Connexion Inscription
Accueil Forum candauliste Vos aventures candaulistes Gina en prise avec des douaniers

Forum de la rencontre candauliste

Vos aventures candaulistes

Répondre au sujet
Créer un nouveau sujet

Gina en prise avec des douaniers

Mon épouse avait quarante ans et moi, la cinquantaine. Nous étions et nous sommes très amoureux l'un de l'autre, notre vie sexuelle était plus que satisfaisante, sans tabous, nous fantasmions l'un sur l'autre sans secrets, à tout se dire dans les moindres détails.

Gina a un corps magnifique, des yeux et un sourire angélique, une grosse poitrine et un cul rebondis, elle aime se mettre en valeur les formes de son corps, sans jamais le montrer vraiment. Elle est introvertis, elle attire les regards, elle aime ça, et elle aime en jouer, comme s'habiller pour su'on devine une jolie poitrine dépourvu la plus par du temps de soutien-gorge.

Voilà donc l'histoire que nous avons vécu tous les deux il y a quelques années.

Elle et moi partons demain en vacances sur une île. Pour le voyage en avion, elle porte une jupe courte très confortable en lin très léger, un débardeur moulant très fin et par-dessus un pull et un manteau long destiné à être porté à la main une fois sur place, quand il fera trop chaud ! Dessous, elle porte un mini-string très sexy qui moule et dessine ses petites lèvres intimes, sans soutien-gorge.

Les six heures de vol se déroulent sans encombre et lorsque nous arrivons enfin à l'aéroport, nous prenons notre temps pour nous acquitter des formalités douanières. Nous sommes en vacances, loin de la vie trépidante et particulièrement stressante, alors, tous ces touristes pressés qui se bousculent pour passer avant les autres, nous amuse un peu ! Gina c'est débarrasser de son manteau et de son pull, le petit aéroport est dépourvu de climatisation, elle est très belle, les formes arrondies de sa poitrine sont des plus en valeur sous le tissus tendu, la pointe de ces seins sortes en relief bien en évidences, je dois dire que j'adore ça...!
Nous sommes donc les derniers de la file et, étant presque au seuil de la zone de contrôle, je remarque un douanier à l'allure particulièrement douteuse qui semble regarder ma compagne d'une manière très insistante, voire inquiétante! Mais bon, je dois me faire des idées ! Je constate enfin qu'il se reconcentre sur ses obligations professionnelles avec les autres passagers qui nous précèdent. Je me faisais effectivement des idées ! Deviendrais-je paranoïaque avec l'âge ? Notre tour arrive enfin. Le douanier en question nous dévisage en consultant nos passeports : avons-nous l'air si fatigué que les photos ne correspondent plus à nos passeports! Pourtant ils ne datent que de l'année dernière ! Nous n'avons pas tant vieilli que cela en si peu de temps ! Et toujours mon esprit qui vagabonde et surfe sur les chemins de la luxure ! J'imagine rapidement que cet homme de couleurs en uniforme aurait bien entreprit ma belle de ces formes sensuelles et de sa bouche pulpeuse. Je passe le contrôle sans problème et brusquement, le Bip de la porte retentie, le truc qui énerve et qui est tant redouté par tous ceux qui ont pris l'avion une fois dans leur vie me ramène à la réalité, Gina est pétrifiée d'avoir déclenché l'alarme du portique. En une seconde, le douanier s'approche et lui adresse... « Excusez-moi madame, vous allez devoir nous suivre ainsi que votre mari, nous allons être obligés de procéder à quelques vérifications complémentaires, Ne craignez rien, ce n'est que la procédure. Suivez-moi dans le local de contrôle, s'il vous plaît (trop poli pour être honnête, celui-là !).
Nous n'en menons pas large mais nous n'avons rien à nous reprocher. Néanmoins on a toujours l'impression d'être coupable avant d'avoir été jugé innocent. Déjà peu rassurée de débarquer dans un pays étranger, elle se plaisait à me le répéter il y a encore quelques mois lorsque je lui ai fait part de mon intention dans l'idée de partir en vacances sur une petite île au large des côtes Africaines ! Le fait de suivre ce douanier à la tenue stricte, aux grande mains et cheveux peignés avec soin, dans un endroit inconnu pour des "vérifications" disait-il ! Mais quelles vérifications ? Les autres qui avaient bipé avaient tout juste ôté leurs chaussures, subit une palpation rapide, et puis c'était tout ! Ma tendre épouse se posait plein de questions et, je dois l'avouer, moi aussi. Ce pays était pourtant réputé pour être convivial avec les touristes, car c'était bien là une des rares ressources de cette pauvre République héritière d'un communisme dépassé. Nous pénétrons dans une salle glauque, meublée d'un bureau qui devait dater du siècle dernier, d'une table rectangulaire en bois exotique cernée de quatre chaises paillées ! Pas de fenêtres, le local est complètement borgne et sentait le renfermé et le tabac froid. Une armoire trônait au coin de la pièce et quelques boîtes archives souillées étaient posées pelle mêle sur les rayonnages.

