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Avec le temps... (Récits et Projections)

Je précise qu'avant la mise en ligne de ce texte je l'ai fait lire aux deux acteurs qui m'ont donné leurs accords pour cette publication.

5 jours que je bande aléatoirement de façon incontrôlée de jour comme de nuit…
Avec le recul de cette soirée, de cette semaine, de ces derniers mois, j'ai l'impression d'être dans un film au nom que l'on pourrait emprunter “ Les premiers jours du reste de nos vies…”

Flashback…

Cela commence début juillet, tu es en télétravail sur cette journée d'été et je suis au bureau. Beaucoup de réunions ont lieu durant cette journée, pour ma part, il fait chaud. Je te sais à la maison en télétravail et nous échangeons quelques banalités par SMS dans la matinée. En début d'après-midi je suis en réunion, il est 13h00, et je sens mon téléphone en mode vibreur dans ma poche de pantalon s'agiter plus que d'habitude. Il vibre sans discontinuer depuis quelques minutes. Tout en continuant à être attentif aux explications qui me sont transmises, je sors mon téléphone discrètement pour vérifier qu'il n'y a pas d'urgence. Aussitôt je le passe en mode “ Ne pas déranger “ et j'aperçois furtivement sur l'écran encore verrouillé “ Ne perd pas ton excitation je reste avec toi, mais j'ai peur que cela sonne chez Dams, viens en visio ! “
Ma concentration en prend un coup, je comprends tout de suite qu'elle est en train de se chauffer avec P. sur notre groupe de messagerie commune à tous les trois. Eh oui cela fait 3 ans déjà que nous n'avons pas vu P., ni personne d'autre de coquin d'ailleurs, le quotidien et notre vie privée nous ayant rattrapé et laissé peu d'occasion de rencontre malgré notre envie commune. Je fini d'écouter la présentation qui m'est faite, tout en ayant une partie de mon attention qui s'est échappée à la lecture de cette phrase. Que fait-elle ? Que se passe-t-il ? … J'ai du mal à me concentrer et malgré tout je sens une pointe d'excitation en moi. J'attends patiemment la fin de ma réunion et je m'empresse de me rendre aux toilettes. Une envie pressente réelle que je m'appliquerais à faire assis de façon à pouvoir rapidement lire mon téléphone. Je suis attendu pour une autre présentation, je n'ai pas le temps de tout lire dans le détail, pire je n'ai pas le temps d'écouter les vocaux présents dans le fil de discussion. La discussion qui n'est plus active à présent dure depuis presque une heure, pas le temps de lire tout dans le détail, les échanges sont trop longs, je remonte rapidement au début de la discussion, quelques banalités, j'aperçois un “ que deviens tu ? “ je ne sais même pas si c'est elle ou lui qui écrit. Puis je descends le fil de la discussion rapidement avec mon pouce et là je sens mon entrejambe se contracter en apercevant ma douce parler de son clito gonflé, de sa chatte très humide. Et P. de renchérir sur le fait qu'il bande dur et qu'il aimerait profiter de son antre humide… Ces quelques mots entrecoupés de messages vocaux que je n'ai ni le temps ni l'intimité pour pouvoir les écouter me frustre d'autant plus, j'arrive en bas du fil de discussion ou ma belle lui dit “ … viens en visio ! “ comme si nous avions perdu le signal, je ne suis plus connecté à elle, à eux… je suis partagé entre une excitation terriblement gênante avant de sortir des toilettes et une espèce de jalousie saine et délicieuse, qui me frustre au plus au point. J'ai envie de l'appeler. Non je pourrais la couper dans son jeu et nous serions trois frustrés. Je sors des toilettes après m'être replongé rapidement dans ma présentation pour débander au maximum. Physiquement c'est presque OK. Côté cérébrale par contre, c'est la catastrophe. Je n'y suis plus.
16h31 mon après midi de réunion et visio se termine, j'ai réussi tant bien que mal à me concentrer sur mon métier, une dernière réunion collective jusqu'à 18h00 et je pourrais prendre le temps de lire ces échanges qui me taraudent, qui me transpercent. C'est pourtant pile le moment qu'elle choisit pour m'envoyer un SMS. “ Tu t'amuses bien ? Dommage que tu n'étais pas avec nous ce midi c'était vraiment intéressant “
Je lui réponds instantanément que m'amuser n'est pas le bon terme pour moi, journée marathon mais qu'il me tarde de rentrer pour comprendre ce qui s'est joué.
