Forum de la rencontre candauliste

Et Sandrine aussi a voulu voir ! Elle avait pris du plaisir à être ma petite soumise un soir, et logiquement j ai voulu être le sien, et elle a voulu être ma maîtresse ! Nous avions pris la galette des rois chez des voisins, et en rentrant, dans la voiture, je câlinais ses jolies jambes qui étaient gainées d un superbe collant lycra, qui tout en lançant de menus reflets, étaient si doux au touché.

Qui t a permis de me toucher ! Petit cochon ! C est quoi ça ! Lança t elle en rigolant
Hum ! Tu sais que j aime caresser tes jambes ! Ma chérie ! Avais je répondu

elle prit ma main et la frappa de la sienne, m intimant de conduire et affirmant que c est pas parce qu elle avait jouer la soumise que j allais me permettre, et patati, et patala !!!!! Et ) chaque fois que j essayais de poser ma main sur sa cuisse, j avais droit a une nouvelle tape sur mes doigts. Je trouvais cela un peu excitant même si j avais une forte envie de poser enfin la patte sur ma proie !

Ce soir, si tu veux, je te fais aussi une petite initiation coquine ! Lança t elle tout à coup
c est çà dire ? Initiation ? Rétorquais je
je veux bien essayer d être ta maîtresse dominatrice ! Te dresser en somme

je restais interloqué dans la voiture ? Ma chérie, ma Sandrine, qui n aurait pas même écrase une mouche, qui n imaginait même pas qu on pouvais faire des jeux D/S en 2019, voulait me dominer en 2020 ! non, je pensais avoir mal compris, et je lui demandais confirmation ? Interloqué ?

tu as très bien compris, j ai envie de te faire la même chose, après tout ton ami a osé , lui !
Mais tu ne peux pas savoir ce que ça me fait plaisir que tu ais cette envie !
J ai pas dis envie, mais envie d essayer !
Et bien ce soir, sans soucis !

Nous avons fini le brin de route, et je garais l auto dans le garage. La porte se refermait lentement, et comme je surveillais sa fermeture, elle me dis d un ton quelconque

Elle s est toujours fermée seule ! Moi, Je monte me changer

Je ne prêtais même pas attention a son propos, ne pensant même plus a cette phrase lancée dans l auto. Je monte, et me pose devant la télé, tandis qu elle redescend avec une robe chinois qu elle met quelquefois en fin d après midi, si bien que je n en fus pas surpris. Tout en allumant ma cigarette, je lançais la traditionnelle phrase masculine, celle qui tue l envie, celle qui nous tue !

Chérie qu est ce qu on mange ?
Tu verrais bien ! Réponse tout aussi traditionnelle, vous en conviendrez !

Tant et si bien que je continuais mon sport favori du dimanche soir, le zapping !

J entendais ça et la quelques sonneries, preuve de SMS, mais que naïvement j imaginais avec les amis, sages, que nous avions quittés en fin d après midi. J écoutais un dialogue de sourd, Luc Ferry contre Cohn Bendit (mais comment faire un débat avec ces deux la) quand soudain ! Oh soudain

Sandrine se mit devant la télé ! Et mon coeur fit un tour !

Elle avait du posé sa robe chinoise, et elle apparu dans un short que je n avais plus vu depuis des années, en skaï, et d un blouson auquel elle avait accroché son unique parure de dominatrice : une paire de menottes comme dans les séries policières, et a la main un petit martinet qui ornait la boucle de son sac a main, et qu elle faisait tourner en claquant son short de temps a autre

Les jambes essartées, fuselées dans un collant noir, posées dans des escarpins noirs qui galbaient ses mollets, elle portait son casque de moto, qu elle ne mettais plus depuis dix ans, vu qu on en avait plus ! Eh ! Mais je la toisais, vautré dans mon canapé ! Les yeux parcourant son corps et sa tenue dont elle commençait a faire glisser le zip du blouson, dévoilant un décolleté d enfer sur sa jolie petite poitrine !

Le martinet claqua sur le short !

Ici ! Sale tripoteur de pauvres femmes ! Déshabilles toi

le ton était ferme, et elle semblait déterminée, et je devinais a ses lèvres ornées de rouge carmin, qu elle ne plaisantait pas ! Je m approchais ! Elle me saisit le col de chemise !

déshabilles toi ! Je viens de te dire ! Son ton était presque colérique
oui, dis un peu excité avec la belle tenue qu elle arborait

je reçu un coup de martinet sur les seins, car j étais en train de déboutonner la chemise !

ce soir, ce sera oui Maîtresse c est clair !
Oui, maîtresse dis alors, l oeil radieux car je commençais donc a comprendre clairement

A genoux me dit elle quand je fut nu comme un ver et beau comme un dieu, ou plutôt le contraire

Je vais te fouetter pour cette erreur, et tu comptes ! Quel est ton mot code
MARQUISE répondis je spontanément, car c était le sien quelques jours auparavant

et je m agenouillais ! Elle me mit les menottes, et me poussa du pied dans le dos ! Je tombais contre le tapis, et elle remonta mes mains dans le dos, pour dégager mes fesses. Je l entendis rire dans mon dos !
Au moins je peux pas les louper ! Et elle éclata de rire

SCHLACK ! Le petit martinet frappa mes fesses, et j entrepris coquinement de compter

Un ! SCHLACK ! Deux ! SCHLACK ! Trois,,,,, dix
bien petit chien que tu es ! Fait le beau maintenant ! Je me relevais sur mes genoux

elle s assit en face de moi, sur un fauteuil, et croisant ses jambes, me tendis son talon

léchés ! Allez léchés ! Les petits roquets nettoient les chaussures ! C est toi qui le disais !
Oui maîtresse !

