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Fantaisie Romance chinoise à Paris ...

Salut à tous, je m'appelle Sonja, j'ai 25 ans, je suis une jolie petite rouquine au yeux noisettes, je suis toute menue mais avec quelques rondeurs que les hommes et les femmes qualifient d'adorable.

Je souhaiterais vous raconter une histoire, j'ai fait une rencontre, il y a pas si longtemps, je rentrais chez moi, nous étions un dimanche soir et je revenais d'un week end chez mes parents, au bord de la mer, en Normandie, je souhaitais faire une pause, je travaille dans une librairie érotique et je venais de me séparer de Daniel, mon petit ami depuis 5 ans, ça ne collait plus entre nous et je le soupçonnais d'aller voir ailleurs.

Nous étions dimanche soir, il pleuvait à verse sur Paris et je sortais de la gare, j'ai oublié mon parapluie dans le train et je n'ai pas de capuche sur ma veste, je me ficherais des baffes, je me dirigeai vers la sortie de la gare et me décidai à attraper un taxi pour rentrer, je n'ai pas le coeur à prendre le métro, surtout à cette heure.

J'attendais mon taxi quand soudain, je ne ressens plus la pluie sur ma tête, une âme charitable me fait partager son parapluie, j'allais remercier mon sauveur quand je le vis, mon sauveur n'était nul autre que Tony Leung Ka Fai, un acteur chinois que j'admire depuis ma tendre adolescence, je l'ai trouvé extraordinaire dans L'Amant, délicieux dans Nouvelle Cuisine ( mon film d'horreur préféré ) et fascinant dans Double Vision, je le remercie poliment en français, il me répond gentiment en anglais

Il me propose aimablement que nous partagions un taxi, je décide d'accepter, trop épuisée d'attendre et je dois avouer que j'apprécie sa compagnie, je me sens étrangement comme sa partenaire, Jane March, dans L'Amant, bien avant qu'il l'emmène à Saigon.

Une fois dans le taxi, que j'ai appelé façon New Yorkaise après des années d'entraînement et de visionnage de Sex And The City, nous faisons connaissance, j'apprends qu'il est ici incognito, il fait une pause, aussi bien que dans sa vie professionnelle que dans sa vie d'homme, je sais qu'il est marié depuis de très nombreuses années et qu'il a deux filles de plus ou moins mon âge, je le comprends que trop bien, il est encore très séduisant malgré son âge avancé, il ressemble davantage à son personnage dans Nouvelle Cuisine, les cheveux blancs en moins, j'ai reconnu le jeune homme galant et sensuel vu dans L'Amant dès l'instant que je l'ai vu.

Pendant le trajet, nos mains se frôlent et je sens son petit doigt caresser ma main, il esquisse un léger sourire à la fois grivois mais innocent, je le sens d'un seul coup me prendre délicatement la main et me la presser en douceur, un trouble érotique nous submerge, je me sens troublée et lui aussi.

Nous reprenons notre conversation, il me demande ce que je fais dans la vie, je lui réponds que je travaille dans une librairie érotique, rien de lui en parler me donne du rouge aux joues, je me sens gênée, il me dit que je n'ai pas à avoir honte, je me sens fiévreuse d'un seul coup, de merveilleux flashbacks des scènes érotiques de ses films me viennent en mémoire : quand il couche avec la masseuse et la superbe Bai Ling dans Nouvelle Cuisine, quand il fait découvrir l'amour et la sensualité à Jane March dans L'Amant, je n'ai plus qu'un seul désir, qu'il me possède, je meurs d'envie de lui appartenir, d'être son esclave, sa chose et sa soumise, un peu comme dans les romans et les livres que je vends à mes clients dans la petite librairie où je travaille.

Me voilà enfin arrivée devant chez moi, Tony m'aide à décharger ma valise du taxi et une fois arrivés chez moi, il m'adresse un chaste baiser sur la joue en me disant au revoir, je le vois remonter dans le taxi qui finit par s'éloigner dans la nuit parisienne et je remonte chez moi.

