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l'escapade (suite d'une histoire déjà publiée ici)

J'ai encore le souvenir de tes derniers mots lors de notre première rencontre. Et maintenant ? Et maintenant, je ne compte plus les heures passées en ta présence exquise soit physiquement soit au téléphone. Plusieurs semaines se sont écoulées depuis notre rencontre à la terrasse ce café, et nos premiers ébats à l'hôtel. Le mois d'octobre et son été indien tiennent maintenant les lieux avec cette fraicheur saisissante du matin et la douceur de l'après-midi, laquelle autorise de belles balades en nature avec en perspective beaux instants coquins à la faveur d'une clairière isolée ou des rives d'un cours d'eau perdu dans les méandres d'une forêt déjà parée de belles couleurs rouges, oranges et brunes. Mais, ce mois marque aussi le temps pour moi d'effectuer l'hivernage du mobil-home que je possède sur la côte atlantique, à quelques kilomètres des plages interminables, au sable blanc et fin du littoral landais. Dans quelques heures nous serons à Mimizan pour notre premier week-end entre libertins passionnés. J'apprécie les efforts que tu as mis en place et les subterfuges trouvés pour pouvoir m'accompagner. De mon côté, je n'ai pas eu de mal à expliquer à ma femme le pourquoi du fait qu'il faille que je me rende seul dans notre « résidence secondaire », l'hivernage nécessitant de devoir couper l'eau et le gaz rend le lieu peu propice à la présence de trop nombreuses personnes, et du fait qu'elle travaille le samedi il serait impossible d'effectuer l'aller-retour et les travaux sur la seule journée du dimanche. Mon emploi du temps est bien en place dans mon esprit, deux petites heures dimanche matin me seront nécessaires pour réaliser mes tâches de bricolage. Le reste du temps sera totalement dédié aux jeux dont nous avons élaborés ensemble les scénarios. Et comme nous sommes très joueur le premier doit commencer d'ici quelques minutes.
Il est presque neuf heure ce samedi matin, tu es déjà partie depuis sept heure et la notification WhatsApp me signifie que tu es arrivée à notre point de rendez-vous. Je prends donc la route et parcours les quelques kilomètres qui séparent mon domicile du parking de covoiturage où tu m'attends. Notre premier scénario est celui de l'autostoppeuse sexy qui se voit prise en charge par un conducteur aux mains baladeuses. Je ne t'ai pas imposé de contraintes vestimentaires pour ce petit jeu, faisant totalement confiance à ton imagination, ton sens de la provocation et ta capacité à toujours être sexy quelque soient les circonstances. J'entre sur le parking presque désert où seules quelques voitures habillent le macadam. Tu m'attends, adossée à ta petite voiture et tu es déjà dans la peau de ton personnage car tu m'interpelles en levant le pouce. Je souris à cette mise en scène, et j'adore ton implication dans nos coquineries. J'apprécie aussi la tenue, mini short, un tee-shirt noué au-dessus du nombril, veste en jean pour te prémunir des dix degrés matinaux et tu es chaussée d'une paire de talon d'été qui marque avec sexappeal le dessin de tes mollets. Tu as attaché tes cheveux en une natte que tu as laissé retomber sur ton épaule. Tu me surprendras toujours. Sexy et glamour dans chaque situation. Ce qui me surprend aussi c'est la taille du bagage tu as emmené avec toi. Ta valise est presque plus grande que toi, je me demande combien de tenues plus sexy les unes que les autres tu as enfermé dans celle-ci, et comment je vais la faire entrer dans mon coffre. Je me console en étant persuadé que l'effort fourni pour réorganiser le chargement sera mille fois récompensé durant les presque deux jours à venir.
J'avance à ta hauteur, et ouvre la fenêtre. J'entre moi aussi dans la peau de mon personnage et t'interpelle à la manière conventionnée du conducteur qui souhaite connaitre la destination du mendiant de la route qu'il s'apprête à embarquer :
- Bonjour, vous allez où ?
- Je descend jusqu'à Mimizan dans les Landes, si vous allez dans cette direction, vous pouvez peut-être me faire avancer un peu ?