18h00 La journée se termine enfin, 30 minutes de route, mais je sais que ma belle a récupéré notre fille et que nous ne pourrons pas aborder cette journée facilement en arrivant à la maison. Avant de prendre la route je prends donc le temps sur le parking de ma boite de lire l'intégralité des échanges et d'écouter enfin les vocaux. Inutile de dire qu'il me faut peu de temps pour bander fort à la lecture de leurs échanges. Je regarde de temps en temps autour de moi pour vérifier que personne ne s'approche de la voiture, cela pourrait être très gênant. Les vocaux quand à eux sont crus, murmurés à voix basse, entrecoupés de soupirs d'excitation, ils se parlent par messages vocaux, elle lui dit qu'elle adore l'entendre parler, lui, lui parle de notre dernière rencontre et de l'excitation qu'elle lui procure…
Je comprends alors qu'elle a préféré faire une visio avec son amant P. parce qu'elle avait peur que mon téléphone sonne pendant ma journée de travail. Je lui envoie alors un SMS pour lui dire qu'il est dommage qu'ils aient changé de canal, que je n'aurais pas la fin de l'échange avec la visio. Elle me demande si je suis fâché. Non, tu me raconteras tout à l'heure. Les 30 minutes qui me séparent de mon domicile sont à la fois interminables et délicieuses à m'imaginer qu'ils ont peut-être fait une visio, mais peut-être aussi qu'il est venu à la maison ?
Arrivé à la maison, nous préparons le repas ensemble, notre fille joue dans sa chambre et nous avons l'occasion d'échanger discrètement sur cet après-midi. Elle m'avoue alors qu'ils n'ont fait qu'une visio et qu'ils se sont amenés mutuellement à jouir. Je passe une main sous sa robe, décale délicatement son string moite et passe mon doigt entre son cul et sa chatte, inutile de vous dire l'état dans lequel elle se trouve. C'est délicieux. Je bande de nouveau. La soirée se passe et nous faisons l'amour en nous couchant pendant que je relis l'échange. Je lui pose des questions et elle me raconte en me donnant des détails. Nous prenons notre pied tous les deux ensembles et planifions déjà la prochaine rencontre avec P., j'en profite aussi pour envoyer un message à P. pour le remercier de l'après-midi qu'il a passé avec ma douce et l'état dans lequel je l'ai récupéré le soir.
L'été, c'est la période des camps pour les enfants, la petite part dans 10 jours au bord de mer pour une semaine, elle va apprendre le surf. Voici une belle opportunité, qu'elle propose à P. rapidement, tout en ménageant aussi les deux autres discussions qu'elle a avec deux autres hommes que nous rencontrerons certainement prochainement. Au cas où P. ne serait pas disponible peut-être aurions nous l'occasion de les rencontrer.
L'invitation est lancée officiellement le lundi matin. Même s' il connaissait nos disponibilités. Il n'a pas l'occasion de répondre avant le mardi midi. Rendez-vous pris, pour ce soir, non pas 19h30 comme je le préconise, mais ils s'entendent tous les deux pour 21h00. Je finis à 18h00, je passe acheter quelques petites choses à grignoter et à boire. Les sushis avec quelques bulles feront parfaitement l'affaire. Après quelques préparatifs, et cette petite boule au ventre que l'on aime tant lors d'une rencontre et qui pour rien au monde ne doit disparaitre, ce petit stress sain et malaisant parfois qui nous fait prendre conscience que nous sommes vivants pour vivre aussi ce genre de moment. 20h30 nous sommes prêts, je ne sais pas comment c'est possible, la ponctualité n'est pas son fort, elle est magnifique. Comme je me le dis tous les jours, mais dans ce type de soirée, encore plus. Elle s'est apprêtée pour un autre, elle est radieuse, souriante, taquine et coquine. Que je l'aime ! Nous passons une petite demi heure, sur notre terrasse, à discuter de chose et d'autres, en dégustant un verre de blanc avec nos sushis. 20h58, elle me coupe dans ma discussion, “ il y'a des bruits de pas dans l'allée de la maison" me dit-elle, sous entendant que P. arrive. Je lui rétorque que je ne sais pas comment elle peut entendre les bruits de pas de l'autre côté de la maison… Ding Dong… eh bien si elle a entendu les pas dans l'allée. Elle qui ne m'entend pas parler à un mètre d'elle souvent, je lui découvre une ouïe si fine, qu'elle ne pourra dorénavant plus se cacher derrière des “ je n'ai pas du entendre ce que tu m'as dit “.