Et je m approchais du talon, que je léchais. Oh cette sensation, lécher le talon d une femme, finalement c est sublime ! Divin ! Ma langue lustrait le cuir, et passant sur le pied, elle s égara a lécher le dessus du peton, au travers du collant ! Ce qui fut une erreur ! SCHLAKC

j ai dis de lécher le talon, pas mon pied ! Punition ! Allez penches toi
mais,,, ! Je n eu pas le temps de finir ma phrase !

Son talons se posa sur mon coup, et elle appuya pour que je me plie a nouveau, offrant a nouveau mon fondement à son martinet ! Et le comptage recommença ! Super !
SCHLACK ! Un ! SCHLACK ! Deux !
Tu aimes, sale petit chien que tu es ! Lèche bottes !
SCHLACK ! Dix huit ? Aieee ! SCHLACK ! Aiee !
C est comme ça qu on demande d arrêter ? Comment on demande à sa maîtresse ?
MARQUISE !

Elle se baissa sur ses talons, et me murmura a l oreille, qu elle attendant ce moment ! De m entendre avouer en lâchant ce mot, que j étais son sujet, sa chose ! Son jouet ! Elle se releva, elle me montra un préservatif ! Dans ma tette je me disais qu elle avait envie d être prise, mais ma surprise fut de taille ! Inouïe ! Impensable ! Elle l ouvrit et le déroula sur son majeur et son index !

Reprend ta position ! C est pas fini
non ! Euh ! Tu vas faire quoi
SCHLACK ! C est mon problème ! T inquiète, ça passera ! Comme pour moi

je sentis qu elle faisait couler du gel, et elle glissa lentement ses deux doigts. Instinctivement je me contractais, elle tapotais mes fesses de sa main libre en me disant !

détendu ! Allez laisses toi faire ! Pourquoi c est toujours vos doigts qui nous prennent ?
Doucement ! Murmurais je, plus apeuré que d une réelle douleur
allez ! Comme une petite lope ! Voilà ! Dans son petit cul !

Et je perdis ma « virginité », enfin avec une femme, car le corps médical m avait déjà exploré, mais , franchement, avec moi de tact et de délicatesse ! Car son doigt se posa sur ma boule, et se mit a tourner autour, lentement, sensuellement, et je sentis que mon vit se tendait ! Les doigts massaient
et ma maîtresse saisit dans sa main mon sexe !

voilà ! On va le vider ce petit sac ! Vidées les coucougnettes !
Tu aimes, petite lope ! Allez ! Je veux t entendre dire que c est bon, un doigt par la

sa main fouetta ma fesse, fermement

dis le ! Ajouta t elle lentement, en décomposant les syllabes
oui, maîtresse ! Mais sa main fessa encore plus fort !
Dis moi que c est bon
oui ! Maîtresse ! Oui c est bon !
Qu est ce qui est bon ? Ma lolotte
de sentir votre doigt dans mon cul
voilaaaa ! Oh que ça fait plaisir a entendre !

Elle redoubla son massage, sa phalange tournoyant, allant, venant ! Avec une petite tape sur me lobes de temps a autres ! La sensation était étrangement très très agréable ! L impression que je me vidais sans éjaculer ! Et je ne voyais rien qui s échappais de ma verge, qu elle longeait de sa main délicate.

Je vais te vider comme jamais tu n auras été vidé ! Sa voix était ferme

lâchant de temps a autres des mots crus, elle fouillait mon ventre, un délice dans celui ci ! L addition des mots, des petites claques de ses deux doigts, et sa main qui me branlait, fit qu après un temps que je serais bien incapable d évaluer, tant tout était bon elle retira sa main de mon anus, et je l'entendis retirer le gant. Ses deux mains alors câlinèrent et ma tige, tendue a mort, et mes bourses gonflées rondes !

Voilaaaa ! Oui !!!! ! allez, viens coule mon taureau !

Elle mit une main dessous , récupérant ce que l autre faisait couler. Et je coulais en abondance, quand sa petite main fut pleine, elle se la passa sur les seins, et repris sa traite

Allez, je veux tout ! Dégueules ton foutre ! Ses mots étaient bouillants


une seconde fois, elle récupéra ma semence, que jamais je n imaginais pouvoir être aussi abondante. J avais souvent éjaculer sur sa chatte, ou sur ses seins, mais la, c était bien plus ! Je m écoulais, sans vraiment jouir, mais le plaisir était intense d une maniéré différente ! Certains appellent cela l orgasme ruiné, et bien je veux bien être ruiner comme ça chaque jour !

Elle se releva, et me posa le visage entre ses deux seins, juteux, laiteux, parfumés de sperme chaud, qu elle me fit lécher, avant de m embrasser goulue ment, pour me replonger la bouche sur ses tétons

Ouiiiii ! Ohhhh ! C est bon, cri t elle en se frottant sa chatte ! Yesss yessss ! Ouiiii

elle se souleva les fesses, restant immobile sur ses jambes, puis elle se relâcha. Sa main luisante de sa mouille aussi abondante que mon jus, monta a sa bouche, et elle goutta chaque doigt, avant de m embrasser a nouveau. Nous avons roulé sur le tapis, et nous nous sommes presque endormis !

Vidés ! En somme

Voila, la prochaine fois, nous le vivrons de façon encore plus intense, que ce soit elle ou moi qui domine ou qui se soumet !