- Montez, je me dirige aussi en direction du Sud-ouest. Je vais jusqu'à Bayonne.
- Merci beaucoup.
- Je vais mettre votre valise dans le coffre.
- Ok, merci encore.
Je descends de voiture, et après avoir réussi à faire un peu de place dans le capharnaüm qui règne dans le coffre, je réussi à y faire entrer ta valise. Chacun d'entre nous joue son personnage et improvise au fur et à mesure de la situation. Je reprends ma place au poste de conduite et tu es assise sur le siège passager, l'énorme console de bord de ma Peugeot 3008 nous sépare et crée comme une sorte barrière entre ma main et ton corps de Vénus. Je sors du parking et me dirige vers l'autoroute toute proche. Je te questionne :
- Départ en vacances ?
- Non je vais juste rejoindre un ami à Mimizan.
- Je connais bien ce coin-là, j'y ai travaillé il y a plusieurs années. Et pour combien de temps vous êtes là-bas ?
- Juste le week-end, je rejoins un ami qui est aussi mon partenaire dans une activité que nous pratiquons ensemble depuis quelques semaines.
- Sportive alors ?
- En quelque sorte oui.
- C'est votre équipement que transportez dans cette grande valise ?
- Oui tout à fait, c'est une activité qui demande beaucoup d'accessoires.
- Ok, et c'est quoi au juste comme activité ?
- Un mélange sport de combat, où chacun doit tenter, tour à tour, de prendre le dessus sur l'autre, mais aussi de danse, car les mouvements demandent une coordination parfaite et un peu de gymnastique car il faut être parfois très souple.
- Ça a l'air sympa, et physique surement ?
- Oui il faut une certaine endurance.
- Et ça s'appelle comment ?
- Le Trasumaka, c'est une discipline ancestrale indienne.
- Je ne connais pas mais je serai curieux de voir à quoi cela ressemble. Voir même essayer.
- Il vous faudra une partenaire pour cela, c'est une activité majoritairement mixte, et une partenaire en qui vous avez une grande confiance car cela peut être dangereux sur certains points.
- J'adore prendre des risques et essayer de nouvelles choses.
- En tout cas, merci de pouvoir m'emmener jusqu'à ma destination finale, j'ai de la chance.
- C'est moi qui est de la chance, généralement, les autostoppeurs que je prends ont beaucoup moins charme que vous. Dites-moi, vous n'avez pas peur de faire du stop avec tous les malades qui envahissent nos campagnes ?
- Je sais me défendre et je suis toujours tombé sur des conducteurs sympas et gentils. Comme vous ?
- Oui, bien évidemment.
Le silence s'installe et je me concentre sur la route. Cela fait une vingtaine de kilomètres que je conduis et tu montres déjà quelques signes de fatigue. Tes yeux se ferment seuls malgré tes tentatives pour rester éveillée. La semaine écoulée, qui a dû être encore une fois intense, et le temps que tu as déjà passé sur la route ce matin, te plongent dans un sommeil mérité. Je te regarde dormir, et en profite pour apprécier une fois de plus ton divin corps. Comme toujours ton parfum est envoutant et donne à l'habitacle l'ambiance détendue d'un salon de massage. J'ai légèrement augmenté la température car tu as quitté ta veste avant de monter en voiture, et je ne voudrai pas que tu prennes froid. Moi en revanche, ton nombril à l'air et la très faible longueur de ton short me donne déjà presqu'un peu chaud. Je te poserai bien la petite couverture qui est sur le siège arrière sur les jambes mais elle me cacherait la vue.
