Denise et moi étions dans la salle de bain en train de nous
déshabiller pendant que l'eau de la douche se réchauffait. J'étais déjà raide
en pensant à notre situation, mais la vue de son corps parfait avec son épaisse
touffe de poils pubiens noirs faisait battre ma bite encore plus ! Nous
sommes allés sous la douche absorbant de sitôt la chaleur de l'eau qui embuait
la pièce. Je tenais Denise contre mon corps réchauffé si bien par la douche que
par l'ambiance torride qui y régnait.
- Qu'est-ce que tu fais ? On ne peut pas faire ça. Il est
dans la pièce à côté, protesta-t-elle alors que je prenais son cul dans mes
mains et que je glissais ma bite entre ses jambes. Je me suis arrêté. Au lieu
de lui faire l'amour, je l'ai laissée excitée et confuse à la fois. J'ai quitté
la douche en supposant que Didier voudrait sauter dedans.
- Allons-y. C'est son tour, dis-je plein d'attente.
Nous nous sommes enveloppés dans des serviettes, avons
attrapé nos vêtements et avons ouvert la porte.
- A ton tour, ai-je dit.
La tension sexuelle était évidente. Ma femme se tenait à
moitié nue devant cet homme, avec seulement une serviette au tour de la taille.
Il s'arrêta pour admirer la vue devant lui, puis nous dépassa alors qu'il se
dirigeait vers la douche.
Nous avons étalé nos vêtements afin de les sécher puis avons remarqué le bar dans la chambre. J'ai attrapé quelques petits flacons de scotch et de vodka. Nous sommes montés dans le lit en jetant les serviettes humides de côté et nous nous sommes assis sous la couverture en buvant silencieusement, laissant la chaleur de l'alcool nous traverser le corps.
Complétement détendus, nous nous sommes allongés dans
l'immense lit. Une fois de plus, je l'ai attirée vers moi et j'ai commencé à
l'embrasser tout en frottant ma bite dure qui cette fois se trouvait à l'entrée
de son vagin tout chaud. En me regardant d'un air interrogateur, elle m'a
demandé ce que je faisais. Je lui ai dit que je voulais la baiser. Elle m'a
demandé si je pouvais finir à temps avant que Didier ne sorte de la salle de
bain. Bien sûr ! Allongé sur le côté, j'ai attrapé son cul fabuleux et je
me suis enfoncé en elle. Quel amateur j'étais ! Dans ce genre de moment,
il faut savoir garder la pression pour mieux profiter après. Mais bon, c'est
par les erreurs qu'on apprend.
Elle haleta en réaction à cette intrusion soudaine, mais serra
les dents pour ne rien laisser entendre. Je l'ai embrassée pour étouffer les
gémissements. J'aurais vraiment aimé finir en elle, mais ce n'était pas mon
plan. Je la voulais excitée et prête à être prise par son premier amant. Il
était temps que son fantasme secret devienne réalité. Quelques coups profonds
plus tard, nous avons entendu l'eau s'arrêter de couler. Il avait fini et nous
non.
- Arrête-toi, il peut entrer à tout moment.
Alors j'ai retiré ma bite d'elle et nous nous sommes tous
les deux allongés sur le dos en prétendant que rien ne s'était passé. Nous
sommes restés immobiles pendant un moment jusqu'à ce que je murmure :
« Didier doit avoir une énorme bite. »
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce qu'il avait un début d'érection quand tu es sortie
de la douche en serviette. Ne me dis pas que tu n'y as pas prêté
attention !
- Non. Pourquoi tu penses ça ?
Un silence plein de volupté s'est installé : « Je
pense qu'il veut te baiser » ai-je dit avec un grand sourire d'approbation.
Avant que nous puissions continuer de discuter, il est sorti de la salle de
bain avec une serviette autour de la taille.
C'était en effet un homme grand et fort, bien musclé comme
il faut. Denise fit mine de ne pas le regarder mais elle n'avait probablement
fait attention qu'elle avait la bouche ouverte.
- Hé les amis, j'apprécie vraiment que vous partagiez la
chambre avec moi, je vais prendre la couverture de rechange et m'allonger par
terre.
J'ai pris la parole immédiatement : « il y a plein
de place dans le lit. »
Il y eut un long silence, puis il a osé :
« Êtes-vous sûr ? »
La question ayant plus d'un sens.
En regardant le visage inquiet mais excité de ma femme, j'ai
simplement dit : « Oui. Je suis sûr. Et ma femme aussi. »
Il nous a dit de fermer les yeux pour qu'il puisse laisser
tomber la serviette et entrer dans le lit, mais encore une fois, je l'ai
interrompu : « Pas d'inquiétude. Nous sommes entre grandes personnes
et ce n'est pas comme si elle n'avait jamais vu un homme nu auparavant. »
Il laissa tomber la serviette. Denise haleta doucement alors
que son gros sexe apparaissait. Il est monté dans le lit. Elle était entre
nous. Un silence très gênant a suivi.
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