Le douanier s'assoit sur la chaise derrière le bureau, nous regarde droit dans les yeux (plutôt les yeux de ma femme, du reste !) et annonce cette phrase que nous n'oublierons jamais!

"Madame, Monsieur, nous sommes ici très vigilants sur le risque de contrebande! Nous avons reçu des consignes très strictes et des portraits robots qui nous permettent de garantir la quiétude de notre peuple et de nos hôtes nous sont parvenus récemment. Vous correspondez à un de ces signalements, surtout madame, je cite "belle femme, brune un mètre soixante, environ cinquante kilos, 40 à 50 ans, forte poitrine" ! De plus, Madame, vous cachez quelque chose sur vous car le détecteur a fonctionné lors de votre passage ! Je vais donc être contraint de vous fouiller afin de lever toute ambiguïté sur vos réelles raisons d'entrer sur notre territoire. A ces mots, je ne peux m'empêcher de protester ! « Mais, Monsieur le Douanier, est-ce bien nécessaire, nous sommes d'honnêtes gens venant faire du tourisme dans votre beau pays ! Nous ne sommes pas des terroristes, regardez-nous ! » " Et bien, Madame, je vois que votre mari semble être inquiet de ce que je vais trouver !! Pas très honnête, tout cela !" (Gina, remarquant son regard fixé sur sa poitrine croise ses bras pour tenter de cacher ses formes, tandis que, voulant continuer à protester, je poursuis maladroitement "Monsieur, nous sommes français, nous sommes honnêtes !

"La ferme, taisez-vous si vous ne voulez pas passez deux semaines au cachot ! Vous madame, levez vos bras, et vous, monsieur, déshabillez-vous !! Allez, en slip et plus vite que cela !"

Le ton employé ne laissait aucune alternative ! Ouvrant la porte du bureau, le douanier crie : "Viens t'occuper de l'homme pendant que je m'occupe de la femme ".

Puis, revenant vers ma compagne :

"Alors Madame, ou cachez-vous ce qui a sonné tout à l'heure ? Je sais, grâce à ma grande expérience dans ce domaine, que beaucoup d'endroits peuvent servir de cachette, surtout dans un corps féminin! Allez, dites-le …pas de réponse ? Et pourquoi tremblez-vous ? Avez-vous peur que je trouve ce que je cherche ? Allez, ôtez-moi ce haut maintenant que je vérifie s'il n'y a rien de caché dedans !"

Gina, telle un automate, obéit et retire son pull. Ainsi exposée on voit très nettement sa poitrine au travers du fin débardeur particulièrement moulant loin de servir de rempart aux yeux d'un pervers ! Elle le pose sur sa chaise et replace de nouveau docilement ses mains sur sa tête. Mon épouse est déstabilisée, dans sa tête tout s'entrechoque et elle est comme tétanisée par le stress. Moi je n'en mène pas large non plus, je reste assis essayant de ne pas faire de vague afin de nous sortir de cette situation le plus vite possible. Le douanier, après l'avoir regardé de haut en bas se ravise : "non, enlevez aussi votre débardeur", comme une automate mon épouse se plie sachant sa nudité totale à l'ordre et ôte son dernier vêtement qui faisait encore barrage à la vue lubrique du fonctionnaire. Durant ce mouvement le débardeur se soulève frottant sur ses lobes et dévoilant sa poitrine trop comprimée dans le frêle tissu qui bondit en avant. J'observe les yeux du douanier qui sortent de leurs orbites, la fixité de mon regard ne lui échappe pas. Ma chérie, gênée, reste immobile les yeux baissés et je la regarde. Elle est belle et je suis jaloux mais, presque excité en même temps de voir que ce vicieux la reluque ainsi. Elle, pudique, ne pense même plus à cacher sa poitrine malgré le regard libidineux du fonctionnaire qui s'est approché et qui tourne autour d'elle. De dos, il pose une main, puis l'autre sur sa taille, et imprime un mouvement afin de remonter très lentement pour atteindre les aisselles en frôlant les bases des seins de mon épouse. Il la palpe en caressant le dos puis, maintenant, ses pouces s'infiltrent sur les formes arrondies et les autres doigts palpent da peau. Le mouvement se précise jusqu'à ce que les pouces parviennent au niveau du mamelon.

"Mais dites donc, il ne fait pas si froid madame, pourquoi vous avez le téton tout dur?" dit-il ! et ce faisant, il retire ses pouces pour pincer lentement mais de façon appuyée le bourgeon entre pouces et index repliés. Il rit aux éclats et son comparse également, tandis que ma belle, honteuse et humiliée se laisse pincer le bout en silence, les larmes aux yeux.

