Le blog de de la rencontre candauliste

Quitter l'ambiance routinière du quotidien pour expérimenter des sensations plus intenses ? la soumission sexuelle est de plus en plus plébiscitée dans la mesure où l'on s'y met d'accord. Se soumettre aux désirs de son/partenaire, c'est aussi un grand fantasme, une sorte de jeu érotique à essayer. Et quand il y a un soumis, il y a bien évidemment un dominant, celui ou celle qui va mener le jeu. Comment ça marche ? Quelles sont les règles du jeu ? On vous dit tout !

Soit on domine, soit on nous domine !

La soumission sexuelle est un peu comme une pratique où on laisse l'autre prendre le contrôle de la situation. On s'abandonne à ses désirs, on accomplit ce qu'il impose et on accepte ce qu'il fait. Le fantasme d'être complètement dominé par son partenaire peut être source de jouissance. En tout cas, on lui donne carte blanche sur la manière dont les ébats vont se dérouler et la suite ne dépendra que de son imagination. Pour la personne soumise, il s'agit d'une belle façon de sortir de la routine et de découvrir en même temps de nouvelles sensations. Entre-temps, on découvre son partenaire sous un angle différent, avec des comportements improvisés insoupçonnables. Le dominant, quant à lui, va ressentir une sensation de puissance qui rehaussera davantage ses envies et son excitation. Et quand on parle de soumission sexuelle, le couple peut inverser les rôles, la femme n'est pas forcément la soumise et l'homme le dominant.

Soumission sexuelle et candaulisme : bon ménage ?

À croire les candaulistes passionnés, il y a généralement un lien entre la soumission et le candaulisme. Ce n'est pas seulement dans le fait de voir sa femme aux côtés de son amant, c'est aussi assez excitant de la voir dominée et contrôlée sans se plaindre. Le plaisir réside dans le fait de contempler la personne en train de s'adonner sans qu'on participe aux ébats. La soumission peut parfois s'accompagner d'actes plutôt intenses et violents, comme quand vous voyez votre partenaire se faire taper le derrière par son amant où quand elle accepte de se faire ligoter. On peut partager la jouissance de la personne en ne faisant que regarder. Un fantasme que seuls les candaulistes peuvent ressentir.

Une pratique qui requiert un consentement mutuel

Se soumettre à son partenaire ne doit être qu'une pratique entièrement consentie. Il n'y a aucune contrainte ni contrepartie. On accepte d'être soumis pour le plaisir, pour expérimenter et pour vivre des sensations originales. On s'abandonne et on laisse l'autre prendre le pouvoir comme pour jouer à un simple jeu de rôle. La soumission doit être quelque chose qui crée de l'amusement et du feeling au sein du couple. Le dominé n'a aucunement le droit d'imposer un acte à son partenaire si ce dernier n'en est pas d'accord. Le consentement, c'est la règle essentielle si l'on veut que la pratique ait un sens. Dans le cas contraire, la soumission ne fera que favoriser l'apparition d'une certaine frustration, notamment chez la personne soumise.