Au coin pendant que ma femme se fait baiser.
Monsieur (X) est venu baiser ma femme il y a deux jours. Je lui ai ouvert la porte lorsqu'il a sonné, je l'ai salué avec le respect que je lui dois, et comme d'habitude il ne m'a pas répondu, il m'a juste tendu sa veste sans même me regarder ni même m'adresser un mot. J'ai accroché sa veste dans la penderie et lorsque je suis revenu dans le salon il était déjà installé sur le canapé, très à son aise, le regard plongé dans son smartphone. Sans relever la tête il me dit : "whisky". Je suis parti chercher un verre quand ma femme m'a interpelé depuis la salle de bain où elle finissait de se préparer : "J'ai rien entendu, petite bite !". J'avais manqué de respect en ne répondant pas à l'ordre de Monsieur. Je le savais, je l'avais fait exprès de ne pas répondre, il m'avait énervé. Je suis néanmoins retourné sur mes pas, Monsieur (X) avait relevé la tête et attendait que je me présente devant lui. Je lui ai dit ce qu'il attendait que je dise : "Entendu, Monsieur (X)." Il ne fallait surtout pas que je dise "Oui, Monsieur (X)" ou "Bien, Monsieur (X)", qui auraient pu laisser entendre que je pouvais me permettre d'accepter ou non ses ordres, ou les juger bons ou mauvais. Il fallait simplement que j'informe que j'avais bien entendu. Je suis reparti chercher un verre, encore plus humilié et plus énervé. Je lui ai posé son verre devant lui, sur la table. Bien sûr pas un merci. Au même moment mon épouse est descendue et est entrée dans la pièce. Je n'ai pas le droit de la voir nue ni lorsqu'elle est habillée de manière sexy. J'ai donc regardé le sol en attendant qu'on me dise que je pouvais disposer. J'avais du travail. Monsieur (X) a exprimé sa joie de découvrir la tenue de ma femme : "Wow ! Magnifique ! Je ne connaissais pas cette petite robe, dis-donc !". "Elle te plait ? Je l'ai achetée en pensant à toi. J'imaginais bien que je te ferai bien grossir ta queue en arrivant comme ça." Ils ont ri tous les deux. Elle a du s'asseoir sur ses genoux, j'imagine. Je n'avais pas le droit de regarder mais je les entendais se peloter, excités comme des porcs. Ils se sont arrêtés rapidement en se rendant compte que j'étais là. Je les ai sentis me regarder. Monsieur (X) s'est apprêté à me dire de quitter les lieux mais mon épouse l'a interrompu : "Il m'a maté les fesses quand je me préparais tout à l'heure." C'était faux, elle mentait, mais je ne pouvais rien dire, ça aurait pu aggraver mon cas. Elle avait visiblement envie de jouer, ça l'excitait beaucoup de m'humilier. S'adressant à moi, il dit "Met-toi dans le coin. Et baise ton froc. Ton slip aussi." J'ai du me mettre face au coin, tout près, le nez contre le mur, avec les fesses à l'air. Ça a beaucoup fait rire ma femme. J'ai du rester planté là à les entendre baiser, à écouter leurs bruits de succion, de léchage, de baisers, de pénétrations... "Dis-donc, c'est de voir ton cocu dans le coin qui t'excite comme ça ? Tu es vraiment une bonne petite chienne aujourd'hui ! Je t'ai rarement vue comme ça !" Ils s'amusaient de la situation. Ma femme était effectivement salope comme jamais ce jour-là. J'en avais marre d'être debout, à moitié nu, devant le mur, mais je dois avouer que je ressentais un plaisir étrange, une sorte d'excitation très spéciale et difficile à comprendre puisque l'humiliation était très présente et très gênante. Quand ils avaient enfin fini leurs ébats je les entendais chuchoter en ricanant. Et, à haute voix maintenant : "Bon, la petite bite va venir nous nettoyer maintenant."