe d avancer. L homme emboita mon pas, et dans la file compacte, je le sentis proche de moi, mais pas collé. J entrais, ,descedais la rampe, et m enfilais dans une rangée de bancs. Il fit bien sur de meme, et me passa devant pour se poser sur le fauteuil suivant le mien. Je restais debout, agenouillée sur mon siege, une jambe au sol, l autre pliée, guettant l arrivé de mon homme.
« Décidement, vous etes vraiment divine, madame » me dit mon voisin
Son blouson posé, sa chemise s ouvrait sur son torse visiblement musclé, et a la toison abondante.
« pas mal » me dis j silencieusement
d un geste, j appelais mon chéri, et je sentis un doigt passer sur mon bas. Le Lycra ne laisse jamais un homme indifferent, et une femme quand un doigt court dessus encore plus. Je ne bougeais pas, suivant mon homme du regard, tandis que le doigts parcourait habillement ma jambe, baissant et remontant chaque fois un peu plus haut, jusqu a toucher ma peau entre le bas et ma petite culotte.
Frisson !
Luigi s assit, et nous papotames un peu sur le monde qui venait voir le film. J étais tournée vers lui, jambes croisées, de sorte que mon voisin ne pouvait rien manquer de mes dessous, et je sentis son doigt passer sur les fines broderies. Luigi dut s en apercevoir, car il me tendis juste ces levres en murmurant
« coquine, je crois que ce soir je t aime encore plus dans ce ciné » et je me laissais donc faire
Puis les pubs locales commencerent. Dans le noir, je sentis une seconde main sur mes jambes, qui ecartais les pans de ma jupe. Mon homme avait envie de me savoir calinée, chose qui n etais jamais arrivée dans un cinema, je le repete. Sa main parcouru lentement ma cuisse, a la vue de mon voisin, et il defit meme un bouton, de sorte que la dentelle des mes dim up apparaissait presque
Puis vint la presentation des films a venir, durant laquelle mon mari cru bon d ouvrir d un bouton egalement mon chemisier, devoilant mon petit corbeille dans le decolleté profond
Je sentis le doigt de mon voisin marcourir a nouveau le coté de mon mollet, puis il remontat, et Luigi devait voir son doigt sur mon bas, car il me serra un peu la cuisse. Je le regardais, il me sourit, et me chucotat a l oreille
« profite bien ma belle » et j allais en profiter, oh ! Que oui
J etais calinée durant les sept ou huit minutes de presentation des films a venir, puis la salle s assombrit et le film debuta. La valse des calins plus delicats s emplifia. Je sentais les deux mains caremement posées sur mes jambes, remontant chacune jusqu a mon dessous, et alternativement un doigt puis l autre qui passaient sur cette petite culotte.
Doublement carressée, doublement excitée.
Je mis en terme net a ces caresses, car je sentis un doigt qui s enfilait maintenant sous mon boxer, et qui visiblement cherchait a me penetrer. Ca non, surtout pas ici, dans un cinema !
« Non, pas ici » murmurais je alors par deux fois à mes hommes
Et je croisais mes jambes en les serrant et rebounonnais ma jupe. Du coup, je vis mon mari et l homme se croiser les bras, et leurs doigts pelotaient maintennt ma poitrine. Sensation d enfer ou de paradis, je sais pas, pour celles qui ont vecu d etre caresseée comme ca, en public en somme, meme si personne ne pouvait deviner quoi que ce soit, il n y avait parsonne a trois siges a la ronde.
Au bout d une heure et demi, je fus enfin delivrée. Du moins le pensais je, car il y avait maintenant la queue pour quitter la salle, et j avais mes deux hommes derriere moi, qui massaient mes fesses.
Nous fumes dans le hall, et les calins cesserent a la lumiere. Le tourniquet passé, l homme demanda a mon mari
« vous etes aussi au parking de la gare »
« oui, c est tellement pratique » repondit Luigi
« alors marchons ensemble » et chacun me pretant son bras, nous avons pris la direction de la gare. Il n y eu pas de conversations sur mes jambes mais seulement sur le film. Et j abandonnais les deux hommes au guichet, tandis que je me refugiais dans l escalier. Enfin,Luigi apparu dans la porte, et quand nous sommes arrivé en bas, il m enlaca, collant sa bouche a la mienne
« tu veux finir la soirée de facon coquine, ma chérie » murmura t il a mon oreille
trop excitée je hochais la tete, et la lumiere se ralluma. Des pas deans l escalier, et je tournais par reflexe la tete. Il apparu, et je me sentis defaillir. Oui finir la soirée coquine, certe, mais je m attendais pas a celle ci. Plus de 200 places aus sous sol, et il etait a coté de la notre.
Etait ce voulu . Organisé ? Non Luigi m aurait au moins averti, il ne me ferais jamais un coup pareil. Non, il men aurait parlé, pas le genre a m imposer quelque chose sans me soumettre
J ouvrais la porte de la voiture, et m assayais. Mon mari fit de meme, puis descendit a moitié la vitre de mon coté. Il defit lentement les boutons de ma jupe, puis ceux de ma chemise. L homme etait deja gonflé a son entrejambe, Mon mari parcoura mes seins, mon ventre, mes cuisses, puis il baissa la glace en entier.
« Je peux ? » demanda t il timidement
pour toute reponse, je m enfoncais dans mon siege, ouvrant mes cuisses et bombant ma poitrine. Sa main chaude me caressa la peau, bien plus qu au cinema, et je sentis que mon excitation montait. Ces petites sorties dogging comme on appelle, nous les pratiquions habituellement dans des parkings un peu a l ecart des lieux publics frequentés, masi la dans un sous sol, gardé ! Hum
« t inquite il n y a plus de gardien a cette heure »murmura Luigi a mon oreille
ma amin glissa dans le pantalon, et je defis la ceinture, puis la fermeture. Je baissais son jean pour voir apparaiter un beau sexe, epilé, tendu de desir, et des bourses lisses tant elles etaient gonflées. Ma main s enroula autour, et l autre massait le petit sac en dessous. Rapidement l homme se cambra tant il etait a bout, et j approchait mes seins de l ouverture. Un puissant jet atterri sur le haut de ma poitrine, qui ruisselat aussi dans l echancrure de mon soutient gorge, la seconde plus faible, mais abondante, epaisse, resta sur mon sein, et comme je m ecartais, la suite atterrit sur mon ventre et sur mes cuisses.
Je m allongeais sur le siege, offrant a nouveau mon corps a leurs calins. L'air frais me fit revenir sur terre, je remontais la glace, reboutonnais tous mes habits tandis que l homme s engouffra dans sa voiture. Luigi m embrassa les cuisses, puis se tourna vers ma bouche. De jolis fils pendaient dans la penombre, et nous nous sommes embrassés gouluement.
La BMW bleue avait quitté sa place.
A la maison, je n eu pas le temps de me devetire, que nous etions enlacés, et c est sur la commode de l entrée que nous avons fait l amour.
La, il n y avait pas de caméras
LUISA07
5485 km, Femme 64 / Homme 67
publié il y a 5 ans
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