Je vais ouvrir la porte. P. se tient là devant moi, souriant, nous nous saluons rapidement et l'invite à nous rejoindre à notre table. Il a les cheveux longs maintenant, comme elle me l'avait dit après la visio. Il s'installe d'abord en face de la miss, je lui propose un verre, qu'il accepte, je repars dans la cuisine, pour lui préparer celui-ci, avec un oeil sur la terrasse qui donne immédiatement sur la cuisine salon. Instantanément je le vois changé de place comprenant qu'il avait pris la mienne, et que nous lui avions laissé une chaise en bout de table, entre nous. Je ramène le verre et me remet à ma place, s'ensuit un échange cordial nécessaire pour prendre des nouvelles de chacun, une petite demi-heure, qui se transforme en échange plus précis sur ses rencontres libertines… Il s'approche alors plus prêt d'elle, leurs chaises sont maintenant collées et leurs mains se croisent, des caresses commencent à remonter de la part de P. sur la nuque de ma belle. Elle alterne ses yeux ouverts a me regarder en se mordant les lèvres, et ses yeux fermés à baisser la tête pour profiter plus encore des caresses qu'il lui prodigue dans la nuque. C'est le moment où je demande a P. si je peux lui taxer une cigarette. J'ai pourtant arrêté il y'a quelques années, mais il y'a des moments, ou j'aime profiter du spectacle qui m'est offert en profitant de ce poison. Rapidement, les mains de P. descendent sous la robe de Nomi, des caresses d'abord sur le bas des cuisses, qui remontent lentement jusqu'à son entrejambe. Elle ferme un peu plus les yeux, se laissant aller au délice qui lui est offert par son complice. Moi je ne bouge pas. Je profite. Nous sommes toujours sur la terrasse, encore pour un moment d'ailleurs, je commence à avoir un peu froid, et suis étonné que la miss, plutôt frileuse, se laisse aller comme cela. Rapidement leurs langues s'enlacent à leur tour, les caresses se font plus précises, il passe un doigt à l'intérieur de sa culotte et vient le porter à sa bouche pour la goûter une première fois. Leurs souffles se font plus courts, et il décide alors de se mettre à genoux devant elle, de mon point de vue, je ne vois plus que le haut de sa chevelure (cf photos), et elle se met alaise en écartant les jambes qu'elle pose sur la chaise laissé libre par son complice. Le plaisir que je décèle en elle, me fait prendre mon téléphone et faire quelques clichés de ce plaisir qu'elle s'autorise. Je devine les doigts de P. s'immiscer en elle, et sa langue la fouiller puis remonter sur son petit bouton déjà bien gonflé. Je les entends aisément soupirer et se languir de plaisir. Je me dis alors que nos voisins proches pourraient eux aussi profiter de ce spectacle sonore sans trop d'effort. Bref, le moment fait que je ne suis pas forcément très alaise mais que le plaisir qu'ils s'autorisent est plus fort que tout. Ils font durer ce plaisir un petit moment, avant que P. essoufflé par ce petit échauffement ne se redresse et enlève son T-shirt. Je vois alors que la main de ma belle, le branle au travers de son caleçon, sans doute depuis un moment, au regard de la tension visible du tissu. Elle profite alors de la bouche de son complice, brillante de sa mouille, l'embrasse langoureusement, avant de s'attarder sur son torse pour plonger rapidement sur ce membre qu'elle sort du textile, lui aussi bien dressé. Je me rappelle alors qu'elle me dit fréquemment qu'elle apprécie particulièrement les hommes bien lottie par dame nature, mais pas trop, longue, fine et légèrement courbée. Je me dis alors que cette queue que j'estime un peu plus grosse que celle de son homme, correspond parfaitement à ce qu'elle me décrit. S'en suit alors une pipe langoureuse, ou elle s'attarde à alterner ses jeux de regard entre lui et moi, elle s'engouffre son gland, joue avec sa langue autour de celui-ci. Lui à plusieurs reprises laisse aller sa tête en arrière en soupirant de plaisir. Plusieurs fois il lui mettra les mains sur la tête accompagnant sans forcer, ou si peu, les gorges profondes qu'elle lui prodigue. Toujours sur la terrasse, je suis le seul encore habillé, avec une bosse sur mon pantalon. Comme j'avais pu le lire précédemment dans leurs échanges, elle s'exécute goulument sur ce membre dur, elle adore le sucer, elle adore sucer en générale, mais le spectateur que je suis se délecte de ce qui lui est offert et répond à P. positivement quand il lui dit “ putain qu'est ce qu'elle suce bien ! “ Elle fait elle aussi durer le plaisir un moment… avant de rejoindre sa bouche avec la sienne en le masturbant de la main. Elle l'embrasse, puis me regarde, ils échangent