Quand j’ai vu que les gens publiaient ici leur récit candauliste, j’ai eu envie de participer aussi à la fête. Moi aussi je veux partager mon expérience, ou plutôt une expérience en particulier qui m’a beaucoup marqué.
Au moment de l’anecdote que je vais vous raconter, ma femme et moi étions déjà actifs dans le candaulisme. Nous avions déjà connu les mauvaises comme les bonnes expériences. Je ferai aujourd’hui l’impasse sur les mauvaises expériences, même si je crois qu’il sera un jour intéressant de voir aussi l’envers du décor. Comme partout ailleurs, tout n’est pas rose dans le candaulisme. Aujourd’hui je veux vous raconter une rencontre candauliste qui nous a marqués à jamais, ma femme et moi.
Cela faisait déjà deux ou trois ans que nous invitions régulièrement des hommes pour faire l’amour à ma femme sous mes yeux. Même si chaque rencontre est unique, toutes se ressemblent plus ou moins : prise de contact par le biais d’un site de rencontre, jeu de séduction sur le chat, premier rendez-vous dans un cadre neutre, puis rendez-vous candauliste dans un lieu de notre choix — soit à l’hôtel, soit à la maison, rarement chez l’amant, même si cela nous ait déjà arrivé d’aller chez amant. On dira que c’est l’exception qui confirme la règle.
Mais cette rencontre n’avait rien de toutes les autres. Cette rencontre s’est faite par hasard, sans planification, sans organisation, sans que nous l’ayons ne serait-ce qu’envisagé. C’est sûrement la raison pour laquelle je me souviens de chaque détail de cette rencontre candauliste qui, à n’en croire que la clarté de mon souvenir, aurait pu avoir eu lieu hier.
Ma femme et moi étions de sortie au lac, un lac naturiste – nous pratiquons en effet le naturisme. La plage n’était presque pas visitée ce jour-là. Le ciel couvert avait sûrement eu un rôle dans cette désertion. Qu’à cela ne tienne, ma femme et moi nous ne sommes pas de grands amateurs des chaleurs étouffantes de l’été héraultais. Nous étions donc plutôt satisfaits de ce temps qui n’attire pas les foules. Il n’empêche que nous nous sommes passé mutuellement de la crème solaire — avec les UV on n’est jamais trop prudent.
Pendant ce petit moment de plaisir, ma femme a remarqué qu’un voyeur nous épiait caché derrière un arbre. Ce regard intrusif a excité ma femme, or quand ma femme est excitée, je le suis aussi. C’est une sorte de réflexe. Ma femme, qui était assise sur moi pour me masser et dont je sentais la mouille ruisseler sur mon dos huileux, lui a fait signe de se rapprocher. Aussi timide que le sont les voyeurs, il n’a pas bougé d’un poil. Ma femme a répété son signe en ajoutant une invitation lancée à travers le vent : « joignez-vous à nous, ne soyez pas timide ».
Il est sorti de sa cachette et s’est rapproché timidement de nous. Ma femme trouve la timidité très attractive chez les hommes – peut-être parce qu’elle a ainsi l’impression de les dominer. Elle lui a indiqué de s’assoir à nos côtés, puis elle lui a dit qu’on était sur une plage naturiste et qu’il fallait donc se dévêtir. Il a eu un moment d’hésitation puis il s’est exécuté. Il n’était pas si mal foutu. Et puis il avait un bel avantage sur beaucoup d’hommes : il avait l’érection dure et facile. Ma femme m’a lancé un regard qui voulait tout dire. J’ai répliqué d’un sourire en coin et je me suis assis à côté d’elle.
Ma femme se trouvait entre nous deux. Nos bites à l’air pointaient toutes les deux vers le ciel. En bonne partageuse qu’elle est, ma femme a pris une bite dans chaque main et nous a branlés tous les deux. Sur le moment, j’ai dû me retenir de rire : le mec semblait totalement perdu, il se demandait sûrement si ce qui était en train de se passer se passait réellement. Une inconnue, avec la bague à l’annulaire, le branlait vraisemblablement en présence de son mari. Du moins c’est ce que j’ai supposé sur le moment. Cette pensée m’a excité.
J’ai glissé un mot à l’oreille de ma femme. Je lui ai dit de lui faire tourner la tête. Elle a lâché ma bite et s’est penchée sur celle du voyeur qu’elle a engloutie jusqu’au fond de sa gorge. Que j’adore entendre les régurgitations de ma femme quand elle fait une gorge profonde ! Question gorge profonde, ma femme est sans doute la plus douée de toutes. Le voyeur était en plein rêve. On ne lui avait certainement jamais fait une fellation si intense et profonde que celle que ma femme lui faisait. Il a eu un petit soubresaut, ce tressaillement que nous les hommes avons juste avant d’éjaculer. Ma femme adore le sperme, alors au lieu de le retirer de sa bouche, elle l’a branlé plus énergiquement. Quand elle a retiré la bite déjà ramollie de sa bouche, il n’y avait plus une goutte de sperme. Le voyeur s’est fait la malle et moi j’ai pu finir de me branler sur les seins de ma belle. Nous avons fait un saut dans l’eau et avons repris la route pour rentrer à la maison.
Ces rencontres sont belles, car elles sont inattendues, spontanées, fougueuses.
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