Alors que nous étions au
lit, prêts à faire l'amour, ma femme (appelons-la Barbara) a voulu que je lui enfonce
un gode au lieu de mon sexe. Dans l'excitation je n'ai pas réfléchi et j'ai
exaucé son v?u. J'ai glissé la bite en
caoutchouc en elle. Je la léchais en même temps, car elle aime beaucoup ça. Par
chance elle était tellement excitée qu'elle m'a fait une fellation dans la
foulée.
Alors que je l'amenais à
l'orgasme, j'ai fait une pause et lui ai dit d'imaginer que ce n'était pas un gode,
mais le sexe d'un autre homme. C'était un fantasme qui m'habitait depuis
quelque temps mais que j'avais gardé pour moi, car je pensais qu'il
disparaitrait. En aucun cas je pensais qu'il se réaliserait.
Au début elle était réticente. Mais au fil des minutes elle s'est prêtée au jeu. Très vite nous étions plongés dans un jeu de rôle candauliste. Alors qu'elle était sur le point d'avoir un orgasme, je lui ai demandé si elle voulait vraiment le faire. Elle était tellement excitée qu'elle a dit oui avant de s'écrouler dans mes bras. Je n'étais pas sûr de sa réponse, car il s'agissait d'un « oui » dans le feu de l'action, d'un « oui » qui pouvait aussi symboliser l'orgasme, d'un « oui » qui pourrait se transformer en « non » une fois l'excitation retombée.
Le lendemain au petit
déjeuner je lui ai demandé si elle pensait vraiment à coucher avec un autre
homme devant moi. Elle était un peu gênée : était-ce une demande sincère
de ma part ? J'ai répondu que j'aimerais essayer au moins une fois. Elle
n'a pas dit non mais ne savait pas trop comment cela pouvait se mettre en
place. Je lui ai dit que j'occuperai de tout, qu'elle n'aurait qu'
à choisir et qu'elle pourrait faire marche arrière à tout moment. Elle a
dit qu'elle était prête à essayer, mais qu'elle voulait que cela se fasse
naturellement, qu'il y ait une période de flirt et qu'elle ne le ferait que si
en avait envie. En gros, elle voulait qu'il ne s'agisse pas d'une rencontre orientée
uniquement sur le sexe, d'autant qu'elle voulait se garder la liberté de
refuser les avances de l'heureux élu.
Cette même journée-là,
j'ai commencé à me renseigner sur le sujet, puis à planifier comment je
pourrais rendre cela possible pour elle. J'ai placé une annonce en ligne et
dans les 24 heures, la boîte de réception était pratiquement pleine. J'ai trié
: trop beau : dans la corbeille. Trop vieux : pas la peine. Indigne de
confiance : passez votre chemin. Pratiques sexuelles trop exubérantes : pas
pour cette fois.
Je cherchais des jeunes
hommes qui devaient d'abord être plaisants, aimables et à l'écoute des besoins
de ma femme. Je ne cherchais pas nécessairement un profil très expérimenté,
mais il devait présenter certains atouts, comme lui d'être bien équipé. J'en ai
trouvé un. Nous avons bu un café rien que tous les deux. De prime abord je l'ai
trouvé très agréable. J'ai aimé son honnêteté. Il a avoué qu'il n'avait que peu
d'expérience et qu'il aimerait faire des câlins avec des femmes un peu plus
âgées.
J'ai été clair avec lui :
leur rencontre, selon le scénario qui plaisait à ma femme, devait davantage
avoir l'air d'une coïncidence, afin de donner un caractère naturel à la
situation. Sur ce, je lui ai dit que nous reprendrions contact avec lui quand
nous serions prêts à passer à l'acte.
Pendant des semaines,
nous avons incorporé le fantasme dans notre vie sexuelle. Barbara était de plus
en plus excitée et sentait que le moment était venu de tenter l'expérience. Mais
elle a également émis des doutes, d'autant qu'elle est plutôt timide. Je lui ai
raconté un scénario possible et elle a tout de suite adhéré.
Il était censé se faire
passer pour un stagiaire qui travaille dans mon entreprise. Comme j'ai aussi un
bureau à domicile, j'ai eu des stagiaires à la maison pour du tutorat de temps
en temps. Il serait l'un deux. Barbara serait par hasard à la maison au moment
de sa visite. Mon téléphone portable sonnerait au moment où elle amènerait le
café. Malheureusement je devrais m'absenter un instant et serai de retour deux
heures plus tard. En vrai j'irai dans le bureau, laisserait la porte
entrebâillée pour observer leur flirt et n'interviendrait que sur demande.
Barbara était conquise par ce scénario. D'abord parce qu'elle se sentait en
sécurité à la maison. Ensuite parce qu'elle avait la possibilité de jouer une
part active du scénario dont elle était la protagoniste. Enfin parce qu'elle
avait la liberté de décider de la fin du film.
La rencontre s'est
déroulée comme prévu. Barbara s'était faite belle pour l'occasion. Elle était
un peu stressée, se demandait si elle plairait. Je l'ai complimentée. Le
stagiaire était également bien habillé et très poli. Il semblait un peu timide.
J'étais impatient de quitter la scène pour voir comment l'intrigue se
dénouerait.
Les débuts ont été
déroutants. Ils ne savaient pas quoi se dire. L'ambiance était tendue. Barbara
jetait de temps à autre des coups d'?il en direction de la porte derrière
laquelle je me trouvai, mais n'a jamais fait le signe qui signifierait la fin
du film. Barbara a pris les devants. Elle avait mal au cou. Dommage que son
mari ne fût pas là pour soulager ses douleurs à la nuque. Le stagiaire se
proposa d'y remédier. L'ambiance prit alors la tournure que j'espérais. Barbara
exagéra un peu les gémissements de décontraction, sûrement pour que je puisse
les entendre. Et puis tout s'est passé très vite. Elle lui a chuchoté quelque
chose à l'oreille et dans les secondes qui ont suivi ils se sont déshabillés
mutuellement. Elle voulait apparemment se faire lécher. Le stagiaire lui fit
plaisir. A quoi Barbara répondit par une fellation qui s'acheva sur un filet de
sperme sur ses beaux seins et termina ainsi le film de notre première
expérience candauliste.
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