quelques mots. Je soupçonne qu'ils parlent de moi, mais je n'entends pas ce qu'ils se disent. Ils s'embrassent de nouveau. La nuit tombe maintenant, j'ai les mains froides, la queue ardente, et leurs corps devant moi en fusion. C'est alors que je rentre pour me rendre aux toilettes rapidement. J'en profite avant pour resservir nos verres. A mon retour nos deux futurs amants sont entrés eux aussi. Je n'aperçois en rentrant dans notre pièce de vie, que Nomi, qui à les mains posées sur notre table de salon, sur la pointe des pieds, les yeux fermés, se mordant les lèvres. Je me saisit alors de mon verre au passage, m'approche d'elle et découvre P. à genoux derrière elle, le visage enfouit dans son cul. Il la lèche et elle y prend un plaisir fou. Ils sont rentrés, nous sommes au chaud, je ferme les stores, et prends ma place de spectateur juste derrière eux. Je me délecte à nouveau du spectacle. Il se passe alors quelques minutes avant qu'elle ne me demande d'aller chercher notre valise de jeux. Je m'exécute alors en marchant avec ma queue raide à l'intérieur de mon caleçon. A mon retour, ils ont pris place sur le canapé. Rapidement il enfile un préservatif avec son aide, et elle vient se positionner sur son sexe raide. Elle soupire de plaisir, me regarde de temps en temps et lui commence ses allées et venues en elle. Alternant mouvements lancinants et rapides, je vois sa queue luisante de la mouille de ma belle, l'enfiler, il entre profondément en elle, pour ressortir presque entièrement, à plusieurs reprises il se reprend pour reprendre sa place au chaud. Il reste ainsi un petit moment avant qu'elle ne se retire et lui annonce ce qui passera comme un coup de fouet pour moi. “ Tu veux mon cul ? “ Ce qui m'avait toujours été réservé était offert aujourd'hui à P. Sur le coup, alors que nous n'avions pas abordé cette possibilité, j'ai été très géné. Jalou ? Envieux ? Peureux ? … Le sentiment que quelque chose m'échappe me transperce alors. Mon cerveau bouillonne mais ma queue me rappelle à l'ordre, rapidement je la voie prendre du plaisir et mon esprit s'apaise. Elle n'est pas aussi alaise dans cette situation, et c'est une première, cette scène qui ne dure pas longtemps, m'a parue une éternité et des questions qui m'ont envahies. Une petite pause, rapide, l'a fait se tourner vers moi, je prends alors ce regard comme un appel, plutôt réconfortant pour moi, je me lève alors de ma chaise toujours habillé, la bosse sur mon pantalon trahissant ma sagesse, et m'approche d'elle, d'eux. Elle passe alors sa main sur mon pantalon, me demande si cela me plait. Je réponds par la positive et lui propose d'aller installer le nouveau jouet qu'elle m'a offert la semaine précédente si elle le souhaite ? Elle me dit alors que si j'y arrive elle aimerait beaucoup. Je repars alors dans la salle de bain, les laissant alors seuls. Partagé entre excitation et frustration de ne pas être présent, je m'en satisfait. Je dois dans tous les cas calmer toutes les idées lubriques qui me traversent l'esprit pour installer cette cage de chasteté. Comment faire ? Je bande comme un fou, les idées de les savoir seuls dans le salon me rendent dingues, mais j'ai une mission, je ne souhaite pas la décevoir. Il faut que je revienne dans le salon équipé de ma cage. J'essaie de penser à autre chose, mais rien y fait. Le temps me paraît alors une éternité. Me vient alors l'idée de me passer sous la douche. Pour me faire jouir ? Non. Une douche glacée devrait pouvoir éteindre l'incendie qui me traverse. Instantanément, ma queue et mon esprit se sont rétractés, délicieusement. J'installais alors ce petit jouet rapidement mais dans la difficulté. Je retrouvais alors les deux amants dans le canapé. Je n'osais pas dans un premier temps me montrer ainsi, pudique, j'avais remis un short par-dessus ma cage. Elle me demanda alors, c'est bon ? Tu as réussi ? Oui c'est bon lui répondis-je alors, je les ai vu alors sourire tous les deux. Je les regardais alors reprendre leur étreinte, plus prêt cette fois, je voyais la queue de son étalon l'enfiler profondément pendant qu'elle ruisselait et hurlait son plaisir. Mais aucun d'eux ne prenait son pied jusqu'à maintenant. La complicité aidant, j'enlevais alors mon short et me montrais aux amants avec ma cage. Ma belle passa alors sa main sur celle-ci pendant qu'elle branlait son amant. Elle soupesait la cage en souriant, me demandant alors si cela ne faisait pas trop mal ? Aucune douleur, n'était plus délicieuse que celle-ci. Un sentiment étrange d'érection contrôlée, de plaisir maîtrisé, aucune frustration pourtant à ce moment-là.