Cela fait maintenant une heure que nous filons vers notre weekend de luxure et je ne résiste plus à l'envie de poser ma main sur ton corps. J'abandonne donc le levier de vitesse et me lance dans une caresse subtile sur l'intérieur de ta cuisse. Je n'es pas oublié le rôle que je joue, et cette caresse est presque imperceptible, du moins au début. Comme tu ne réagis pas je poursuis mes investigations en partant de ton genou jusqu'à remonter sur ton ventre dénudé que j'effleure du dos de la main. Quelques tressaillements et les signes d'une légère chair de poule me montre que même si tu dors toujours, ton corps est maintenant réceptif à mes intentions. Je vais un peu plus loin et je viens tenter de caresser ton sexe au travers de ton mini short en jean mais la sensation ne me plais pas et je vois bien que tu ne perçois pas mes mouvements. Alors habilement, de ma seule main droite et à l'aveugle, il faut bien que je regarde la route, je défais le bouton et fait glisser la fermeture éclair de ton vêtement le plus délicatement possible. Mission réussie, je vois maintenant le haut de ton string noir en nylon transparent. Tu portes toujours de la lingerie magnifique et au combien efficace sur mon esprit de libertin friand de ce style de sous-vêtements, et comme j'ai réussi à ne pas te sortir de ton sommeil, j'ose tenter de glisser ma main dans ce petit morceau de tissu pour savoir si tes rêves sont de nature érotique. Ma main se faufile discrètement entre le tissu et ta peau et finie par atteindre, non sans peine, l'entrée de ton fruit défendu. A tâtons, je viens caresser ton clitoris. C'est le geste qui va te sortir des bras de Morphée. Dans une expiration dont je ne saurai dire si elle approbatrice ou désapprobatrice de mon audace tu ouvres les yeux et te remets immédiatement dans ton rôle. Je suis tellement surpris par ta réaction que je ne sais même plus si tu joues la comédie ou si tu es sérieuse. Tandis que ma main est toujours plongée dans ton dessous, tu me jettes un regard d'effroi et tu retires l'intrue venue solliciter ton intimité. Le ton et les mots que tu emploies me font rougir :
- Mais qu'est-ce que vous faites, ça va pas bien ?!!!!!
Le vouvoiement me rassure sur la nature de tes propos et confirmes que tu es toujours dans ton personnage d'autostoppeuse. Et tu poursuis ta remontrance.
- Je peux savoir pourquoi en me réveillant je retrouve votre main dans mes sous-vêtements en train de caresser mon sexe ?
- ?..
- Et bien j'attends une réponse !
- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris. Vous êtes tellement jolie que je n'ai pas pu m'empêcher. Vraiment pardon. Je vais vous déposer dès que vous le souhaiterez.
- Sans doute que vous allez me déposer.
- Il y a une sortie dans quelques kilomètres. Je vais vous laisser là-bas.
Nous faisons les quelques kilomètres qui nous mènent vers ladite sortie, dans un silence de cathédrale, en essayant de ne pas rire à notre propre jeu. Je m'engage sur la bretelle et me stationne sur le parking d'un restaurant à proximité. Sitôt la voiture à l'arrêt tu t'éjectes et replonges dans ton rôle d'autostoppeuse abusée et en colère :
- Vous vous rendez compte que c'est quasiment du viol ce que vous venez de faire. Je pourrai porter plainte contre vous. Vous êtes dingue ou quoi ?
- Non, je ne suis pas dingue, c'est la première fois que je réagis comme ça avec une passagère.
- Je dois vraiment être spéciale alors !!!! -dis-tu sur un ton presque ironique, mais aussi comme pour réclamer une flatterie-.
- Et bien disons que je n'ai pas souvent l'occasion de transporter une femme aussi sexy que vous.
- Sexy, dans d'autres circonstances, j'aurai pris ça pour un compliment. Je voudrai avoir accès à ma valise.
J'ouvre le coffre, et au lieu d'extraire ton bagage, tu fouilles à l'intérieur de celui-ci pour en sortir une trousse noire, qui a l'air de contenir différents objets, tant elle a l'air d'être remplie. Puis tu refermes ta valise et le coffre. Avant de me lancer cette tirade.
- Je dois avouer que vous êtes doué de vos mains. Attention, cela ne veut pas dire que j'approuve ce qu'il vient de se passer. Mais, avoir réussi ce que vous nez de faire sans me réveiller avant, vous avez un certain doigté. Bref, maintenant me voilà au milieu de nulle part avec un choix à faire.
- Je ne suis pas sûr de bien comprendre ce que vous voulez dire.