Après un court dîner et un bon bain chaud, je décide d'aller me coucher mais avant de dormir, je vais jusqu'à ma bibliothèque où je prends mon roman préféré, L'Amant de Marguerite Duras, j'avais adorée ce roman étant adolescente, cette romance passionnée et fiévreuse entre cette jeune fille et ce chinois qui lui a fait découvrir l'amour, le plaisir, la sensualité mais où elle a fini par se rendre compte qu'elle l'aimait, mais bien trop tard, je finis par m'endormir en rêvant de mon nouvel ami.
J'ai passé ma nuit à rêver et à fantasmer sur Tony, sur la façon dont il me regardait et sur la manière dont nos mains se sont touchées, je me sens à nouveau submergée par ce trouble érotique, je glisse une main dans ma petite culotte et je me masturbe, je l'imagine en train de me faire l'amour, en train de me posséder de toutes les façons possibles, je m'imaginais à genoux, simplement vêtue d'un porte jarretelles, d'escarpins à hauts talons, les yeux bandés, les poignets attachés par une simple cravate, subissant ses moindres désirs, allongée sur son lit, me faisant redécouvrir des plaisirs que j'avais oubliée jusqu'à présent, je l'imaginais me posséder de façon brutale et animale, c'est sur cette simple pensée que je jouis, d'un grand cri très intense, je finis par m'endormir paisiblement, nullement assouvie mais folle de désir pour cet homme.

C'est le lendemain que tout s'est joué, l'après midi même et ce matin là, je me suis réveillée furieusement excitée, je ne voulais pas attiser le feu provoqué par mon excitation de la nuit dernière et je revenais d'un déjeuner avec mes amis : Alex, mon meilleur ami et collègue de travail, il est éditeur car il faut savoir que la librairie pour laquelle je travaille fait aussi l'édition de livres pornos et érotiques, Chams, un copain instructeur de krav maga hypra sexy mais super sympa et Freya, ma meilleure amie d'enfance, qui est journaliste.

A un moment donné, dans l'après midi, j'étais en boutique, placée sur un escabeau à ranger des livres en hauteur quand j'entendis la porte s'ouvrir, le tintement de la cloche, je saluais mon client, lui dit que je suis à lui dans un instant, je me retourne et qui vois je, Tony Leung Ka Fai, mon sauveur de la veille, je rougis comme une tomate, il a le regard posé sur ma jupe et sur mon bas couture apparent, je descends de l'escabeau et lui serre doucement la main, il a la main chaude, il me demande ce que je rangeais, il s'agit de nouvelles commandes sur des livres bdsm, il me sort un regard amusé et me demande ce que j'ai fait de mon fouet, je réponds sans hésitation que je préfère être de l'autre côté du fouet, mais merde, qu'est ce qui m'a pris de lui dire une connerie pareille ? je me reprends donc immédiatement et je lui dit que je n'apprécie pas le fouet, il m'envoie un regard inquisiteur et je remarque donc qu'il ne lâche pas mon collier du regard.

Je reprends une attitude professionnelle et je lui demande ce que je peux faire pour lui, il me dit qu'il n'a besoin de rien mais qu'il est venu à but personnel, il passait dans le coin, il voulait me saluer et il voulait me demander une chose, en effet, il me demande si j'accepte de dîner avec lui ce soir, je n'arrivais pas à le croire, un homme de cette classe osait s'intéresser à une simple et banale jeune femme telle que moi, c'est à ce moment qu'une idée m'est venue, je lui ai proposé de venir chez moi, c'est moi qui l'invite, il accepte sans hésiter, je vire au cramoisi mais je m'étonne de ma propre initiative,
il me prend encore la main mais là, je ressens comme un frisson, il me regarde droit dans les yeux et m'adresse un sourire qui me fait fondre, je reprends une attitude normale et je lui propose de venir chez moi vers 21h ce soir, ça lui convient parfaitement, il décide de prendre congé mais avant de partir, il me fait un baisemain comme faisaient les messieurs d'autrefois, il part et j'ai le palpitant qui bat dans ma poitrine, je n'arrive pas à le croire, il ne s'agit pourtant pas d'un rêve.

L'après midi traîne en longueur et dès la fermeture, je fonce acheter de quoi cuisiner ce soir et une fois rentrée chez moi, je me mets en cuisine, je prépare des raviolis chinois à base de chou et de poulet et du poulet stroganoff avec du riz sauvage, j'ai même préparé un smoothie litchi fraise au lait de soja pour le dessert, je profite du mijotage de mon plat pour tout préparer, préparer ma table, me préparer physiquement, je porte une robe kimono assez courte mais très sexy et des sandales à hauts talons.