Lui installé sur le canapé, assis mais légèrement allongé sur le côté, les jambes écartées, la queue longue et dure. Elle, allongée sur le canapé, se prélasse entre ses bras. Ils s'embrassent langoureusement et je vois cette queue raide, qui a de petits sursauts d'excitation quand elle le caresse. Je ne me sens pas bi, je ne suis pas attiré par les hommes, mais cette scène me fait penser à une discussion que nous avions eu sur l'oreiller avec mon amour où je lui racontais comment je pourrais prendre la queue de son amant pour l'enfiler en elle. La situation m'excitait au plus au point. Je m'approchais et commençais alors à caresser ma douce pendant qu'elle était avec son amant. Son dos d'abord, ses bras, ses fesses, le haut de ses cuisses. Dans un mouvement de caresses elle ouvrait alors un peu plus les cuisses laissant alors apparaître à mes yeux, sa chatte ouverte et trempée des étreintes passées précédemment. Je sentais de mon côté ma queue contrainte au travers de la cage. En ouvrant les cuisses, elle a alors laissé apparaître la queue légèrement moins dure de son amant juste à côté de son antre. Instinctivement, je ne pu alors m'empêcher de demander la permission de toucher cette queue. Je sais que ma belle n'est pas forcément très alaise avec la bisexualité masculine, et je me demande toujours si ce désir de donner du plaisir à ma douce avec mes gestes et la queue de son amant est bi ou non ? Permission accordée par les amants qui s'embrassent, je prends alors ce chibre entre mes doigts et commence à le branler doucement. Sentiment étrange qui m'envahit alors, partagé entre l'excitation précédente, la vue on ne peut plus excitante, les soupirs des amants et le fait de toucher un autre homme qui me rendait mal alaise. J'en avais pourtant déjà parlé, mais de là à le faire. Le mouvement de bassin de ma belle, qui approchait sa chatte ouverte de ce gland, tout en caressant le corps de son amant, puis le fait que je sentais la queue de ce dernier durcir sous mes doigts, me firent alors sur le moment, passé outre toutes les questions de tabou qui peuvent nous envahir, et je m'autorise alors à me dire qu'il fallait prendre et donner le plaisir sur le moment. J'avais alors ma queue qui hurlait dans sa cage, de plaisir et de frustration maintenant. J'avais une envie folle de prendre ce membre que je tenais maintenant fermement et de le plonger dans l'intimité de ma belle. Je jouais avec sa queue juste à l'entrée de cette chatte ruisselant de plaisir. La frottant alors de ses fesses, en passant sur son cul ouvert, puis finir ce parcours en passant d'abord sur cette grotte ouverte puis les lèvres brillante et ce petit bouton tendu. Un seul frein dans ce moment de plaisir partagé. Il n'était pas protégé et je ne pouvais rien faire de plus. Pourtant ce petit jeu dura, et je remarquais alors que le passage de ce gland maintenant bien dur, sur son clito lui faisait avoir un feulement de plaisir très puissant. Je commençais donc à m'attarder sur cette zone, branlant ce membre dur sur son clito. Les deux amants suivaient mes mouvements avec leurs bassins, comme s' ils ne faisaient qu'un. Je ne pu alors m'empêcher tout en tenant la queue de son amant, me pencher sur son clito bandé pour y poser ma langue. Je me mis alors à aspirer son petit bout de chair, et ne pu m'abstenir d'amener sa queue contre son clito elle aussi. Immédiatement, et instinctivement ils commencèrent à bouger plus rapidement, ma langue étant scellée entre les deux membres de chair, d'un côté je tentais d'aspirer et lécher ses lèvres et son clito et de l'autre côté de ma langue la queue de son amant qui allait et venait le long des lèvres ouvertes. L'accélération de leurs mouvements, la position et mes mouvements de langues emmenèrent ma belle vers le plaisir ultime. Je la sentais jouir pendant qu'elle l'embrassait toujours. J'avoue alors que sur le moment, j'ai cru que lui aussi allait prendre son pied et je ne savais pas comment j'allais vivre cette situation ou la proximité de son membre dur aurait pu me faire vivre une autre première sans doute délicate. Mais l'excitation et l'orgasme de ma belle était plus importante que tout sur ce moment et je continuais. Il n'en fit rien et ma belle profita de ce plaisir pleinement.