- Et bien soit je reste plantée là des heures à attendre que quelqu'un me prenne en stop, sans être sûre d'arriver à destination en temps et en heure. Soit je prends le risque de reprendre la route avec vous à la merci de vos pulsions perverses.
- Je ne peux pas prendre cette décision à votre place.
- Je sais ce qu'on va faire. Je vais repartir avec vous, mais je vais monter derrière, en je peux vous jurer que je ne vais pas m'endormir et si vous me faites un coup tordu, je vous gaze avec la bombe lacrymo que j'ai dans cette sacoche.
- Très bien, je suis vraiment désolé et vous n'aurez pas besoin de cette bombe, promis.
- J'y compte bien.
Nous remontons en voiture. Et comme tu me l'avais dit tu t'installes à l'arrière mais pas sur n'importe quelle place. Tu t'assoies au milieu. Je trouve ça étrange et je me demande quelle surprise tu me prépares. Je retrouve l'autoroute et ses 130 km/h que le régulateur m'aide à maintenir en toute sécurité. Je vois ton visage dans mon rétroviseur et tes yeux qui progressivement laisse transparaitre tes idées coquines. Tu interromps le silence :
- Dites-moi, vous avez déjà eu des rapports avec une autostoppeuse ?
Je devine très bien de quels rapports tu veux parler mais, pour entretenir le jeu je te donnes cette réponse :
- Qu'est-ce que vous entendez dans le mot rapport ?
- Ne me dites pas qu'avec ce qu'il vient de se passer que vous ne savez pas de quels genres de rapports je veux parler. Je parle de rapports sexuels bien évidemment, du coup de la panne qui dégénère en partie de jambes en l'air vite faite sur la banquette arrière.
- Je ne sais pas si je dois répondre à cette question, je ne voudrai pas finir les yeux rougis et larmoyants à cause d'un coup de bombe.
- Je suis curieuse c'est tout, mais bien moi que vous, si vous voyez ce que je veux dire.
- Il m'est arrivé d'avoir des rapports sur la banquette arrière, mais jamais avec une autostoppeuse.
- Vraiment ? Jamais ?
- Non jamais.
- Et jamais vous n'êtes tombé sur une allumeuse qui vous aurait fait des avances ?
- Si, j'ai déjà eu droit à ce genre de proposition, mais le menu n'était pas assez attirant à mon gout.
- Je doit vraiment vous rendre mal à l'aise avec mes questions et ma tenue alors ?
- Disons que vous faites partie de ce genre de femme qu'on espère toucher mais qui ne sont que des utopies pour des hommes comme moi.
- Je vous plait ?
- Difficile de le nier.
Le ton que tu emploies est celui d'une joyeuse coquine qui sait que ses charmes sont indéniables et qui, par excès de narcissisme et de luxure, pose des questions dont elle connait déjà la réponse. Tu poursuis ta petite scène en venant poser tes jambes sur la console de bord.
- Vous aimez mes jambes ?
Bien sûr que j'aime tes jambes, je les connais par coeur pour les avoir parcourues des orteils jusqu'aux hanches avec mes mains, ma bouche et d'autres parties de mon anatomie, qui d'ailleurs commencent à se manifester de façon inconfortable dans mon pantalon. Mais pour le jeu je bredouille un oui, en me tortillant pour trouver une position plus à mon aise et surtout pour laisser mon pénis se développer plus confortablement dans mon caleçon. Evidemment, tu as remarqué mes gesticulations et tu me le fais savoir, abandonnant le vouvoiement par la même occasion :
- Oui tu les aimes mes jambes. Est-ce qu'elles sont assez douces pour toi ? Touches.
Je pose donc délicatement ma main sur tes jambes soyeuses, épilées à la perfection et parfumées à l'huile de monoï. J'adore cette sensation de toucher, je pourrai passer des heures à faire courir mes grandes mains puissantes sur la légèreté et la finesse de tes gambettes. Tu me regardes dans le rétroviseur, je sens tes yeux sur l'image de mon regard que te renvoie ce petit miroir.
- Tu étais plus entreprenant tout à l'heure, on dirai un adolescent qui n'a jamais toucher une femme. Je préférai les caresses de tout à l'heure.
