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Rendez-vous candauliste : « En me donnant la fessée il me dit que je suis une bonne fille »

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Comme il me paraissait difficile de raconter le rendez-vous de Léa sur la simple base de son récit, je lui ai demandé de le mettre par écrit. Dans notre démarche candauliste, nous avons décidé de vous partager le récit de sa rencontre avec Monsieur M.

J’arrive au bar avec des papillons dans le ventre, envahie par l’excitation nerveuse qui accompagne la première rencontre avec un amant potentiel. Mon rencart, le mystérieux Monsieur M, est un homme grand et beau, avec une carrure imposante et une voix calme mais emplie de confiance. Au premier regard posé sur moi je perçois ses intentions. C’est un homme qui sait ce qu’il veut, en l’occurrence : moi. 

Comme espéré, le bon feeling éprouvé lors de nos échanges par message est présent. L'énergie sexuelle est palpable dès le premier contact. Il me reçoit par une bise lente et sensuelle sur la joue. Son souffle chaud et son parfum me caressent le visage. Nous nous asseyons face à face. Je me pencherais volontiers pour goûter ses lèvres invitantes. Mais nous avons le temps. Quoi qu’il arrive, je ne partagerai pas mon corps sans l’avoir embrassé. Les baisers révèlent beaucoup de choses d’un homme et livrent de précieux indices sur ses performances dans la chambre.

Après quelques minutes à l’écouter, je le supplie presque du regard de me donner ce fameux baiser qui dictera la suite de notre rencontre. Je ressens à nouveau un picotement dans le ventre, d'être en public comme ça, avec lui, m’excite extrêmement. Ca y est, il m’embrasse. Est-ce que quelqu'un a remarqué notre premier baiser ? Je pense à mon homme et au scénario érotique qui se déroule actuellement dans son esprit. J’espère pouvoir lui en donner un récit des plus fidèles.

RDV candauliste

Domination et soumission : « Il empoigne mes cheveux, me montre qui domine »

Il me suggère d’aller chez lui pour plus d’intimité. Je lui dis que je viendrai bientôt chez lui, mais pas ce soir. Nous continuons de bavarder et de nous embrasser tout au long de la soirée. Alors que le rendez-vous touche à sa fin, il me conduit sur le parking jusqu'à ma voiture qui est un peu à l’abri des regards indiscrets et se penche pour me donner un baiser de bonne nuit. Je me sens rouge d'excitation alors que ce géant me presse contre la voiture et me donne un dernier avant-goût de ses lèvres pleines et sensuelles. Ma volonté préalable de ne pas avoir de relations sexuelles avec lui ce soir fond aussi vite qu'il insiste pour en avoir plus.

« Tu es sûr que ton homme t’en voudrais si tu venais ce soir ? N'est-ce pas ce qu'il veut ? » Je me remémore qu’il m’a donné le feu vert pour aller plus loin si je le sentais. Je ne suis pas sûre de moi mais sais que je ne veux pas que la nuit se termine maintenant. Pas encore.

Monsieur M glisse sa grande main sous ma jupe et frotte un doigt le long de mon clitoris. L’humidité de mon vagin ressemble à une invitation à en faire plus, je le sens, il le sait et il soulage mon désir en insérant un doigt épais à l'intérieur. Je ferme les yeux et me mords les yeux. Je ne pense plus au fait que nous puissions être vus. Quand je rouvre les yeux, je me sens honteuse. Je viens de faire à la fois l’expérience de l'exhibitionnisme et celle d’offrir mon intimité à un autre homme. Mes hanches se balancent tandis que mes jambes commencent à trembler. Je vis le moment et le réfléchis en même temps.

Candaulisme : « Comment lui dire maintenant que je dois rentrer à la maison ? »

C’est une expérience très forte, j’associe le plaisir physique à toutes sortes de pensées incontrôlables. Je suis choquée par la façon dont mon corps parle pour moi. Comment lui dire maintenant que je dois rentrer à la maison ? Il empoigne mes cheveux, me montre qui domine. Il accélère les mouvements de ses doigts. Il fait chanter mon corps…

Toujours à la vue d’un potentiel voyeur, il libère sa queue en plein air. Je suis embarquée dans un mouvement incontrôlable. J’enroule rapidement ma petite main autour de magnifique spécimen. Je m’émerveille de la longueur et de l'épaisseur de sa virilité. L'abandon sexuel à un autre homme semble imminent, inéluctable. Je l’invite sur le siège arrière de ma voiture. Il recommence rapidement à travailler mon trou béant avec ses doigts forts et épais.

Même si c’est moi qui le monte désormais, les tendances dominatrices de Monsieur M se font de plus en plus ressentir.  Il a compris que je suis une fille soumise sexuellement qui aime être dominée. Il m’ordonne de le regarder dans les yeux pendant que je rebondis sur son énorme sexe. J’obéis. Il m'encourage à « lâcher prise », me demande de le supplier de me faire jouir. En me donnant la fessée il me dit que je suis une « bonne fille ».

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