C’est la première fois que je tente de raconter certains événements de notre passé. Cela s'est vraiment passé il y a des années, avant la vie de famille. Je m'excuse par avance si c'est ennuyeux ou trop long. Vos commentaires sont les bienvenus.
Nous nous sommes mariés tôt, à la sortie de l'université. Peu de temps après notre mariage, j'ai découvert que j’éprouvais un certain plaisir à voir les regards des autres se poser sur ma femme. Au début, il s’agissait juste de la regarder se faire observer par d’autres hommes. Rien de bien concret. Elle aussi aimait ce petit jeu instauré entre nous. Juste de l’exhibe. Peu à peu nos désirs d’exhibitionnisme se sont développés et ont fini par tendre vers ce qu’on appelle le candaulisme. Nous avons décidé ensemble de passer une journée dans un centre de naturisme à la mer. Nous n'avions jamais rien fait de pareil et nous étions tous les deux un peu nerveux.
Je me vois encore marcher vers la piscine, et de contempler toutes ces femmes nues. Regarder Cindy relever son bikini pour la première fois en public m’a provoqué un frisson que je n'oublierai jamais. Elle ne semblait plus du tout nerveuse alors qu'elle se couchait calmement au soleil, se sachant observée.
Personne ne nous a approchés cette fois-là. C'était quand même un plaisir de la voir complètement nue avec d'autres hommes et femmes tout autour. Au fond de moi je savais que ce ne serait pas la dernière fois.
Nous n’avons pas beaucoup batifolé pendant des mois après cela. Nous avons déménagé dans une grande ville pour débuter notre nouvelle vie. Cindy a commencé à s'habiller de manière plus suggestive à ma demande. Elle se baladait de plus en plus souvent sans soutien-gorge. Le regard des hommes fixant sa poitrine sous de minces débardeurs était une source de fierté et de plaisir pour moi. Cela restait cependant juste suggestif. C’est une rencontre en particulier qui a fait basculer notre vie sexuelle.
Nous sommes devenus amis avec un homme un peu plus âgé, Carlo, avec qui j'ai travaillé et que nous aimions tous les deux. Il était beau, chic et mondain. Nous passions beaucoup de temps ensemble et, un jour, Cindy et moi, nous avons discuté de l'idée de l’inviter à passer une nuit chez nous. Je lui ai dit que je voulais qu’elle le baise et le laisse jouir en elle. Sur ce, nous avons fait l’amour.
Je me glissai alors dans elle tandis qu'elle était allongée sur le dos. Je lui ai demandé si elle était mouillée en pensant à Carlo, si elle aimerait sentir sa bite glisser dans sa chatte. Elle n’a pas répondu avec des mots, mais, à ses mouvements et son langage corporel, je savais que l'idée lui plaisait. J'ai poursuivi mes questions : « Aimerais-tu qu’il t’embrasse ? » Elle a souri comme pour dire oui. « Veux-tu sucer son pénis ? » Encore ce même sourire coquin. Et puis je lui ai dit : « Je veux que cela se passe ce soir, là-bas, sur le canapé. Veux-tu que je l’appelle ? ». Elle me regarda droit dans les yeux et me demanda si j'étais sûr. J'ai dit que je voulais qu'elle suce sa bite jusqu'à ce qu'il soit dur. Je lui ai dit que je voulais qu'elle enfonce ses doigts dans sa chatte tout en suçant sa bite. Je lui ai dit de le laisser jouir en elle.
Nous avons cessé de bouger mais je suis resté planté dans elle. Elle m'a embrassé longtemps et avec passion avant de me laisser m'échapper d'elle. Elle m'embrassa de nouveau et sortit du lit et, toujours nue, se dirigea vers la salle de bain. Pendant ce temps, j’ai appelé Carlo et lui ai dit que nous serions honoré qu’il nous rende visite et que Cindy aimerait faire plus ample connaissance avec lui. Trois quart d’heure plus tard, il sonnait à la porte.
Je les ai laissés seuls un moment pour qu’ils fassent connaissance. Je pouvais les voir et entendre leur voix. Ils parlaient à voix basse et je ne pouvais pas comprendre ce qu'ils disaient. Ils s'assirent et se regardèrent un moment, puis Cindy l'entoura de ses bras et l'embrassa à pleine bouche. J’observais ma femme, que je connaissais depuis près de dix ans, qui était encore vierge quand nous nous sommes rencontrés et qui n’avait jamais touché le pénis d’un autre homme, là, à portée de vue, complètement nue, plaçant ses seins dans la poitrine poilue de Carlo, l'embrassant avec une grande passion. Je me sentais heureux et fier comme un coq.
La suite la semaine prochaine.
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