- Tout à l'heure ?
- Oui, tout à l'heure avant que tu ne plonges ta main dans mon string?. Tu croyais vraiment que je dormais ? Je ne me laisse tripoter sans m'en rendre compte et j'ai le sommeil très léger.
- Tu veux dire que tu m'as laissé faire ?
- Peut-être que oui, peut-être que non?.
- Alors pourquoi cette colère ?
- Pourquoi cette colère ?!!! Parce que, je ne suis une trainée monsieur. Je décide où, quand, comment et avec qui je m'envoie en l'air.
Tu profites de cette réplique pour retirer tes jambes et te rassoir correctement. Tu laisses un silence et considères les objets qui t'entourent. Il y a la petite couverture en polaire que je n'ai pas voulu poser sur toi au début du voyage, une bouteille d'eau, mon livre du moment, mon sac à dos et ta sacoche noire et mystérieuse. Tu saisis la couverture et tu la glisses sous tes fesses. Je fais travailler mon imaginaire mais je n'arrive pas à deviner où tu veux aller.
- Et dis-moi, tu as déjà louché sur le corps d'une tes passagère, en dehors de moi bien sûr ?
- Oui, ça m'est arrivé.
- Et comment elles ont réagi ?
- Je ne sais pas, je n'ai jamais fait attention à leurs réactions, et je suis assez discret. Enfin habituellement.
- Tu ne serai pas un peu voyeur des fois ?
- Un peu si, je l'avoue.
- Tu ferai comment si tu voulais me « mater », là maintenant tout de suite, montre-moi.
J'obtempère en redirigeant mon rétroviseur pour cadrer de ta poitrine à ton entre jambe. De ton coté, et bien que les vitres arrière soient teintées, tu as relevé les pare-soleils, surement pour ne pas être vue de l'extérieur.
- Ça va, la vue te plait ?
- Oui, j'apprécie le panorama.
- Merci, et si je fais ça, qu'est-ce que tu en penses ?
Tes mains glissent lascivement sur l'intérieur de tes cuisses en dessous ton teeshirt que tu as dénoué un peu comme une stripteaseuse qui chauffe son public. Malgré la peur d'être aperçue tu te lances dans une exhibition que j'observe dans mon rétroviseur. Les caresses se font plus précises et plus marquées. Ta main gauche presse alternativement tes seins en dessous de ton teeshirt, et ta main droite stimule, par ses caresses appuyées, ton sexe au travers de ton short. Tu as l'air de prendre beaucoup de plaisir, tes légers gémissements te trahissant. Le teeshirt est devenu superflu et s'envole dans un geste furtif. Il devient presque dangereux de continuer à conduire je perds ma concentration.
- Tu voudrai pas qu'on s'arrête, j'ai beaucoup de mal à rester concentré sur la route.
- Si tu veux, mais on touche avec les yeux et on regarde avec les mains.
- Très bien.
Je profites de la sortie toute proche et je quitte à nouveau l'autoroute. Je cherche un endroit isolé qui m'est offert par une allée dans un petit bois. Je me gare et m'installe confortablement pour continuer à te regarder dans mon rétroviseur. Ton soutien-gorge ne tarde pas à rejoindre ton teeshirt sur la banquette arrière. Le bouton et la fermeture éclair de ton short n'ont pas résistés non plus à ton excitation et la main enfouie dans celui-ci tu caresses ton intimité avec sensualité. Ton autre main, elle, s'attarde sur ta poitrine gonflée et dure de plaisir et tes doigts pince tes mamelons jusqu'à t'en arrachée des gémissements de douleurs. Les ah, les hum et les expirations suivent le tempo de ta masturbation. Je suis surexcité et je suis obligé de défaire les boutons de mon pantalon pour me sentir plus à l'aise. Ton short et ton string subissent le même sort que le reste de tes vêtements. Tu es nue sur la banquette arrière de ma voiture, les jambes largement ouvertes mes laissant admirer les va-et-vient de tes doigts sur ton sexe trempé et parfaitement lisse. J'ai envie de te rejoindre, mais je n'ai pas oublié, on touche avec les yeux et on regarde avec les mains.
