Le blog de de la rencontre candauliste

La servitude sexuelle que je vouais à Vincent et Sandra commençait à me peser, bien que je ramasse quelques fois les miettes. Avec impatience j'attendais un contact physique avec un autre être humain que j'ai rarement. J'ai littéralement passé des heures à déguster la crème s'échappant de la chatte ou du cul de Sandra. Mais même alors que je suis à genoux entre ses cuisses, léchant les restes de sperme et l'amenant, avec toute la modestie qu'il convient d'avoir quand on sert quelqu'un, à un autre orgasme, elle était occupée à lui dire à quel point elle se sentait bien dans ses bras - comme si je n'étais pas là.

Un soir tard, alors que Vincent n'était pas à la maison, car il regardait un match de football avec des amis, Sandra est rentrée ivre à la maison après une soirée arrosée entre copines. Elle peut être méchante, à la fois physiquement et verbalement, quand elle a trop bu, ce qui, Dieu merci, n'arrive pas souvent.

Elle a trébuché contre quelque chose tandis j'étais en bas en train de faire la lessive, ce qui m'a fait monter à l'étage. Quand je suis apparu dans la cuisine, son regard m'a jeté du venin au visage. Elle avait la bouche barbouillée de rouge à lèvres, les cheveux en désordre. Alors qu'elle enlevait ses talons hauts, que j'ai ramassés immédiatement, elle m'a giflé violemment au visage. S'ensuivit une série d'insultes à moitié incompréhensible. Puis elle m'a giflé à nouveau. Une larme de colère se forma dans mon ?il et coula sur ma joue.

« Oh, la pauvre raclure va pleurer ? Des excuses, c'est tout ce que tu as ! C'est pourquoi j'aime Vincent et pas toi ! »

J'ai dû me retenir de ne pas riposter. Elle a commencé à se déshabiller alors qu'elle se dirigeait vers la chambre en laissant une traînée de vêtements derrière elle que j'ai, pour quelque raison que soit, l'habitude ou la soumission, consciencieusement recueillis. Une fois dans la chambre, elle s'est laissée tomber sur le lit, nue, allongée sur le dos.

Soumission du cocu volontaire : « J'ai plongé entre ses jambes »

Ses cheveux s'étalaient sur l'oreiller, ses seins géants pendaient, ses cuisses épaisses et tonitruantes accentuaient sa silhouette. Elle était vraiment une Déesse !

« Viens me lécher la chatte ! »

J'ai plongé entre ses jambes. Mon nez pouvait-il me trahir ? J'ai été immédiatement compris qu'elle n'avait pas passé la soirée avec ses copines, mais plutôt avec un autre homme ! Elle avait dû rencontrer un nouvel amant, puis, par la suite, se sentir coupable. Cela expliquait certainement son ivresse. En pensant à ce scénario je léchais ses lèvres gonflées qui sentaient la baise.

« Vincent ! Vincent est l'homme que j'aime. Je vais me marier? » Et elle s'est évanouie !

L'avais-je bien entendue ? Avait-t-elle dit qu'elle allait épouser Vincent ? Mon c?ur s'est serré subitement. Mon estomac semblait se soulever jusque dans ma gorge. J'ai tiré les couvertures sur elle, éteint la lumière, regardé son corps nu endormi et j'ai senti un frémissement dans mes cuisses. Mon sexe était dur comme de la pierre et dégoulinait.

Je voulais juste le toucher. Je savais qu'il ne me faudrait que trois ou quatre coups de poignet pour déverser mon jus. Personne n'en saurait rien. Ma main s'est activée par une force invisible. Après m'être soulagé, j'ai refermé la porte derrière moi, et de revenir à mes corvées.

En finissant d'étendre le linge, une pléthore de sentiments ont poursuivi de me peiner. Je me sentais ignoré, essoufflé, émasculé et humilié par cette relation pesante et pourtant j'ai continué à vivre ce style de vie jusqu'á aujourd'hui. Beaucoup de gens me qualifieraient de fou, car il est presque inhumain de supporter ce que j'endure au travers de la soumission absolue. Mais ce n'est que lorsque vous réalisez votre véritable position dans la vie que vous embrassez votre vrai bonheur.

J'ai choisi d'être totalement transparent avec moi-même sur qui je suis et ce que je suis. J'aurais pu trouver une femme, me complaire dans une relation lambda, d'égal à égal, passer pour quelqu'un de normal. J'ai fait un autre choix, peut-être par défaut, mais au fond de moi je sais que je m'assume.