"Quant à vous, Monsieur, restez comme cela, mon collègue qui va procéder à votre fouille! " Il me désigne le haut de mon pantalon et me sort : "Qu'y-a-t-il de si bandant qui puisse vous mettre dans un pareil état? "

Je ne peux m'empêcher de bander en regardant mon épouse se faire peloter et traiter comme un objet, et je comprends en voyant leurs sourires et les grosses bosses de leurs pantalons que ce calvaire n'est pas fini. Ma chérie reste silencieuse, humiliée que je bande de la voir malmenée. Ce sentiment s'ajoute à la peur et le trouble des paroles sévères et des gestes rudes proférés à notre encontre.

Il empaume les seins de mon épouse, cette fois pour les malaxer, les pétrir lentement mais fermement en les pressant fort : "Hum il faut que je te les observe !".

Le passage du vouvoiement au tutoiement ne me laisse rien présager de bon : "Penches-toi en avant!"

Ma belle obéit docilement encore comme hypnotisée, le cerveau débranché. Elle se retrouve en jupe courte, seins nus dans une pièce borgne avec deux douaniers qui s'amusent à l'observer à moitié nue, à la rabaisser et à la peloter devant moi. De nature déjà docile, elle n'est plus en mesure d'opposer quelque résistance! Tandis qu'elle est penchée en avant, le douanier prend ses seins en main pour les soupeser, les malaxer, et même en pinçant le mamelon pour l'étirer. Elle se laisse faire tandis que l'autre me met des menottes, les mains dans le dos.

"Dis donc c'est beau ça, un mari qui bande pour sa femme, ça t'excite avoue-le de voir mon copain s'occuper d'elle ! C'est de plus en plus louche, une épouse fidèle qui se laisse faire comme une salope et un mari qui bande, ils ne doivent pas être mariés en vrai, peut être des trafiquants ?"

Et, tirant sur mon short et l'élastique de mon caleçon, il exhibe mon sexe raide, le gland couvert de sécrétion.

Laisse-lui la queue à l'air et bloque-lui les chevilles avec mes menottes sous la chaise, comme cela, il restera les cuisses écartées et la bite bien visible". Après cette petite précision, il reprend son travail de recherche approfondi afin de découvrir plus de sa captive. Ce n'est certainement pas tous les jours qu'il peut impunément malaxer, pincer, soupeser, soulever des mamelles de femmes blanches comme celles-là, et en plus en face du mari menotté et la bite bandante à l'air!

"Reste penchée en avant, salope, et écartes tes cuisses de femelle en chaleur... ça m'excite !" Dit-il, comme si l'insulte devenait nécessaire à sa jouissance perverse. Doucement, ma femme obéit et écarte les jambes jusqu'à ce que le tissu de la jupe interdise tout mouvement. Voyant cela, le douanier glisse la jupe au niveau de la taille afin de relever ce petit rempart, ce qui a pour effet de dévoiler un cul magnifique ou siège une ficelle de string entre les lobes fessiers.

"Eh bien, mec, tu dois bien t'amuser avec ce cul ! Tu l'as déjà prêté à quelqu'un? Ne dis-moi pas qu'elle est vierge du cul, ta putain ! Attends, je vais voir ça! "

Puis, mêlant le geste à la parole, il tire sur la ficelle et découvre un trou du cul parfaitement lisse et avenant. Je frémis dès que je le vois poser son doigt dessus ! En tirant un peu plus sur la ficelle, il découvre le début de la fente de ma tendre épouse tout à sa disposition !

"Penches toi plus en avant ! Allez, que tes mains touchent par terre ! je dois voir ce que tu caches là".

Ma Gina se plie docilement à ses ordres, ce qui permet à ce vicieux d'avoir une vue parfaite sur l'ouverture de sa fente superbe. Il ne peut s'empêcher de glisser un doigt de l'anus jusqu'au clito, écartant de ce fait légèrement les chairs intimes de sa suppliciée......

Il place mon épouse devant la table et la fait courber en avant. Les seins écrasés sur la table, fesses tendues en l'air, elle est excitante dans cette position et les hommes affichent une énorme bosse au niveau de leur short. Malgré le contexte, malgré l'écoeurement et la peur, je suis également étrangement excité de la voir soumise à eux, à poil devant ces hommes. En imaginant ce qui allait se passer sous mes yeux, je sentais ma bite me faire mal, mes couilles étaient gonflées à bloc.

