La chair est faible et par principe l'homme l'est plus encore.
La présence de cette femme sublime sur mon bureau, offerte, ouverte, prête à tout accepter me met au pilori. Il n'est simplement pas humain de fuir l'irrépressible envie de la faire mienne, de la pénétrer en douceur, de la prendre comme une chienne? Je m'égare, je m'égare. Elle exerce une attirance irrépressible.
Ses baisers langoureux et en constante demande n'arrangent.
Je cède.
Ma ceinture n'oppose qu'une résistance de circonstance, mon jean se retrouve sans tarder sur mes chevilles.
Elle me regarde avec gourmandise, avec douceur. Je ne suis pourtant pas à mon avantage. Mon boxer dévoile les stigmates de mon excitation. Je ne peux guère me vanter d'avoir aussi abondamment mouillé quelle mais perler, affirmatif ! A tel point, que je suis passé à travers 2 épaisseurs de tissus.
Concentré à 200 %, je ne suis qu'en demi tension. Me le reprochera-t-elle, elle si sensible à la virilité brutale ? Ne sera-t-elle pas rancunière d'un tel affront à l'ère moderne des BM, TBM, TTBM et j'en passe ?
Son oeil frise, son sourire espiègle n'est nullement emprunt de reproche. Son langage non verbal ne dit qu'une seule chose : "Baise moi ! Là !maintenant !"
Je m'assieds face à elle et me caresse, cuisses ouvertes, en effet miroir.
Je photographie et mémorise chaque parcelle de son corps tout en coulissant entre mes doigts. L'homme est définitivement peu de chose face à une femme dans la force de la sensualité, de sa féminité? L'excitation est à son comble, omniprésente.
" Tu sais que je ne te céderai pas? Que tu ne sentiras pas ma queue en toi ce soir? J'en crève d'envie et tu t'en délectes. Tu en souffres également mais un deal est un deal et je ne franchirai pas la ligne jaune."
L'oeuf vibre toujours en elle. Elle semble l'avoir oublié et ne pas avoir entendu ce que je viens de lui rappeler. Son regard est concentré entre mes cuisses et rien d'autres ne saurait la perturber.
Elle quitte le bureau et s'agenouille au pied de ma chaise. Elle pétille de lubricité. Son envie de sexe occupe tout l'espace dans la pièce. Elle transpire le rut par tous les pores.
Lorsqu'elle me touche la cuisse, s'empare de mon sexe, c'est un paradoxe total. Elle choisit la voie de la délicatesse et de la douceur absolue. Cette femme est un phénomène. Son aura est clairement à l'envie bestiale, ses actions à la sensualité.
Cette schizophrénie emporte le cérébral qui prédomine en moi. Je lui livre la part la plus intime et lâche prise, ce qui est une rareté, voire une étrangeté pour moi.
Les instants qui suivent sont à prendre au conditionnel. Les ai-je vécu ? Était-ce un fantasme hallucinatoire ? Je ne saurai dire qu'une chose : le plaisir était extrême, violent, ahurissant.
Elle me prend délicatement la queue, la porte à ses lèvres pour la baiser avec d'infinies précautions, me décalotte doucement et recueil le filet qui inonde mon gland.
Elle glisse sa langue, si douce comme dans ma bouche, sous mes bourses et les lape avec avidité passionnée. Nul doute, elle possède l'art consumé de la fellation, non pas par pur technique, mais tout simplement parce qu'il s'agit pour cela lui procure une euphorie sensitive incomparable. Elle aime sucer et cela change tout.
Je l'observe m'avaler. Lui tient les cheveux afin de mieux m'imprégner de cette vision angélique. Mon chibre grossit lentement mais sûrement avec le rythme plus soutenu des coulisses qu'elle entreprend. Le son de succion est une mélodie qui m'excite, d'autant qu'elle varie à merveilleuse sa chorégraphie buccale : lenteurs, accélération, profondeur, aspiration, succion extrême, gorge profonde? La liste est intarissable.
Elle me fait bander suffisamment pour que je lui saisisse les cheveux et lui tire la tête en arrière.
" Tu es fière que ce que tu as obtenues n'est-ce pas ?" Elle me rit au nez pour seule réponse et tente de reprendre possession de ma tige.
Je la maintiens plus fermement par les cheveux et lui repose la même question en la giflant ma queue raide. Peine perdue, la punition lui arrache des gémissements.
Elle est en mode chienne. Elle veut ma bite et le vibro ne semble plus suffisant.
Je la repousse sans ménagement vers le bureau, lui roule une pelle à lui dévisser la tête. Je me branle à fleur de sa vulve, caressant son clito avec mon gland violacé et turgescent. Je lui tapote la queue dure et raide sur la chatte qui crache des torrents de mouille.
Elle m'excite cette sale petite pute mais elle ne m'aura pas. Je dois fuir son pouvoir d'attraction et de séduction. J'accélère en conséquence l'astiquation, transpire à grosses gouttes qui viennent mourir sur ses seins lourds alors qu'ils ballotent au gré de mon agitation manuelle.
J'ai dépassé mes limites physiques et psychiques, je rends les armes et éjacule abondamment, alors que je suis bouche à bouche avec ma muse, sur sa culotte blanche. La semence est abondante, liquoreuse à souhait. Les sous vêtements d'L n'en portent plus que le nom. Le tissu n'est plus en capacité de faire éponge?
Elle partage mon extase.
" Tu es divinement vicieux et pervers dans un écrin de sensualité" me lance-t-elle. Touché coulé ! Elle vient de faire de moi son pantin et j'en souris niaisement. Elle m'a conquis intégralement. J'ai mis genoux à terre pour accepter d'être son obligé.
Elle s'habille avec l'élégance inégalable d'une femme après l'amour, se love contre moi une dernière fois pour un tendre câlin et goûter aux baisers qui lui plaisent tant.
Je la quitte avec un pincement mais sans oublier ma place et méconnaître que sa soirée ne fait que commencer.
Je ne vous en dirai que 2 mots puisque le reste ne m'appartient pas :
"L" m'a confirmé avoir scrupuleusement observé ma directive en remettant la télécommande de l'oeuf vibrant à son amoureux. Coquine, elle lui a également confié sa culotte éponge afin qu'il soit totalement au courant de l'effet boeuf de cette première soirée en son absence.
J'ai reçu quelques minutes plus tard 2 photos avec la légende "cadeau grâce à toi"? J'ai touché le Graal, la substantifique moelle du candaulisme. Peut-être vous offriront-ils le privilège de vous délivrer leur ressenti. Mais c'est une autre histoire?
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