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Accueil Blog candauliste Récit d'adultère (2ème partie) : « L'excitation avait pris le dessus sur le plaisir »

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Récit d'adultère (2ème partie) : « L'excitation avait pris le dessus sur le plaisir »

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Le grand jour était arrivé. Durant toute cette journée de samedi j'ai ressenti une pression étrange dans le thorax. Sûrement la mauvaise conscience. Pourtant mon instinct avait pris le dessus, malgré les mots doux de ma femme au moment de me souhaiter une bonne soirée avec mon ancien camarade. Durant tout le trajet, qui a duré plus d'une heure, j'ai eu l'impression de vivre une journée entière, tellement les émotions frémissaient en moi. 

Nous avions rendez-vous à la gare où je devais la récupérer. Elle était déjà là. La joie de la revoir a fait s'estomper, pour un moment du moins, les remords qui m'avaient tracassé tout le trajet durant. Nous nous sommes pris dans les bras comme de vieux amis qui se retrouvent et, sans nous attarder, avons pris la voiture pour nous rendre à l'hôtel. Une fois dans la chambre, nous nous sommes assis sur le lit. Il y eut alors un long silence. Nous ne savions pas exactement comment nous devrions continuer. Ou plutôt comment nous allions commencer.

Steffi a brisé le silence, et de dire combien il lui était agréable de me revoir après si longtemps. J'ai répondu un peu maladroitement en lui disant que les années lui seyaient bien. Steffi s'est alors rapprochée de moi, a posé la main sur ma cuisse qu'elle caressa affectueusement.

Puis elle a pressé ses lèvres contre les miennes et nous nous sommes embrassés. D'abord tendrement puis intensément. C’était extrêmement emballant d’embrasser une autre femme, d'autant que je savais qu'elle n'avait pas de tabous sexuels. Elle s'est ensuite levée et a progressivement laissé tomber ses vêtements jusqu'à ce qu'elle soit complètement nue. Elle était bien en chair, avait de belles formes rondes, des fesses en apparence flasques, du moins ce que l'on pouvait en juger sans les avoir touchés.

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Du désir de candaulisme à l’adultère : « Je l’ai choyée avec mes doigts et ma langue »

Je me suis déshabillé aussi même si c'était un peu gênant. À cause de l'envie, j'avais déjà lâché quelques gouttes de plaisir dans le caleçon, qui portait une grosse tache humide. À présent nous étions tous les deux nus dans sa chambre et il semblait impossible de faire machine arrière. Steffi s'est allongée très près de moi et a commencé à me branler. J’étais déjà tout proche d’exploser dans sa main, mais avant que cela ne se produise, je l'ai arrêtée, me suis assis entre ses jambes légèrement écartées et je l’ai choyée avec mes doigts et ma langue. Je jouissais d'une chatte étrangère. Steffi remuait de plus en plus vite. J'ai réalisé qu'elle était proche de l'orgasme. Je lui ai donné cet orgasme oralement. Mon sexe ressemblait à un robinet dégoulinant, j'étais tout proche de jouir. Steffi, voyant que j'allais bientôt éjaculer, s'est alors mise à me sucer et je n'ai pas pu me retenir : j'ai rempli sa bouche. Contrairement à ma femme, qui recrache aussitôt le sperme, Steffi l'a avalé goulûment.
 
Satisfaits pour le moment, nous nous sommes allongés dans le lit pour reprendre nos forces. J'avais plein de choses qui me traversaient l'esprit. Je venais de tromper ma femme et, au final, cela n'avait pas vraiment valu le coup. L'excitation avait pris le dessus sur le plaisir, elle avait été tellement forte que je n'avais pas profité du moment comme je l’avais attendu, comme je l’avais tant redouté. Tout cela avait duré tout au plus cinq minutes. Je me demandais maintenant ce qu'il fallait faire. Devais-je poursuivre la soirée avec Steffi afin de tenter des choses telles que le sexe anal que Julia me refuse tout le temps, ou devais-je rentrer à la maison avec ce sentiment de gâchis qui était en train de m'envahir ? 

Les remords de l’adultère : « Comment exprimer toutes ces émotions qui me serraient le cœur »

Encore une fois, je me retrouvais dans une situation où je ne savais pas quoi dire. Je ne savais pas comment exprimer toutes ces émotions qui me serraient le cœur et la gorge. Et encore une fois, j’ai opté pour la vérité : je ne me sentais pas à l’aise avec la situation, avec le fait que je venais de tromper ma femme, la femme que j’aime. Steffi a juste dit : « je comprends. » Je me suis excusé et rhabillé en même temps. C’était une situation extrêmement embarrassante. Je lui ai demandé s’il voulait passer la nuit à l’hôtel, que je lui payerai, bien entendu, ou si elle voulait que je la dépose à la gare ou directement chez elle. Cette suite de questions était tout aussi embarrassante que la situation en soi. Elle a préféré rester à l’hôtel. Je crois qu’elle s’est dit que le trajet en voiture avec moi serait plus inconfortable encore que de rester une nuit à l’hôtel. Alors je suis parti en lui disant que je lui écrirai. Nous savions cependant tous les deux que nous ne nous verrions plus.

Sur le chemin du retour, j’ai de nouveau ressenti cette pression dans le thorax qui me criait que l’adultère n’était pas fait pour moi, du moins pas de cette façon. Avec le recul, je considère cette expérience pleine d’agitations comme la confirmation de mon amour pour ma femme. Je crois que d’écrire mon expérience a aussi aidé à mieux l’appréhender. Je sais maintenant ce que c’est que de braver l’interdit et d’en ressortir plein de remords. Je suis presque content de ces remords, car ils me montrent que j’ai une conscience. Je viens à l’instant de réaliser que je suis maintenant prêt à l’avouer à ma femme…

 

2 commentaires

lechatgris75
Le 27 avril 2019
Permettez moi un conseil: Attendez un moment, le temps que votre émotion s'estompe, que vos sentiments se normalisent, pour en parler à votre femme. Lorsque vos émotions se seront normalisées, refléchissez à nouveau. Une fois que vous lui en aurez parlé, cet évenement sera gravé à jamais dans vos mémoires: soyez sûr que c'est ce que vous voulez. Demandez vous aussi si vos aveux feront vraiment plaisir à votre femme: si la réponse est "je ne sais pas", ou "non, mais...", je vous recommande amicalement de ne pas les lui faire.
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gent57
Le 3 mai 2019
Qui n'aurait pas cette réflexion dans ces circonstances ? J'ai eu les mêmes ressentis ! Et la même décision . Je vois différemment maintenant, mais pas tant que çà !
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