- Alors, monsieur le conducteur voyeur, ça te plait de me voir me toucher comme ça.
- Il faudrait être vraiment très bête ou impuissant pour dire que ce n'est pas agréable à regarder.
- Tu voudrai bien toucher, humm?
- Si j'y suis autorisé.
- Pas tout de suite, ça me plait de te voir attendre comme ça.
Tes désirs sont des ordres, mais n'oublies pas que nous avons prévu d'autres scénarios durant ce court week-end, et tu ne seras pas toujours le capitaine du bateau. Tu ouvres enfin cette mystérieuse sacoche noire pour en sortir un sex-toy très raffiné. Loin des vulgaires phallus en caoutchouc chinois recyclé, celui-ci est sobre en métal brillant, tu te saissi aussi d'un flacon de lubrifiant intime, je me demande pourquoi, car d'où je suis, je vois que tes lèvres brillent d'humidité. Mais à regarder de plus près, la description de ce produit indique effet chauffant. Tu déposes une dose généreuse sur le bout de tes doigts et tu reprends tes caresses. L'effet chauffant ne tarde pas à se manifester et tu prolonges le plaisir en te saisissant du jouet brillant. Tu tournes la molette à sa base et le bruit de la vibration se fait entendre. Alors tu viens le poser sur ton clitoris gonflé et un opéra de petits cris et de longs gémissements retenti dans la voiture. Tu fais des allers et venues avec ton jouet d'un bout à l'autre de ton petit abricot très réceptif à ces manipulations, pour finir par l'introduire au plus profond de ton vagin. Là, pas de mouvement d'avant en arrière, tu augmentes progressivement la vitesse des vibrations. Tes cuisses se serrent, ton corps se cambre, les cris sont de plus en plus en plus sonores et rapprochés, jusqu'à un grand gémissement qui annonce ta jouissance. Je suis comme un affamé devant son assiette et qui attends l'autorisation pour pouvoir piquer sa fourchette dans l'assiette appétissante qui est devant lui.
- Humm?. Toujours satisfait de ce que tu vois ?
- Plus que satisfait.
- Prouve-le.
- Comment ça ?
- Montre-moi si tu es dur.
- Si je peux te faire plaisir.
Je descends de la voiture, ouvre la porte arrière et je fais suffisamment glisser mon pantalon et mon caleçon pour apporter la preuve que tu réclames. Je suis dur et excité, tu ne devrais pas trouver d'objection dans la preuve que je te présente. Dans cette position, je ne vois pas l'intérieur de la voiture alors je demande :
- Suffisant comme preu?.
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que ta bouche a déjà englouti mon sexe. Tu m'offres une fellation si sauvage et si profonde que je ne peux pas m'empêcher de suivre la cadence de ta bouche en effectuant des va-et-vient. Les sussions cessent et je sens un préservatif se dérouler sur ma verge. Tu sors de la voiture et après m'avoir embrassé tu poses tes mains sur le siège arrière et tu me présentes ta vulve prête à m'accueillir. Prends-moi seront tes seuls mots. Alors je m'introduis en toi et j'ai bien compris que tu ne te satisferais pas d'un coït langoureux. J'entreprends donc de te servir avec force et une certaine brutalité. Je te tiens solidement par les hanches je tapes fort sur ton postérieur. L'excitation est à son paroxysme je te sens jouir et je ne peux pas jouer les prolongations. Je me retires, tu as compris que j'allais jouir à mon tour. Tu me débarrasses du préservatif et tu me caresses jusqu'à ce que je couvre tes seins avec le jus de ma jouissance.
Après s'être rhabillés, nous reprenons la route. Tu me demandes, un peu comme un enfant :
- Quand est-ce qu'on arrive ?
- Dans environ deux heures, pourquoi ?
- J'ai encore envie de jouer?.
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publié il y a 4 ans
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Kokin83
Kokin83
il y a 4 ans
Excellent une Suite ??!
illustration
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Couple8407
Couple8407
il y a 4 ans
Très belle photo Kokin83
Répondre
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