Pendant mon bain, je me surprends à fantasmer, serais je à la hauteur sexuellement pour cet homme ?, ça fait des mois que je n'ai pas fait l'amour, j'espère lui plaire et je crois l'avoir plu, je n'arrive toujours pas à croire que cet homme, Tony Leung Ka Fai m'ait abordé personnellement, rien que pour mes beaux yeux, je sors de mon bain, je me sèche tout doucement et je me prépare, j'ai pris la décision de ne pas porter de sous vêtements ce soir, je laisse mes cheveux en chignon et je me maquille légèrement, je ne souhaite pas en faire trop

Il est pratiquement 21h quand il arrive, il est ponctuel ça fait plaisir et quand j'ouvre la porte, je suis sur le point de me liquéfier, il est encore plus beau ce soir une chemise et un jean avec de belles chaussures, ce type a définitivement du style, je découvre qu'il m'a apporté des roses, j'adore les roses, surtout les roses rouges et il a apporté une bouteille de champagne, quelle délicate attention.

Je lui fais visiter mon appartement et durant cette visite, je sens discrètement sa main sur ma chute de reins et un léger baiser sur ma nuque, je peux entrevoir une légère excitation à la fois dans ses yeux et dans son pantalon et une fois au salon, nous trinquons au champagne et du grand crû, il me demande depuis quand je suis fan de lui, je lui avoue que je l'admire depuis mon adolescence, j'avais 15 ans quand je l'ai vu dans L'Amant avec ma copine Freya, je me souviens qu'à l'époque, on avait passées une magnifique après midi à rêver devant le film et à s'imaginer à la place de Jane March, j'ai par la suite suivi sa filmographie, à rire devant Tom, Dick et Hairy, une amusante comédie où il joue avec son fidèle ami Tony Leung Chiu Wai, à pleurer devant Christ Of Nanjing et Zhou Yu's Train et à être attentive devant Nouvelle Cuisine et Double Vision où je l'ai trouvé très séduisant en policier tourmenté.

Durant le dîner, nous parlons de choses et d'autres, il me parle de sa famille, de son épouse, je vois qu'il est amoureux de sa femme mais qu'il est soumis aux diverses tentations qui guettent les hommes de son âge, je lui parle de ma famille et je lui apprends que je suis la fille d'un ex ambassadeur qui a été en poste à Hong Kong il y a des années, je lui apprends aussi que je suis fille unique et que je suis fraîchement célibataire après 5 ans de relation avec un homme que je soupçonnais d'aller ailleurs, il fit la grimace, il traite mon ex d'enfant gâté, une demoiselle telle que moi doit se préserver, telle une fleur rare.

C'est après dîner que les choses sérieuses ont commencé, nous étions au salon et nous avons continués à parler, je rougissais de plus belle, ça n'a pas échappé à Tony qui s'est approché de moi et qui joue avec une mèche de cheveux échappée de mon chignon, je sentais sa main me caresser doucement le visage, sa main est chaude, douce comme de la soie, je me prends à imaginer comment il oserait me caresser, même mieux, me flageller, me fesser comme les héroïnes de romans que je vends, je revenais à la réalité quand il m'a soudainement embrassé, il a des lèvres douces, chaudes et délicieusement sucrées, j'ai eu un moment d'hésitation et j'ai fini par m'accrocher à son cou.

il s'est allongé sur moi, je sentais ses mains sur mon corps qui désirait davantage de caresses interdites, d'attentions, je sentais qu'il était furieusement excité, à travers son regard et son érection évidente dans son pantalon, je lui fais un signe de tête, lui indiquant ma chambre, il me soulève et m'emporte dans ses bras, nous allons dans ma chambre, l'homme ouvre et referme la porte d'un coup de pied, il me repose sur le sol et s'assied au bord du lit, il me déshabille lentement, faisant glisser mon kimono, il pousse un soupir de soulagement quand il remarque que je ne porte aucun sous vêtement, il attrape délicatement mes jambes, il retire mes chaussures et il m'allonge sur le lit.

