Après notre première expérience, Sarah et moi avons eu du mal à trouver un nouveau partenaire de jeu qui puisse nous satisfaire. Elle a été patiente pendant cette accalmie forcée, mais arrivait de moins en moins à maîtriser cette frustration dévorante, surtout les derniers temps. Je dois admettre que le fait de savoir que ma partenaire a soif de la grosse queue d’un autre homme me met constamment en éveil. Longtemps cela été mon fantasme et maintenant c'est ma réalité. Ce qui me plaît par-dessus tout, c’est qu’elle joue un rôle actif dans la recherche de partenaire.
Sarah aime m’envoyer quelques liens vers des sites web coquins et me montrer les photos des hommes dont elle aimerait profiter de la vigueur. Le « marché » est plus vaste et varié qu’on ne le croie, toutefois ce n’est pas surprenant : des queutards à la recherche d’un plan considéré comme « facile », il y en existe un paquet. Pas facile alors de trouver la perle rare pour ce type de « service ». Selon moi, les « recommandations » de bonnes connaissances et les clubs offrent les meilleures circonstances. Du moins les plus fiables. Notre deuxième expérience, certainement la plus jouissive et la plus réussie à ce jour, s’est justement déroulée dans un club qui organisait une soirée un peu spéciale.
Sarah est une femme très gourmande qui aime les challenges. Un jour elle m’a envoyé un mail alors que j’étais au travail. Mon érection a dû durer une bonne heure. Elle voulait participer à une soirée Glory hole. Trou de la gloire pour ce qui ne maîtrise pas la langue de Shakespeare.
J’avais terriblement chaud en pensant à Sarah, sensuelle et si coquine, la fleur recouverte de rosée du soir, attendant de longues tiges qui la transperceraient au travers d’une cloison percée. Pas de contact visuel avec ses amants, juste de gros morceaux de chair prêts à se jeter sur elle et à lui juter dedans. Et moi, assis à côté d’elle, lui tenant la main qui serrerait fermement la mienne quand les queues se feraient plus rudes.
Savoir qu’il y aura d’autres femmes comme Sarah assoiffées de sperme, et d’autres hommes comme moi en train d’observer ce spectacle admirable, est un sentiment qui se ressent comme une impression vécue.
Je me l’imagine encore et encore. D'un côté du mur, je suis assis sur une chaise près d’elle. Je touche son beau visage, embrasse ses précieuses lèvres et essuie les larmes de plaisir coulant de ses yeux. Pendant ce temps, de l'autre côté du mur, ses jambes écartées attendent une procession sans fin d'hommes bien membrés qui se relaient entre ses cuisses. Chaque homme attend avec impatience son tour pour étirer ce vagin étroit. À la fin de la nuit, qui sait vraiment combien de fleuves différents s’écouleront de son ravin abondant.
Qu'est-ce qui motive son excitation pour d’autres sexes masculins ? Pour certains, elle se soumet à son homme et lui donne le contrôle entier de son plaisir. Pour d'autres, c'est l'occasion de vivre le fantasme de pluralité masculine tout en étant lié émotionnellement à un seul et même homme. D'autres sont attirés par le fantasme de la femme comme jouet sexuel, utilisée par un groupe d'hommes ne pensant qu’à apaiser leur appétit bestial.
Il existe un spectre de forces psychologiques potentielles tourbillonnant autour du trou de la gloire et de ces femmes en couple qui se laissent porter par leurs instincts et leurs désirs les plus profonds.
Indépendamment du « pourquoi du comment », sa nuit est remplie de gémissements, parfois de cris d'extase, alors que des vagues orgasmiques martèlent son corps. Niché dans une petite pièce d'un côté du mur, le couple partage des moments intimes et privés qu’ils n’arriveraient peut-être pas à créer dans leur propre lit conjugal. Ce moment de tranquillité, d’intimité est ce que je vis, ce qu’elle vit, ce que d’autres couples vivent au travers d’une expérience du genre. Ce moment d’intimité est brusquement interrompu. Ses yeux s'ouvrent et brillent alors qu'un parfait inconnu se meut entre ses jambes et ravale les soubassements roses et soyeux de son plaisir. Puis vient le crescendo alors qu'il déverse une épaisse charge crémeuse à l'intérieur des strates les plus intimes de son corps.
Au fur et à mesure que la queue s'éloigne, ses parois intérieures commencent à se contracter, à se resserrer pour ressentir cette sensation de satiété qui ne dure que quelques secondes, bientôt remplacée par un vide vertigineux. Et sa fleur de se refermer un court instant après avoir été si largement épanouie. Elle est à bout de souffle et rougit alors que son homme l’apaise de caresses affectueuses jusqu’à ce que la tempête se déchaine à nouveau. Comme séparés d’eux-mêmes, ils s'embrassent lascivement et éperdument. Le moment de connexion émouvante du couple est bientôt rompu alors qu'un autre homme écarte ses pétales soyeux et plonge profondément dans son jardin. Le motif se reproduit encore et encore tout au long de la nuit…
Nous utilisons les cookies afin de vous offrir une expérience optimale et une communication pertinente sur nos sites.
Nous veillons à obtenir votre consentement quant à l’usage de vos données et nous nous engageons à les respecter.
Pour plus d’infos sur vos données personnelles, consultez notre politique de confidentialité.
0 commentaire
Poster un commentaire