Après une courte pause de plénitude pour ma belle, elle vint vers moi et m'embrassa langoureusement. Sa bouche n'avait naturellement pas sa saveur habituelle, mais cela finissait de me faire durcir alors que ma cage tombait d'elle-même, sans doute encore mal installée en ces débuts d'utilisation. Elle s'installa alors à genoux par terre, face à son amant encore installé dans le canapé, et elle le reprit en bouche. Je ne voyais plus puisqu'elle me demanda alors de venir me positionner derrière elle. Je contemplais son dos si exquis, son cul bombé et passait ma main sur sa chatte encore ruisselante. J'entendais sa bouche s'appliquer sur le membre que j'imaginais encore bien dur. Les bruits de succion, le mouvement de tête allant d'avant en arrière, et le regard de celui qui se faisait pomper me rendait toujours plus dur. Ils ronronnent alors tous les deux de plaisir. Je venais alors de passer à mon tour une capote qui était à portée de main et installait mon membre dur entre ses fesses. Il n'en fallait pas plus pour qu'elle vienne à ma rencontre avec son bassin. D'une main elle passa derrière son cul et l'ouvrit à mon regard. Un appel auquel je ne pouvais résister et positionnais mon gland dur devant son petit trou ouvert. Je tournais lentement en spirale pour l'enfiler. Elle gémissait de plus belle, mais je sentais que mon excitation me rendait maladroit et qu'elle n'était pas à l'aise. Peu de temps après, elle me repoussa de la main, j'enlevais alors le morceaux de plastique qui me recouvrait, j'avais envie de la fouiller au naturelle de sentir la chaleur de son antre sur ma queue, de sentir comme son amant l'avait bien préparé à cela. Elle était toujours affairée à le sucer, elle y mettait beaucoup d'application et d'intensité maintenant, et je ne mis pas de temps à me mettre au chaud en elle. Aussitôt ses mouvements et ses râles de plaisir me firent comprendre que j'allais devoir me contrôler pour durer un peu. En effet l'excitation de ces derniers jours, puis le fil de la soirée m'avait rendu à un état d'excitation maximale. Malheureusement ses demandes d'accélérer en elle, avec la bouche pleine de la queue de son amant, ses mouvements de bassin venant à la rencontre de ma queue raide, et ses feulements de plaisirs ne mirent pas de temps à me faire jouir moi aussi. Je me répendais en longueur et en râlant mon plaisir avec force en elle, avec l'impression de n'avoir jamais pris mon pied de la sorte. Je ralantissais alors mes mouvements d'après orgasmes, avec le sentiment étrange d'avoir pris ma place de cocu incapable de donner du plasir à sa belle. Elle, elle le suçait toujours avec force et délectation. Jamais je n'aurais fait cela en temps normal, pourtant l'excitation était toujours présente, et une envie soudaine me traversa l'esprit. Pendant qu'elle se positionne auprès de lui sur le canapé pour le sucer dans une autre position, je passais derrière elle et commença à la fouiller avec mes doigts. Elle voulait le faire jouir, mais lui nous avouera plus tard qu'à force de se retenir à plusieurs reprises il s'était interdit involontairement de prendre son pied. Au plus grand regret de ma belle. De mon côté je continuais mon étreinte manuelle, je lui enfourne deux, puis trois doigts et en elle et elle recommençait à gémir la bouche pleine de son amant dur. Après quelques secondes de ce jeu délicieux que je ne m'étais jamais autorisé auprès d'elle, je la sentais prendre du plaisir, sans jouir pour autant, avec mes doigts. Depuis cinq jours ces images me hantent de la jouissance de ma belle avec ma langue et la queue de son amant, de mes doigts en elle la fouillant et elle qui s'écoule sur mes doigts, sur ma main, de sa mouille, mêler à mon sperme, la question, à ce moment précis me traversant l'esprit, de savoir si je pouvais la lécher ? mais cela restera à l'état de questionnement.
