Un joli soir d’avril 2022
30
Plus d'un an après les rendez vous avec le premier homme, nous nous sommes inscrits ici. Et les dialogues reprennent avec des hommes inconnus. Chacun d'eux ne désire qu'une seule chose... baiser ma femme. Ma femme est sur le marché et tous ces hommes dévoilent leur virilité et déploient leur séduction pour arriver à leur fin. Tel une légion d'homme en rut, ils sauteraient tous ma femme sans vergogne. Je serais le mari le plus cocu de la région tellement des dizaines et dizaines d'hommes avaient faim de baiser ma femme. Sont ils en manque ? Ou ma femme a t elle beaucoup de succès ? Ou les deux ?
Ma femme habituée à cette agitation masculine prend tout son temps, après des mois d'échanges elle me propose une rencontre réelle à trois.
On se retrouve dans une brasserie, en extérieur il faisait une météo magnifique. Il est face à ma femme et moi, un échange courtois et très fluide. Je ne réalise pas mais cet homme sera le fameux deuxième homme de notre parcours candauliste. Très charmeur et calme, il n'oublie jamais de ne pas me mettre à l'écart, il séduit ma femme avec son regard et quelques frôlements de mains, des mots doux, le repas délicieux... on quitte le restaurant pour marcher à la nuit tombée. On continue la conversation en l'invitant à monter chez nous, chacun de nous est étrangement à l'aise, dans le salon, lumière tamisée je me suis porté volontaire pour préparez du thé à la menthe... je suis parti dans la cuisine les laissant parler comme de vieux amis. Je préparais la théière et les tasses, j'entendais un grand... rien... un grave silence.... je sors de la cuisine pour apporter le thé... et je vois ma femme embrasser l'invité, qui lui même enlaçait ma femme avec sa main glissant sur les courbes de ses hanches.
Je les regardais s'enlacer dans une semi obscurité. La main de l'invité s'était invitée sur la peau des cuisses puis sous le tissu de la robe de ma femme. Je ne savais plus trop où me mettre avec mon thé... je le dépose tout doucement et je ne sais pas pourquoi j'ai diminué davantage la lumière de la pièce, pour peut-être diminuer cette tension sexuelle dans le lieu.
Je reprends mes esprits, mais mon poitrine fait comme un tambour, je sens mon coeur battre. Ils s'embrassent toujours et il lui caresse également ses seins, la robe qui s'ouvrent par des boutons de devant, peu à peu dégage la vue sur la poitrine de ma femme. Une main délivre un sein, la peau de ma femme réfléchissait le peu de lumière. Ma gorge sèche et serrée, les deux seins apparaissaient hors de la robe, le soutien gorge et la robe glissaient vers le bassin de ma femme. Avec dextérité il entreprend de couvrir de baisers sur son cou, ses épaules, ses seins en empoignant discrètement chaque vêtement pour les faire redescendre aux pieds de ma femme... elle était complètement nue. Je sentais ses mains sur elle comme si elles étaient sur ma propre peau. Le corps nu de ma femme était un spectacle érotique interdit.... j'étais paralysé de la scène qui évoluait inexorablement. L'invité perdait peu à peu ses vêtements... assis l'un à côté de l'autre je voyais ma femme collée à lui, d'une main puis de ses deux petites mains elle lui caressait sans aucun pudeur sa verge et ses bourses.
Elle embrassa son torse pour descendre sa tête d'un coup vers les pubis de notre sexualité invité. Je ne voyais pas bien mais il n'y avait plus aucune ambiguïté, je voyais ses cheveux danser de bas en haut, de haut en bas, sa tête faisait un mouvement mécanique, je doutais encore mais non... ma femme lui gobait sa queue avec des va et vient inimitables, on entendait le bruit de bouche. Je me sentais étrangement soulagé, et à la fois tendu, j'avais presque peur de quelque chose, ce moment interdit arrivait, mon bas ventre tremblait d'excitation jusqu'entre mes fesses mais non je ne bandais pas.
D'une main il lui caressait son dos et ses fesses. Ma femme entreprit une longue fellation. Son bénéficiaire lui doigtait avec assurance jusqu'à la faire gémir en ayant sa verge entre ses lèvres. Chaque mouvement de tête représentait un mouvement de marteau qui enfonçait mon état de mari cocu, elle enfonçait ce sexe loin dans sa bouche. L'invité était devenu l'amant à présent. Je tremblais de la suite, ma femme accéléra le rythme et j'étais de plus en plus fébrile. Les bruitages de salive, le canapé qui grince, mon coeur qui bat si fort... puis il se lève et l'allonge comme pour venir la pénétrer.... il gémit et décharge de tout son corps tout son foutre d'une explosion quasi guerrière, ma femme se fit arrosée son ventre, ses seins, son cou, son visage.... elle avait sa peau souillée... le séjour sentait le sexe et le sperme.... une soirée de printemps, une femme you très pétales épanouies, la fleur de la maison arrosée et éclaboussée de cette semence abondante blanchâtre....
Ulysse2022
5977 km, Femme 44 / Homme 48
publié il y a 1 an
inscrivez-vous !