Il s'est allongé près de moi et il a continué à m'embrasser, je suis nue à l'exception de mon collier en cuir autour du cou, il sent bon le jasmin et le parfum, je me suis redressée et à mon tour, j'ai commencé à le déshabiller, je l'ai touché, je caresse sa peau, sa peau est si douce, comme de la soie, il finit par s'allonger, je glisse une main insolente dans son jeans tout juste déboutonné, je glisse ma main dans son caleçon pour découvrir enfin l'objet de ma convoitise que je caresse avec une certaine délicatesse et ferveur, il ferme les yeux pour savourer ce délicieux moment.

Je le vois gémir, me supplier de continuer cette exquise torture, je finis de le déshabiller et enfin, je le vois nu, il était tout ce que j'imaginais, je continue donc à le toucher tout en l'embrassant, je sens ses mains qui me caressent doucement les seins, il me les torture en douceur, il les pétrit, il me mordille les tétons, il couvre mon corps de baisers et de caresses, de mes seins jusqu'à la pointe de mes pieds mais enfin arrivé à mon pubis, j'écarte mes cuisses pour lui faire comprendre ce que je veux, je le sens soudainement insérer en moi deux doigts, je me sens mouiller, il me dit que je suis furieusement excitée, il m'appelle chérie, ce surnom me fait rougir, il reprend donc sa mission, il me fouille sensuellement, profondément, je sens ses doigts qui taquinent mon poing g, il approche sa bouche de mon clitoris, il me l'embrasse, il le torture voluptueusement, j'ai une furieuse envie de jouir mais je me retiens, mon amant n'a pas été satisfait, à mon tour de lui faire du bien.

Pour vous dire la vérité, je n'ai jamais été douée en ce qui concerne la fellation, je n'ai jamais fait ça à un homme, je prends ce chibre doucement dans ma main et je commence à l'embrasser en douceur, il ferme ses yeux et m'encourage à continuer, le garçon pose ses mains sur ma tête, me caressant les cheveux, je commence à sucer, je m'applique, c'est la fellation de ma vie, il apprécie cette belle attention et d'un seul coup, j'y vais de plus en plus fort et de plus en plus vite, il me cramponne par les cheveux, il veut jouir mais j'ai envie de lui, j'ai envie qu'il me fasse l'amour, envie qu'il me déchire comme une feuille de papier .

Il a vite répondu à mes supplications, je lui donne un préservatif qu'il fait coulisser sur son membre bien tendu, je me suis allongé, il a écarté mes cuisses et m'a pénétré d'un seul coup de rein, oh mon dieu, ce bel amant chinois me fait l'amour, il me fait sienne, il me prend avec sensualité mais de la fougue, il m'embrasse, je sens son souffle chaud dans mon oreille, il m'a saisi les poignets, je me sens tout à coup comme ses partenaires féminines avec qui il joue les scènes sexy, je me sens femme et esclave à la fois.

Il me pilonne intensément, nous passons des heures merveilleuses à faire l'amour, à explorer les positions amoureuses, il caresse ma peau, il embrasse chaque centimètre de mon corps, il m'appelle ma jolie, ma chérie, nous avons fait l'amour deux fois ce soir là et après un ultime orgasme, nous décidons de prendre un bain ensemble pour conclure cette merveilleuse soirée.

Nous nous séparons à 3h du matin, je travaillais ce jour là et heureusement, c'était ma dernière semaine de travail avant les vacances, 3 semaines de repos bien mérité, Tony m'invite à dîner vendredi soir et pendant le reste de la semaine, nous nous envoyons des mails, des lettres où il m'écrit ce qu'il souhaite me faire, il m'écrit des poèmes, il m'avoue son attirance grandissante pour moi et il m'envoie des cadeaux et des fleurs, je peux même dire que certains soirs, quand je rentre à la maison, je l'ai aperçu au détour d'une rue.

Vendredi soir, me voilà enfin en vacances, quand je suis rentrée chez moi, je fonce dans mon dressing à la recherche de la tenue idéale pour mon dîner avec Tony, j'opte pour une robe courte en cuir, bien décolleté et dos nu, j'opte aussi pour des sous vêtements sexy : porte jarretelles en dentelle, bas couture, j'opte pour des escarpins à talons aiguilles et je compte porter mon collier en cuir.