Puis pour finir cette dernière image, où après s'être couché vers deux heures et demi, le réveil n'eut pas le temps de sonner à six heures cinquante, que nous étions déjà réveiller, tous les deux, dans notre intimité et que nous nous rappelions déjà ce qui s'était passé quelques heures auparavant. Elle m'avoua alors avoir la chatte et le cul bien endolorie par les astreintes de son amant, qu'elle avait passé une merveilleuse soirée, et qu'il lui tardait déjà la prochaine. Qu'elle avait quand même un sentiment de frustration qu'il n'est pas joui, mais qu'elle se rattrapera. Elle passa sa main sur mon caleçon et me sentit alors dur comme la veille. Il fallait que je me lève pour partir bosser. Pourtant, elle nue, poussa les draps du lit, se tourna sur le ventre, et ouvra son cul. Elle tenait alors ses fesses pour m'ouvrir son cul de nouveau, et m'ordonna : viens te branler sur mon cul. Je m'exécute alors jusqu'à jouir de nouveau, encore assez abondamment, mon foutre venant recouvrir son trou ouvert, je la savais meurtris des étreintes de la veille, je positionnais donc juste mon gland dans le tas de sperme à l'entrée de son cul que je frottais une ou deux fois, avant de me redresser. Elle me souhaita une bonne journée j'en fis de même.
Le lendemain, elle m'avoue avoir envie, pourquoi pas, de rencontrer son/ses amants seules, et qu'elle aimerait que je trouve moi aussi des complices de jeux, de temps en temps pour des rencontres seul. Nous pourrions ensuite nous raconter nos aventures mutuelles pour une autre forme d'excitation. Après dix-huit ans de vie commune nous nous découvrons encore, je l'aime plus que jamais, son annonce de rencontre seule m'excite autant qu'elle m'effraie mais je n'ai aucun doute qu'elle saura m'y accompagner.
Depuis 5 jours, ces images, ses mots me hantent, m'excitent, m'effraient… c'est notre vie de couple et je l'aime ainsi, reste à écrire toutes les pages de cette belle histoire que j'espère infinie.

Avis, conseils, critiques... ;-)
Ce n'est qu'un petit récit de vie récent.
Merci à vous qui êtes arrivés au bout de cette lecture.
illustration
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JassDams
JassDams
5806 km, Femme 40 / Homme 43
publié il y a 1 an
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Shelcy44steeve
Shelcy44steeve
il y a 1 an
Beau récit et très excitan
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Jek76
Jek76
il y a 1 an
Très excitant très bien écrit en plus. Photos hummm. J ai déjà ressenti cette excitation si bien decrite
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Popeye18
Popeye18
il y a 1 an
Un très beau récit : vivant, dynamique, excitant !! On se croirait dans l'action immédiate. Je partage l'immense plaisir ressenti par Monsieur 😁
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srefchant
srefchant
il y a 1 an
Merci pour ce délicieux nectar de plaisir, que le sexe nous procure cette adrenaline, l'excitation de voir sa partenaire jouir autrement qu'avec nous
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Thio011
Thio011
il y a 1 an
On s'est regalè à lire cette histoire. Tres excitant. Très bien écrit.
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gbhot68
gbhot68
il y a 1 an
Très beau récit l'ayant vécu ça a fait remonter des souvenirs et le ressenti très bien détaillé
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Satanlabite
Satanlabite
il y a 1 an
Merci pour ce superbe récit
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Bipourbi05
Bipourbi05
il y a 1 an
Très beau récit bien écrit et très belle photo, merci
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Assenav49
Assenav49
il y a 1 an
Très belle plume pour un superbe récit
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Lilpoid
Lilpoid
il y a 11 mois
Un pure delice à lire,
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