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Témoignages cuckolding : Des cocus et des cocufieurs dévoilent leurs motivations

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Voici un fétiche qui a su traverser les âges : le cuckolding. Une sorte de version mise à jour du triolisme qui met en scène le mari cocu, sa femme insatiable et l'amant qui a des relations sexuelles avec elle sous les yeux ébahis du mari. Certains cocus veulent même être ligotés, commandés, humiliés pendant qu'ils regardent. C’est justement dans ce rapport à l’humiliation que se joue la nuance qui distingue le cuckolding du candaulisme.

Pour notre blog candauliste, ses lecteurs et lectrices, nous avons interviewé des dizaines d'hommes que nous avons joints via des forums de discussion. Voici les témoignages de huit hommes qui révèlent leurs histoires personnelles et expliquent pourquoi ils aiment le cuckolding, tantôt dans la peau du mari cocu, tantôt dans celle de l’amant cocufieur.

cocufie

Yohan, 45 ans, amant ténébreux :  

Moi je suis l’amant ténébreux. J'aime contrôler à la fois une femme soumise et son homme, surtout quand il est restreint. Cela aide les hommes qui se sentent incapables de répondre aux besoins de leur partenaire, mais il ne s’agit pas seulement de leur capacité sexuelle. Il peut également s'agir de leur peur de perdre leur femme, de la taille de leur pénis ou de leur manque de réussite professionnelle. Les cocus n’ont de commun que leur cocufiage. Les motivations de leurs demandes divergent d’un homme à l’autre. Il y a des « séances » où le mari regarde juste, d’autres où il se place dans une position extrême, où je l’humilie avec des demandes diverses. L’important pour moi est de répondre à leurs envies. J’ai l’impression de les aider et je prends du plaisir en même temps. Le bon plan, pour résumer.

Simon, 32 ans, copain cocu :

Cela fait un moment que je pratique le candaulisme. Je le fais avec ma petite amie. Ce que j'aime le plus, c'est le sentiment d'impuissance. Je suppose que c’est la raison pour laquelle je regarde ma copine se faire prendre par un autre homme devant moi. Je suis très dominant quand nous sommes seuls, mais quand un autre homme se joint à nous, je me déleste du poids de ma position dominante. Ça me libère. Je reste en retrait, je n’interagis jamais avec l’amant, je me plais à regarder. En tant que couple, cela nous a rendus plus passionnés, même si nous avons des règles à respecter. Les couples qui commencent devraient ne pas se laisser emporter par l’impulsion du désir fougueux. Les choses peuvent mal tourner si le couple n’est pas certain de son amour.  

Henry, 51 ans, amant bicurieux :

J'aime être invité à faire plaisir à une femme devant son mari. Il y a quelques jours, j'ai rendu visite à un couple et y suis resté plusieurs heures. On a ordonné au mari de nous préparer du café et des tartines de confiture, mais je lui ai également donné des ordres sexuels. Ce mari est bisexuel : après avoir regardé, il finit le travail de sa femme oralement. Il aime particulièrement l'humiliation de voir sa femme apprécier le sexe avec un autre homme. Parfois, quand il a été obéissant, il est même autorisé à avoir des relations sexuelles avec elle.

Guillaume, 37 ans, mari bisexuel :

Le candaulisme est un processus qui a duré des années pour notre couple et je ne savais pas que cela conduirait à cela. Peu de temps avant notre mariage, j'ai découvert ma bisexualité et le plaisir de me travestir. J'ai toujours été très féminin. Après six ans de vie commune, nous avons un jour visité ensemble une librairie pour adultes qui avait des cabines glory hole. Elle m’a dit que c’était l’occasion d’expérimenter ma bisexualité. Elle voulait absolument me voir sucer le pénis d’un homme au hasard. Une expérience inoubliable et libératrice pour notre couple.

Yanick, 28 ans, mari soumis :

L’inversion des rôles m’excite terriblement. Dans la vie professionnelle, je suis dominant, tandis aue dans ma vie sexuelle, je ne cherche que la soumission. J'exécute des tâches pour ma femme et son amant.

David, 27, mari aimant :

Chez moi, l’excitation est liée au plaisir de ma partenaire. Voir le plaisir lui dévorer l’esprit et le corps, qu’il s’agisse de relations sexuelles avec un autre homme ou de relations sexuelles orales avec une femme.

Samuel, 23 ans, cocu jaloux :

C’est amusant de regarder ma partenaire vivre quelque chose de nouveau, qu’elle n’a peut-être jamais essayé. Il y a eu beaucoup de jalousie cependant, surtout quand ma copine a commencé à me faire cocu. Cependant, j'aime participer autant que d'être le voyeur. Il m'est également arrivé d'avoir des relations sexuelles avec l'autre homme.

Elliott, 39 ans, expert cocufieur :

Je suis un expert cocufieur. J’aime humilier les hommes demandeurs. De base, je bannis toujours le mari de la pièce de l’adultère. S'il est bon, je demande parfois à la femme de l'appeler. Les maris cocus semblent en apparence ne pas être récompensés mais ce sont généralement eux qui organisent la séance de jeu. Ils sont plus acteurs et dominateurs que la situation ne le laisse penser.

1 commentaire

femlibpourH
Le 1 juin 2019
ma version bien plus simple ,mais dans les 2 cas ce sont pour nous des jeux: candaulisme : partant du triolisme à la base donc...en présence du mari (participant ou pas,voyeur, en cage ou pas,humilié ou pas...) Cukkolding : ca ressemble à l'adultère mais en complicité avec le mari ...qui n'est pas présent !!!
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