Un taxi passe me prendre à 20h30 et il finit par me déposer 30 minutes plus tard devant un des endroits les plus chics de Paris ; le Buddha Bar, Tony m'attendait en souriant, je sors du taxi et il me prend dans ses bras où il m'embrasse passionnément.

Il me prend la main et nous entrons, il a réservé une table ici, je dois avouer que cet endroit m'a toujours fasciné, je sais surtout que c'est un des endroits les plus selects de la capitale, je me suis juste contentée d'en rêver, nous entrons dans une superbe salle décorée style asiatique mais classe, il m'aide à retirer ma veste, son regard se perd sur ma robe en cuir, sur mon décolleté, ma chute de reins et mes jambes couvertes de mes bas couture.

Nous nous installons et nous commandons nos boissons : il commande un verre de vin blanc et moi, j'ai commandé un mojito, je le laisse prendre les choses en main pendant toute la soirée et pendant le dîner où je déguste des plats tout aussi délicats les uns comme les autres, il me dit ce qu'il attend de moi, il m'avoue que depuis des années, il a des penchants, des penchants refoulés pour la domination, des désirs qu'il garde caché, il a tout de suite deviné que je suis une petite chose fragile, autrement dit une petite soumise, je lui avoue que j'ai aussi ce genre de fantasme, pour côtoyer ce genre de personnes à mon travail.

Avant de partir, il me demande de retirer discrètement mon string, il ne se le fait pas dire deux fois, je m'exécute sans faillir, je lui donne mon string sous la table qu'il glisse dans la poche de son jean, il me lance un regard lubrique qui me fait instantanément rougir.

Nous avons pris un taxi, je me sens tout à coup fébrile et pendant le trajet, il glisse sa main entre mes cuisses, je suis littéralement trempée, il ne cessait de m'embrasser et de me fouiller sous l'oeil discret mais émoustillé du chauffeur qui nous regardait faire des bêtises quand les hasards de la route lui permettaient, j'avais par ailleurs aussi glissé une main insolente dans le pantalon de Tony, je taquinais son membre tendu d'une main experte dans son caleçon, il fermait les yeux et me supplie de continuer de jouer avec son membre qui recrache quelques gouttes de sperme, je n'ai qu'une seule envie, le prendre dans ma bouche mais je me retiens.

J'apprends que Tony loge dans un des hôtels les plus chics de la capitale, plus précisément dans mon quartier, loin des palaces pompeux et prohibitifs à proximité de la Tour Eiffel et des Champs Elysées, il loge dans un petit hôtel, situé rue Vieille Du Temple, un charmant hôtel de charme, je suis souvent passée devant avec mes amis.

Nous entrons dans l'hôtel, nous passons devant le comptoir où un brave homme ventripotent lui donne sa clé en nous saluant, nous prenons l'ascenseur où nous montons jusqu'au 2ème étage mais pendant la montée qui s'est avérée très lente, il m'a embrassé, s'est mis à genoux, il a retroussé ma robe, j'ai écarté mes cuisses et il a inséré deux doigts dans ma chatte qu'il a agité avec ferveur, oh mon dieu, comme j'ai envie de lui, comme j'ai envie de cet homme.

Une fois arrivés à l'étage, nous accourons jusqu'à la chambre et une fois la porte refermée, avec l'écriteau ? Ne Pas Déranger ? ? apposée à la poignée, Tony s'est jeté sur moi, il m'a embrassé passionnément, fougueusement, il me déshabille, me retire ma veste et ma robe en cuir, je le vois sortir d'un sac une laisse avec un poignet en cuir, il l'a attaché à mon collier, m'a demandé de me mettre à genoux, je m'exécute et il me fait avancer à quatre pattes jusqu'au lit, je le vois retirer sa cravate et il m'attache les poignets, je le vois s'installer au bord du lit, il baisse son pantalon et son caleçon et il me guide pour une fellation goulue sans les mains.

Et c'est parti, je le suce sans faire usage de mes mains, je pompe goulument cette queue chinoise, mon amant est allongé, il a posé ses mains sur ma tête, pour caresser ma tignasse, histoire de m'encourager à continuer à le torturer, je l'entends gémir, il me dit des mots que je ne comprends pas mais qu'ils veulent tout dire, je ressens aussi une vive excitation entre mes jambes, je continue à sucer tout en continuant à espérer qu'il me baisera aussi, je passe une bonne dizaine de minutes à le sucer, il est sur le point de jouir et il me demande d'arrêter d'une voix autoritaire.

