L’invitation acceptée vers le destin du candaulisme
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Plusieurs semaine après cette randonné bouleversante de juin.
Il s'en est suivi de nombreux échanges très longs et très intimes. Entre lui et moi, lui et nous, moi et ma femme, un été d'une haute tension érotique.
De longues conversations parfois houleuses puis les vagues redevenues calmes avant la tempête. On était prêt à revoir notre ami dans un lieu plus intime et dans un cadre plus adapté.
En Normandie notre ami nous attendait dans une jolie maison de campagne. Nous connaissions le chemin, nous étions déjà allés, mais là dans un contexte très différent. On était une journée d'août, le 21 août, il faisait chaud ce jour là, j'ai conduis fébrilement, ma femme me lisait les derniers messages de notre ami impatient de nous recevoir. Impossible de reculer, le destin était en marche. J'amenais de moi même ma femme chez un homme qui ne voulait qu'une chose, la baiser. Sans savoir vraiment ce qu'il allait se passer j'étais dans la limite de la confiance ou de la perte de pied.
On arrive dans le petit village, la tension montre encore plus, la bonne allée, le portail, et nous y sommes … aucune pression on se dit bonjour comme des amis comme si tous nos messages très intimes n'avaient pas existé. Il fait chaud, on traine autour du joli jardin et de la piscine extérieure, tout bien entretenu pour notre visite présidentielle.
On discute timidement tous les 3 en sirotant du jus de pomme à l'ombre.
L'apéro, le dîner se passent ainsi mais en osant boire du vin blanc, plusieurs verres chacun et la nuit tombe, la chaleur extérieur aussi mais la chaleur invisible entre les lignes de nos regards, de nos gestes, de nos mots c'était un volcan prêt à exploser …
L'idée de rafraîchir nos corps dans la piscine est arrivée. Nous étions sans maillot, l'eau n'était pas chaude mais l'ambiance tellement brûlante que peu importe, lumière tamisée, on dévoilait chacun notre corps nu très rapidement avant d'être dans l'eau.
Plus entreprenant mon ami devenait un prédateur des lieux humides, il se reprochait de ma femme en oubliant cette nudité inhabituelle.
Les verres de vin dans le sang, on oubliait les bonnes distances et on se lâchait malgré toute notre retenue.
Dans l'eau je me suis surpris à bander en voyant ma femme coller à lui, elle devait sentir sa queue lui frôler ses hanches, ses fesses, c'était même certain.
on est sorti de la piscine pour se réfugier dans le salon, petit cheminée allumée pour maintenir cette chaleur et à la lueur des flammes on dévisageait chacun nos nudités respectives. Un moment de silence et ils se sont embrassés à quelques mètres de moi.
J'étais tout tremblant et excité, à la fois j'avais peur de cette situation et je l'approuvais… sur le canapé, un plaid cachait symboliquement leurs corps, puis ce plaid est tombé, je voyais leur corps collés et s'entrelacer peu à peu. Je vois cet homme l'embrasser et parcourir de ses mains le corps de ma femme. Il entreprend de lui couvrir de baisers ses seins, son ventre, son pubis … et descendait jusqu'à sa fente, je ne voyais pas bien mais j'entendais ma femme gémir et son corps onduler … elle était comblée de plaisir, elle oubliait totalement tout et se laisser aller et lui faisait durer le moment vicieusement, sa bouches faisait des cercles à l'intérieur des cuisses grandes ouvertes et revenait sur la rose délicate de ma femme qui s'est mise à jouir certainement plus d'une fois.
Et …
J'étais près du feu de cheminée, en sueur, et je regardais ces deux corps, le candaulisme était sur une autre dimension au moment où ma femme s'est courbée pour descendre vers le pubis de notre ami. Il avait une queue en semi érection, ma femme s'est mise à embrasser et cajoler sa verge, j'ai eu un pic de jalousie je me sentais dépossédé de l'honneur qu'une femme fait à son mari … elle prit son sexe d'un main pour mieux l'orienter directement dans sa bouche, elle ne me regardait pas, elle était concentrée sur cet acte hautement érotique. Elle était à quatre pattes sur le canapé, la lueur des flammes de la cheminée éclairaient son corps, je pouvais voir ses gros seins se balancer doucement, son cul pointer vers le plafond, sa tête baissée vers ce service trois pièces, les bourses bien pleines, et une verge qui pénétrait sa bouche. Il remuait légèrement son bassin pour lui baiser sa bouche. Sa queue paraissait énorme et elle s'engouffrait naturellement, mécaniquement, profondément, et aussi candauliquement.
Oui voir sa femme sucer la queue d'un autre est un moment particulière fort que l'on oublie pas. Le bruit de succion, le sexe d'un autre devient excitant même si on n'est pas bi, on ressent la curieuse sensation que ce sexe est le nôtre, et non !! C'est là toute la différence !!!! Et qui donne le candaulisme on prend plaisir à voir une autre queue pénétrer sa femme.
J'ai cru que c'était interminable… il arrivait à se retenir de façon impressionnante. Je me mettais à débander, une situation incroyablement érotique, ma femme qui le suçait depuis longtemps, je me caressais ma queue devenue toute petite, une forme d'impuissance devant un amant tout puissant.
Il s'est mis à jouir sur ma femme allongée et épuisée, elle était pour la première fois éclaboussée de son sperme, sur ses seins, son ventre, son pubis, elle était achevée avec cette semence abondante qui n'était pas celle de son mari mais celle de son amant tout puissant …
Ulysse2022
5990 km, Femme 44 / Homme 48
publié il y a 2 mois
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