Le chef pose à nouveau sa main sur le dos, puis sur les fesses de mon épouse, je vis nettement des frissons la parcourir. Plaçant sa jambe entre celles de ma femme, il la forçait à écarter ses cuisses au maximum. Je le vis avec stupéfaction passer et repasser son majeur dans sa fente, écartant inexorablement et outragement sa vulve brillante de sécrétion. Mon épouse, passive, respirait de plus en plus vite, ressentant ces doigts étrangers visiter les abords de son trou, progresser sur son intimité, attendant inexorablement, sans pouvoir s'y soustraire. L'homme se pencha un peu plus sur elle.

"Ecarte, laisse-moi passer, je dois te fouiller, c'est la règle. Ouvre-moi, si tu ne veux pas avoir mal. " Ma femme plia légèrement les jambes, écartant les cuisses un peu plus, abdiquant complètement, s'offrant à la fouille. L'homme de ses deux doigts pinça son clitoris, Gina eu une contraction et elle émit un petit hoquettement distinctif qui m'aida à confirmer son état, l'autre porta ses doigts à sa bouche, et deux doigts réunis se présentèrent à l'entrée du vagin de ma femme. Il poussa et la pénétra lentement, profondément, jusqu'au fond. Mon épouse accusa cette première pénétration dans un râle de bête blessée. Elle releva la tête, les yeux grands ouverts, puis se laissa retomber sur la table, vaincue. Je n'en revenais pas de ce qui se passait sous mes yeux. J'étais partagé entre la colère et l'excitation. Je voyais ma femme, mon épouse, soumise, se faire peloter, pénétrée par les doigts d'un autre homme, et elle y prenait plaisir bien malgré elle. Je voyais sa chatte, branlée par un autre, car maintenant elle était carrément masturbée. Il ne se contentait pas de la fouiller, il la limait sans vergogne, et sans se soucier de ma présence. Ma femme plia légèrement les jambes, écartant les cuisses un peu plus, abdiquant complètement, s'offrant à la fouille en poussant de long râles cette fois ci.

"Elle est trempée ta petite pute, je suis obligé de retenir mes doigts, ils se feraient aspirer tellement elle est excitée, c'est de voir ton mec attaché ou de savoir que tu vas gouter de ma matraque ? "

"Je… non…. Monsieur, j'aime mon mari mais je… heu… s'il vous plait! Laissez-nous partir s'il vous plait, je… heu…Haaaaaa..."

Moi, je suis toujours jambes écartées assis sur une chaise les mains dans le dos, je regarde ma femme en ayant presque envie que ça ailles plus loin. L'autre à côté de moi commence à se caresser la bite qui se dessine au travers de son pantalon et son regard alterne entre la vue de ma femme se faisant fouiller par son collègue et mon gland gonflé à bloc, de mon méat, un liquide transparent sort sans discontinuer pour venir s'échouer sur mes bourses.

"Mais oui, salope, tu peux bien avouer ce que tu veux, moi, je veux trouver ce que je cherche ! et je n'ai pas encore été assez profond". Aussitôt, il écarte ses lèvres intimes de la main gauche, et son index, puis le majeur le pouce pénètre le vagin de ma petite pute.

"Tu dégoulines de mouille ! On voit que tu es faite pour ça!"

"Ton mari t'a déjà défoncé comme ça?"

"Oui, monsieur, mais...heuuuurrrggg.... s'il vous plaît!"

"Oui, tu as raison, je vais arrêter de fouiller ta moule, d'ailleurs je n'ai rien trouvé dans ta chatte, alors je vais chercher dans ton cul de salope !"

"Oh non, non, par pitié.... s'il vous plaaaaiiiiit! "

Et tout en le disant, il commence à forcer ce magnifique anus qui s'ouvre à lui ! Il fut surpris de pouvoir entrer aussi facilement, elle est assez souple de l'anus le la dilate souvent avec un plug.

"Mmmmm, il se dilate si bien, on ne dirait pas que c'est la première fois qu'elle se fait enculer cette chienne!"

L'autre se rapproche du cul de ma femme, regarde en souriant et ne résiste pas à toucher à son tour le magnifique postérieur! Il flatte les fesses puis glisse sa main entre les cuisses et remonte sur le sexe qu'il pénètre également.

"Ta femme est étanche, petit français ! Écoute comme elle gémit de plaisir! Et attend, tu vas voir quand ce seront nos grosses bites qui vont l'enfourner comme elle va crier cette pute en chaleur".

De voir ma femme gémir et remuer de la croupe en étant doigtée du cul, de la chatte et moi qui bande comme jamais, j'espère sans me l'avouer qu'ils vont lui ramoner la chatte et la faire jouir comme jamais! Les deux douaniers y vont de plus en plus fort, ils la branlent et malaxent ses trous chacun d'un côté puis le chef, retire son short et sa queue, énorme au moins deux fois la mienne, et il la frotte sur le visage de mon épouse humiliée, avilie mais qui, je le sens maintenant, va jouir d'un moment à l'autre !