Je me retire, il remet son caleçon et son pantalon, il enlève sa chemise, il me remet debout et il me jette à plat ventre sur le lit, je l'entends fouiller dans un sac et d'un seul coup, je sens que quelque chose me caresse le dos, les reins, ma croupe, je n'ai pas eu le temps de dire ouf quand je sens un coup sur mes fesses, le saligaud va me cravacher, il me demande de compter et il murmure qu'il recommencera si je perds le fil, il me flagelle 12 fois et je compte 12 fois sans me démonter, il me détache et il me demande de m'installer sur le dos, je mets mes bras au dessus de la tête, cette initiative ravit mon amant qui m'embrasse avant de me bander les yeux, il recommence sa flagellation, encore une série de 12 coups, sur les seins, mon ventre et mon pubis, la sensation des coups n'est pas douloureuse mais profondément exquise et délicieuse, il frappe bien mais pas trop fort.

Passé l'atelier flagellation, il pose sa cravache et il m'intime l'ordre d'écarter mes jambes, je le sens se positionner entre mes jambes, il insère un doigt dans ma chatte et constate joyeusement que je suis trempée, il insère donc deux doigts en moi, je me sens chaude, voluptueuse, je sens aussi sa langue taquiner mon clitoris pendant qu'il me doigte, je m'enflamme, j'ai une furieuse envie d'être déchirée, d'être possédée, d'être sienne et d'être baisée toute la nuit.

Tony a répondu à ma prière, je le vois revêtir un préservatif, il a écarté mes jambes et s'est allongé en s'insinuant en moi, il me prend, il me déchire, il a saisi mes poignets en m'embrassant, il me répète inlassablement que je suis une pute, une traînée, une petite salope qui s'est détourné du droit chemin, il ajoute qu'il a envie de moi et qu'il voudrait me faire l'amour éternellement, j'explose, je m'enflamme, de tous les amants que j'ai eu, Tony Leung Ka Fai est sans conteste un des meilleurs, il est à la fois doux, sensuel et sauvage, il me dit que je peux le toucher, je passe mes mains sur son dos et je m'accroche à son cou, nous nous perdons dans un flot effréné de plaisirs.

Nous passons une superbe nuit à parler, à faire l'amour, à explorer nos désirs, à explorer nos corps, j'aime tant le toucher, j'ai tellement appris avec lui, plus qu'avec mes autres amants et une chose encore, je crois que je tombe amoureuse de lui car quand je croise son regard, je me sens toute chose, fiévreuse, toute chaude, mon coeur bat à tout rompre et je me surprends même à rougir.

Après cette nuit, nous nous sommes considérés comme des amants, je lui ai fait visiter la ville, nous nous promenions comme un couple légitime, main dans la main mais avec la domination en plus, je me suis promenée à ses côtés sans sous vêtements et avec mon collier en cuir. je lui ai fait visiter la capitale, je lui ai fait découvrir les splendeurs de Paris autres que la Tour Eiffel, l'Arc de Triomphe et les Champs Elysées, je lui ai fait découvrir les charmes de mon quartier, le Marais, je lui fait découvrir les boutiques érotiques et lors de notre passage dans la rue des rosiers, le quartier juif, je lui fais découvrir cet incontournable de la cuisine israélienne : les falafels.

Nous en profitons pour visiter un de mes musées préférés : le Louvre, je vois Tony s'extasier devant les oeuvres de Da Vinci, comme la Vierge aux rochers, une de mes oeuvres préférées, je le vois aussi s'extasier devant la Victoire de Samothrace, il me dit que j'aurais pu être un excellent modèle en ce qui concerne l'art, nous nous promenons dans les parcs, nous profitons de ces îlots de verdure en plein Paris pour nous aimer, pour exposer nos baisers et nos caresses furtives et interdites en plein jour.

Je lui fais visiter un des joyaux de notre région, le château de Versailles, là où a eu lieu la splendeur du Roi Soleil jusqu'aux premières heures sombres de la Révolution Française, je lui montre aussi le petit Trianon et le petit hameau, où la reine Marie Antoinette se retirait avec ses intimes loin de l'étiquette et du protocole étouffant de la cour, je lui explique le destin tragique de la famille royale lors de la révolution, Tony fait la grimace.

Le soir venu, nous profitons des folles soirées parisiennes, je lui fais découvrir l'effervescence de Chinatown, le quartier chinois, j'adore ce quartier, c'est là qu'on déguste les meilleurs sushis et les meilleurs plats chinois mais là, nous ne passons pas inaperçu, Tony est immédiatement reconnu par certains habitants chinois, sa présence à Chinatown fait l'effet d'une bombe, je suis présentée comme son amie, comme son guide touristique.

Loin de toute cette agitation, je lui ai fait découvrir certaines soirées, des soirées libertines, c'est là que nous avons exposés nos désirs au grand jour, surtout dans un certain club bdsm nommé Cris et Chuchotements où j'ai découvert mon potentiel de soumise et où j'ai découvert que les soumises ont un énorme pouvoir, c'est elles qui décident de tout.

Mis à part notre soirée dans les clubs, nous nous promenons au bord de la Seine où Tony ne s'est pas gêné pour m'embrasser, me faire comprendre que je lui appartiens et plus prosaïquement, qu'il me désire comme je suis.

Mais lors d'un soir, tout à dérapé, je l'ai présenté à mes amis mais quand Tony a serré la main de Chams, il lui a lancé un regard furieux, je n'ai pas compris pourquoi mais j'ai deviné : Chams me fait la cour depuis très longtemps mais je m'en fiche, j'apprécie simplement Chams comme un bon ami, ça n'ira pas plus loin mais une chose est sûre, Freya et Alex apprécient mon amant et c'est réciproque, il a même vu une chose qui m'a échappé : Freya et Alex sont amoureux et se tenaient tendrement la main.

Après dîner, nous sommes allés danser dans un club où ils ne font que de la musique latino, c'est là que j'ai eu une idée, Tony ne m'en a jamais parlé mais je crois deviner qu'il est jaloux, j'ai décidé de m'amuser un peu, je demande à Tony si il veut danser, il accepte, nous dansons un tango endiablé, je me sens fiévreuse, folle d'amour mais bien décidée à le rendre bien jaloux, c'est à la prochaine danse que j'attaque, j'invite Chams à danser et c'est là que tout a dérapé : j'ai dansé avec lui sensuellement, me frottant contre mon ami qui n'y comprenait plus rien, je me frottais à lui, lascive, comme une chatte en chaleur, je voyais qu'il était calme extérieurement mais qu'intérieurement, il était furieux, bouillant de rage mais en revenant, il a retrouvé le calme mais j'ai commencé à avoir peur et j'ai eu raison d'avoir peur car après la soirée, nous sommes allés dans sa chambre d'hôtel, il m'a demandé sèchement de me déshabiller, je me suis exécutée et j'ai baissée la tête, j'avais peur et j'ai eu raison car il m'a collé une claque avant de m'embrasser furieusement, je n'y comprenais plus rien.

il m'a jeté sur le lit, il m'a immobilisé sur le dos, il m'a menotté et bandé les yeux, j'ai entendu un froissement de vêtements, il se déshabille, je l'ai pas eu le temps de dire ouf quand j'ai senti un coup ce qui m'a fait écarter mes jambes, il me fouettait avec un martinet mais au lieu de frapper comme il le fait d'habitude, il y va très fort, j'ai mal, je hurle, il me demande le silence, il m'insulte, me dit que ça l'a rendu fou de le rendre jaloux mais que ça l'a excité de me voir danser avec mon ami, il me fait soulever pour avoir accès à mon intimité, je le sens doigter ma chatte et glisser vers mon autre trou, il me doigte en douceur, la sensation est quelque peu désagréable au début mais finalement très agréable.

Tony a poussé le vice un peu plus loin en introduisant en moi une chose que je devinerais être un plug anal, j'ai souvent vu cet accessoire dans des photos ou dans des boutiques, je vous le dit honnêtement, mis à part le thermomètre quand j'étais malade, je ne connais rien du sexe anal, il fait bouger le plug, ça m'excite et je n'ai qu'une envie : être prise ici et maintenant.