Il lui attrapa les cheveux et colla son sexe devant sa bouche. "fais-moi bander dans ta bouche salope, oui vas-y, suce, là"…. Son sexe grossissait de plus en plus, il était très gros, je ne pense pas en avoir vue d'aussi gros à vrai dire, pas très long, mais gros. Timide au début, ma femme le toucha du bout de la pointe de sa langue, pour le lapa, jusqu'à à l'enrouler autour du gland, en titillant le frein de celle-ci, je me suis très vite rendue compte que si elle n'y mettait pas du sien, elle passerait des heures à le sucer, donc elle lui a déployé tous ses talents de suceuse pour le faire jouir au plus vite et en finir avec cette histoire. Je la connais, ça lui plaisait beaucoup! Lui donnait des coups de reins comme si ça bouche était un vagin et lui parlait en la traitant de tous les noms (chose qui l'excite énormément). Elle prend maintenant sa bite en bouche et lui pompe le dard, la peau, le gland avidement, elle descend plus bas, humidifies avec générosité les grosses couilles et les avales tours à tours, elle les lui suçotes... Je vois mon épouse tendre sa tête vers la tête de cette grosse bite nervurée et de nouveau lui lécher le prépuce puis, prendre... enfourner le gland entre ses lèvres avec envie, la mâchoire écartelée et ce mit à le sucer comme une possédée! Elle ne peux plus résister !

"Vu comme elle suce ma queue et boit ma liqueur des iles, c'est une bonne pute que tu as là…" me dit-il en me regardant…

C'était la 1ère fois que je la vois avec un autre homme, étonné de l'ardeur qu'elle met pour sucer cette queue, ce membre imposant n'a pas l'air de l'effrayer, ça serait plutôt tout le contraire, elle est comme hypnotisée par le rostre dressé, J'en suis encore à comparer mentalement mon infériorité que Gina se jette sur son pieu la bouche ouverte, introduisant au plus profond de son gosier la verge bandée en gloussant de joie, mon excitation est à son comble.

"Mais dis-moi, salope, je viens de me rendre compte que je n'ai même pas vu ta chatte côté pile… Allez, relèves toi et fout toi complètement à poil ! Allez, plus vite, vire ta putain de jupe, enlève ton string ! Voilà, quelle belle chatte imberbe comme je les aime. Allonges toi sur le bureau, voilà comme ça, le cul au bord, c'est ça, les nichons à l'air et les cuisses écartées, plus écartées, je ne vois pas ta mouille couler !! Bien !! C'est ça".

"Regarde ton homme, tu vas jouir, tu vas bientôt exploser et réclamer qu'on te baise bien fort, et je veux que tu nous me le demande en le regardant"…

L'autre rigole en continuant à malaxer ses nichons, en lui titillant le clito baveux complétement sorti de son capuchon et de l'autre main se dessape!

Sa queue à peine gonflée par de désir est déjà aussi longue que celle de son complice et d'une épaisseur énorme, presque monstrueuse. Ma femme essaie de contrôler difficilement l'effet de rejet devant ce pénis hors normes. Délicatement, le chef se saisit de sa main droite pour l'amener au contact de son vulve, Gina descend sa main au contact de cette tige, elle serre ses doigts sur ce tuyau démesuré, lui, la tête incliné vers le bas, l'incite d'un regard à aller plus loin. Elle glisse sa main avec une lenteur désespérante le long de son engin qui prend vie sous branlette de caresses langoureuses.

Je suis bien à 2 mètres de la scène mais la croissance exponentielle de ce chibre me met sur le cul.

Ma femme déplie son autre main libre pour empoigner le gros dard du voisin, elle presse le gland de ses doigt, une perle apparaît sur le bout, elle glisse de tous son long, comme pour en découvrir la longueur, il enfle et gagne en longueur à chaque aller-et-retour de sa main. Cet homme est un vrai diesel, la croissance est lente mais quand va-t-elle se terminer ? Il faut bien 2 minutes à ma femme pour arriver à ses fins et voir dressée fièrement devant ses yeux une colonne de chair qui doit largement dépasser les 25 cm. Mais ce qui est terrifiant, c'est l'épaisseur de ce gourdin, il lui faut pratiquement les deux mains pour l'encercler. Son propriétaire la prend par les cheveux, forçant la bouche à accueillir sa verge démesurée. Je croyais qu'elle opposerait une petite résistance mais au contraire, ma femme se laisse guider doucement en écartant en grand les lèvres de sa bouche, sort sa langue de son fourreau pour un contact plus rapide, le lape plusieurs fois pour le nettoyer du liquide collant qui le recouvre, et enfourne la tête baveuse en respirant bruyamment, tentant de ne pas s'étouffer à chaque fois qu'il fore sa bouche. Le barreau est si gros qu'il n'entre même pas à la moitié dans sa petite bouche, elle le recrache en toussant dans un flot de bave et de filament qui lui coule sur le menton, avant de retourner d'elle-même au supplice.
Je me mords la lèvre à ce spectacle stupéfiant ne sachant comment réagir, je suis partagé entre la boule au ventre, mon admiration pour elle et nos désirs.
Elle n'a pas l'air de me demander du secours, au contraire, elle se fait soumise, elle accepte de se plier à tous leurs caprices, comme une vraie pute. D'où je suis, je vois à la fois la verge couleurs sombre qui s'active entre ses dents et l'autre en train de lui tripote la chatte de tous son long en se servant de sa queue couverte de sa cyprin pour agacer sa moule et son clitoris. Il met en retrait son action pour profiter du spectacle avant de placer son champignon circoncis de celle-ci à l'entrée de son con, en lui disant:

"Ce n'est qu'un amuse-bouche, ma jolie! "

Elle se cambre pendant qu'il écarte les lèvres vaginales de ses doigts, titillant les chairs de son gland pour le positionner, avant de la prendre aux hanches et de pousser sa verge dans la fente trempée et brulante pour la pénétrer lentement. Je vois le gland qui écarte les chairs, il passe tout seul, puis la tige complète est engloutie dans le vagin palpitant de ma femme pour aller se planter au plus profond de son ventre. Je l'entends couiner quand les couilles s'écrasent sur ses fesses par le balancement, le chibre lui laboure onctueusement la moule, il bute sur le fond de la caverne. Il la prend fermement par les hanches, faisant pénétrer les trois quarts de son manche mais elle en veut plus et s'accrochant fermement aux bords de la table, ma femme projette son cul en avant pour faire entrer au plus possible l'engin dans son fondement, un grand cri à mi-chemin entre la douleur et le plaisir sort de ses lèvres…

"Noooonnnn, arrêtez …. Ohhhh chérie, huuummmmm… C'est trop bon !!! "

Je regarde halluciner ma femme se faire doublement pénétrer par 2 hommes hyper-membrés sans réagir négativement devant la beauté sauvage de ce tableau. Ma douce transformée en furie, ruisselante de sueur, une vraie putain se faisant prendre par deux mâles aussi suintants qu'elle, tronchant sans aucun complexe une épouse devant son mari. Cela semble durer une éternité, Gina gémit comme une chienne qu'elle est, en encourageant par ses gestes ses partenaires à la limer ainsi plus fort et plus profond, elle les exhortes d'y aller franchement. Il n'ont pas besoin de traduction pour comprendre ce qu'elle désire et il lui assène des pénétrations de plus en plus violentes, elle a beau en demander plus, aux yeux larmoyant et aux crispations de son visage, je vois bien qu'elle souffre nullement du diamètre inusité du braquemard couronné de mousse blanchâtre issu dans sa chatte.

"Regardes comme on baise les touristes ici! Tu sais, on n'est pas des ingrats, tu ne serra plus jamais rassasié de nos queues!

Ma queue me fait mal et je ne m'en rends pas compte mais à ce moment j'accepterais n'importe quoi. D'ailleurs le chef me demande: "Dis-nous!... de bien la défoncer ta salope en chaleur, elle avait l'air bien coincée tout à l'heure mais là, elle se lâche ! Regarde comme elle aime se faire prendre par des vrai mecs"...

Et moi de répondre : "Oui allez-y, baisez-la tous les deux à fond ! Faites-la jouir avec vos grosses queues !"

L'autre se faisant sucer pendant que son collègue la prend par la chatte en malaxant ses outres, au bout de plusieurs minutes de ce traitement et des caresses sur son sexe et ses couilles et de toute la situation, crie son plaisir : "Oh ouiiiiiii salope tu vas me téter mon gland avec ta langue, ouï... pompe moi fort petite salope… oui branle moi je viens je sais que tu veux boire mon foutre, etc… » Et tout à coup il a tenu fermement son visage afin de laisser son sexe dans sa bouche, ma femme devait sentir son sexe se gonfler un peu plus, il allait jouir. Sa queue eut des soubresauts, une première giclée inonda sa bouche, elle avalait mais il se retirait déjà pour lui asperger le visage, et les seins de son sperme mais aussi d'insulte, ravi de la polluer généreusement de sa semence onctueuse! Je pensais qu'il n'avait sans doute pas joui depuis un bon bout de temps car il y en avait une sacrée quantité sur elle! Gina adore le sperme, elle était servie !

"Allez salope, prends ça, tu aimes faire le sac à foutre hein ? avoue ! Regardes comme ton mari aime ça de te voir être notre objet sexuel!"

Elle répondit en pleine orgasme: "je suis voootttre vidddddeeee couiiiiillle......arghhhhe....