Il a répondu à mes désirs, il m'a vite pénétré mais il m'interdit l'orgasme,, il me baise sans états d'âme mais j'adore ça, je prends mon pied mais je m'interdis l'orgasme, je contrôle mon envie, je pense à autre chose, je pense aux réactions de Chams qui essaie par tous les moyens de me mettre dans son lit mais maintenant, je suis devenue la maîtresse de mon amant chinois.

Nous formons une parfaite vie de couple, je me surprends même à rêver que cette vie de rêve que nous vivons actuellement est éternelle, je me prends à rêver qu'un jour, il m'emmènera à Hong Kong et il fera de moi sa concubine mais j'ai fini par me tromper car le pire était à venir.

Car un matin, je me suis réveillée seule, chez moi, Tony n'était pas là, je l'appelais, aucune réponse, je me lève, inquiète et en arrivant dans la cuisine, je trouvais une lettre cachetée, je me préparais un thé en lisant cette lettre.

Sonja, ma maîtresse, mon amour,

Pour te dire que je suis parti, je rentre à Hong Kong et c'est avec une douloureuse tristesse ancrée dans mon coeur que je t'annonce que je te quitte.

Crois moi que ça n'a pas été facile de prendre cette décision, je l'ai prise pour une simple et bonne raison : Je t'aime, oui Sonja, je t'aime, je suis tombé amoureux de toi malgré tout, malgré notre différence d'âge, nos différences culturels et nos origines sociales mais par dessus tout, je suis tombé amoureux de la jeune fille toute simple qui m'a tout donné : son coeur, son âme, son corps, sa douceur, sa tendresse et sa soumission.

Tu sais que je t'aime et tout en moi te réclamait, je ne peux pas continuer sans toi mais j'ai peur qu'un jour, je me rendrai compte que ce n'est pas de l'amour que tu éprouvais mais c'est un moment de folie que l'on vient de vivre.

Même si nous nous séparons, sache une chose, Sonja chérie, je t'aime et c'est le coeur lourd de tristesse que je rentre à Hong Kong et même si nous n'allons plus nous revoir, je t'aime et je t'appartiens pour toujours, je t'aime pour toujours Sonja et ton doux souvenir m'accompagnera pour toujours, jusqu'à ma mort.

Je t'envoie pleins de baisers, de tendresse et de caresses.

Tony Leung Ka Fai

Je laisse tomber ma tasse de thé qui se fracasse en mille morceaux au sol et je tombe carrément à genoux, pleurant à chaudes larmes, il m'a écrit une jolie lettre de rupture qui contenait une magnifique déclaration d'amour, me revoilà encore seule mais je me sentais moins seule, je venais d'apprendre l'amour, la sensualité et la soumission auprès d'un homme que j'ai aimé et qui a appris qu'il m'aimait mais bien trop tard ?

Une année a passée, je me suis remise de cette douloureuse rupture et j'ai refait ma vie avec un autre homme, rencontré lors d'une garden party chez mes parents, nous nous sommes mariés et nous avons quittés la France pour venir en Asie, nous avons parcourus le Vietnam, le Cambodge, la Thailande et il y a de cela quelques semaines, nous nous sommes établis pour de bon à Hong Kong où mon mari a un poste de diplomate à l'ambassade de France, moi, j'ai ouvert une librairie à Tsimshatsui et je vis une vie paisible avec mon époux qui éprouve plus de tendresse que d'amour à mon égard, je suis ce qu'on peut appeler une épouse décorative car il est très distant avec moi.
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publié il y a 5 ans
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Savo73
Savo73
il y a 5 ans
Très joli récit j?adore
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jo74
jo74
il y a 5 ans
Très belle histoire. Merci Miss Thea
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gent57
gent57
il y a 5 ans
Belle écriture Théa , je te reconnais bien là ! Bisous la belle !
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WiOui
WiOui
il y a 5 ans
Écrit appliqué,long mais on ne demande qu'à lire le prochain paragraphe à chaque jusqu'à en voir le bout...Chapeau bas, L'Artiste...j'aime beaucoup ?
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gent57
gent57
il y a 5 ans
Périple chinois !
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stingeractif
stingeractif
il y a 5 ans
génialissime votre romance;;
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