Malgré la situation ma femme était très excitée, le chef lui ramonait le vagin et la faisait jouir, aspergé par tous ce sperme, sur le visage et les seins, Gina était en transe...

La porte s'ouvre et deux autres douaniers entrent, stupéfaits de découvrir cette scène digne d'une orgie romaine, Gina à gémit comme jamais elle ne l'avait fait avec moi et dès que le chef lui demande, elle se met à quatre pattes devant moi, Il se glisse derrière elle, lui crache sur la rondelle et la queue bien lubrifiée par sa mouille se dépose sur son cul, présente son sexe devant l'oeillet fripé et s'enfonce! Elle a un peu mal, elle sent la pression sur son petit trou et se cambre de façon à bien lui faciliter la pénétration, c'est sa première enculade violente mais elle ne peut protester car elle vient de faire jouir dans sa bouche un inconnu, elle a tout pris et déglutie en se léchant les lèvres comme pour ne rien oublier, pendant que le douanier la force. C'est cette scène que les deux collègues découvrent en entrant! ils ferment vite la porte et direct l'un d'eux se met immédiatement à genou devant elle pour qu'elle lui suce la queue et l'autre attend son tour.

"Tu pourrais bien faire plaisir à d'autres collègues, je ne suis pas égoïste et tu as encore un peu d'énergie ! Ce serait dommage de gâcher! "

Elle ouvre la bouche et se met à le pomper grave, la salope ! Une vraie chienne !

Nous nous retrouvons entourés maintenant de quatre douaniers, le Chef, son collègue et les deux nouveaux plus jeunes dans leur uniforme tout neuf. Gina, après avoir protesté la bouche pleine est maintenant en train de jouir du cul pendant que le chef l'encule, son bélier n'a pas besoin de tuteur pour entrer, je le vois disparaître toute entier entre ses fesses, il lui taraude le cul avant de replonger dans l'autre trou, passant de l'un à l'autre. Elle ne se reconnaît pas, elle se comporte comme une pute en chaleur la bouche pleine du gout du premier, à peine dégluti que l'autre lui fourre la sienne dans la bouche et elle, le suce comme une affamée, je bande comme jamais en la regardant râler à chaque enfoncement de cette grosse bite, la cadence est élevée, la bite puissante lui défonce les deux conduits comme jamais, ma femme ce cabre et explose en hurlant de plaisir, il augmente la vitesse de pénétration, ma femme jouit d'avantage, ses râles ressembles a des plaintes, elle pousse ces fesses sur son baiseur pour qui continue de la fourrer, elle l'accompagne dans ses mouvements, ses yeux sont exorbités, sa bouche est entre-ouverte tétant comme elle peut le gland qui si trouve, elle geint, halète de plaisir. Son bourreau se raidit, il décide de sa chatte et déverse dans le temple sa semence épaisse, à chaque décharge il grogne comme un animal, se retire la queue couverte de mélange, tandis que celui à qui elle faisait une pipe se retire pour prendre la place, le nouveau venu se glissa en dessous d'elle, et à son tour, appuie sur son bassin pour qu'elle vienne s'enfourcher elle même sur sa queue brillante de salive. La queue du chef couverte de leurs jus mêlés, s'approche de sa bouche, sans hésitation, et dans ses moindres replis, avec application, elle le débarrasse du jus qui la recouvre, elle savoure chaque fois qu'elle avale le nectar recueillis.

Le dernier lui, décide de prendre son cul, il s'introduisit d'abord lentement pour apprécier le plus longtemps possible cette prise de possession d'une blanche, lorsqu'il se sentit à l'aise, que la lubrification était bien à point, il finit de la pénétrer d'un magistral coup de reins qui arracha un cri à ma femme. Elle avait les yeux agrandis, se mordait les lèvres elle gémissait et criait de plaisir, son visage grimaçait de l'intense jouissance qu'elle ressentait de ces orgasmes successifs elle haletait, que c'est trop fort, son vagin et son anus se réunissaient en un véritable marécage...

Ils restaient logés en elle, tous deux massif, insolent, guettant les réflexes de ma femme clouée sous eux. Le chef lui lança :

"Tu aimes leurs queues? "

"Ouuuuuuuuuiiiii! "

"Tu les veux à fond? Réclame-le-moi… "

"Oooooooooooooh ouuuuuiiii ! Baisssseeé mooooii à fond, tapez fort, baisez-moiiiii. Encorrrre… c'est booooon ! "

"T'es une vraie pute, faites pour vider les couilles, dit que tu veux nous vider les couilles!!! "

" Je suuuuis une vide cccoooouilllllle.... je veuuuuux vos juuuuussss..."

Et dans un bruit de clapotis, les deux queues dans les fondements de mon épouse replongent de leurs organes, l'absorbant au fond d'elle, marquent de nouveau leurs mouvements en alternance, ainsi que la satisfaction de mon épouse d'être de nouveau malmenée, laquelle accueille cette ultime profanation avec des soubresauts de sa croupe, en poussant des vagissements affolés.

Les deux autre dont le chef de la bande se masturbe en duo à proximité de sa bouche pour profiter en alternance de ses coups de langues...

Finalement, les deux qui la baise, incapable de se retenir plus longtemps, ils s'enfouissent profondément en elle de leurs membres insatiables et l'inonde de leurs jets répétés, l'un emplis de foutre sa chatte et l'autre se répand dans ces intestins avec tous deux, de forts gémissements de toute leurs forces.

Je vois le sexe et son cul recracher le foutre dans des pets mouillés, les conduits trop comprimée sous la pression qu'ils viennent de fournir...

Dans le même temps, dans un petit décalage, les deux masturbateurs éjacule également de bonne rasade brulante sur le visage de mon épouse, qui.... à ouvert la bouche, la langue en dehors pour récolter au vol, le plus de jus possible qu'elle avale par petite gloussée rapidement...

Ce qui porte au paroxysme les éclats de voix éperdus de ma femme qu'ils ont soumise, divinement torturée par cet abondant outrage. Les mains avides des deux hommes parcourent le corps et la chair soyeuse de ma femme, se rejoignent sur son ventre sensibilisé à l'extrême par ce dernier coït, elle frémit de la nuque aux pieds.

"Quelle Salope" ricanent-ils, enchantés de la découvrir aussi béante et ruisselante de leurs jus.

"Allez, maintenant que tout le monde a bien joui, lèves toi, salope ! Allez, debout, écartes les jambes que je vois l'intérieur de tes cuisses, voilà, encore plus écartées ! bien ! écartes également les bras, voilà, tu vois quand tu veux !"

Le sperme dégouline en fines rigoles sur tous son corps, entre ses cuisses, des traits filandreux de foutre tombe sur le sol et remonte frapper le con ouvert, sans penser à son estomac, avec ce qu'elle a ingurgitée! Ces fesses et les seins sont rougis également par le martyre qu'ils ont subits ! Le chef palpe de nouveau ses cuisses, en remontant ses mains jusqu'à la raie, puis présente sa main ! son vagin est tellement ouvert et lubrifié que ses 4 doigts pénètrent comme dans du beurre, il lui porte à sa bouche, elle les lui lèche goulument!

Ma femme est entourée de six mains qui la fouillent, la palpent, écartent ses fesses, soupèsent ses seins, écartent son sexe impudiquement ! Elle est soumise!

"Dis donc, ça a plus à ton mari, il bande comme un fou… va le branler… mais fais-le décharger sans le toucher, sinon vous allez tous les deux en cage… !

"Allez, gicles me lance-t-il!"

Et moi, incapable de résister au premier contact de la main de ma femme sur ma bite, j'éjacule bruyamment alors qu'elle me la lâchée au moment fatidique comme demandé par le chef, mes jets puissant frappe par deux fois mon visage, glissant sur mes lèvres avant de s'étaler sur mon torse, mon ventre et noyer mes couilles, j'ai une appréciation d'inachevé, je suis frustré de ne pas avoir eu l'orgasme escompté, j'ai encore envie.

Enfin, on se retrouve en moins de cinq minutes avec nos valises et nos vêtements (ma belle nue sous sa jupe ample et légère et sous son débardeur, le sperme dégoulinant de ses trous le long de ses jambes) sur le trottoir près de la file de taxi, on n'ose pas se parler, honteux chacun d'avoir pris tant de plaisir dans cette soumission adultérine. Une fois sur la banquette derrière le chauffeur à qui je tends le papier de l'adresse de notre bungalow, je regarde ma femme et l'embrasse fougueusement, sa langue vient au contact de la mienne, charger de sa salive, mais aussi ce mélange de foutre, nous nous embrassons passionément, en me retenant de prendre ses seins en mains sachant maintenant qu'elle aimait l'amour violent et posant sagement mes mains sur sa taille, je lui dis "je t'aime".
Fin.
illustration
Italove13
Italove13
5342 km, Femme 52 / Homme 57
publié il y a 1 mois
Pour voir plus de réponses ou répondre au sujet,
inscrivez-vous !
Naughtyboy
Naughtyboy
il y a 1 mois
Très beau récit ! Merci pour ce partage
Répondre
Nous respectons votre vie privée

Nous utilisons les cookies afin de vous offrir une expérience optimale et une communication pertinente sur nos sites.
Nous veillons à obtenir votre consentement quant à l’usage de vos données et nous nous engageons à les respecter.

Pour plus d’infos sur vos données personnelles, consultez notre politique de confidentialité.