Il y a pléthore d'écrits sur le cuckolding, le candaulisme
et le libertinage sur internet. Franchement je ne sais pas, ni me soucie
vraiment, de l'étiquette à appliquer pour me définir. Ce que je sais, c'est que
pendant au moins les sept dernières années, l'idée que ma femme (alors
petite-amie) voit d'autres hommes, à ma connaissance, était passée d'un
fantasme à une obsession absolue.
Juste un petit historique pour vous mettre dans le bain.
Il y a environ trois ans, nous avons introduit le jeu de rôle avec la domination féminine dans notre chambre à coucher. Le haut de ma liste de choses à faire était que « Jeanne » (ce n'est évidemment pas son vrai nom) s'assoie sur mon visage, me fasse la stimuler oralement, nettoyer sa chatte transpirante, avant qu'elle ne lâche les vannes et me fasse pipi dans ma bouche. Même si elle était ?et à ce jour elle l'est toujours ? réticente à passer à cette étape finale, nous avons joué comme ça de temps en temps pendant quelques années. Mon véritable désir était de lui nettoyer le sperme coulant de sa chatte fraîchement baisée.
Il y a peut-être un an, j'ai finalement avoué mon vrai
désir. Sa réponse initiale était catégorique : il en était hors de
question. Nous avons cependant commencé à jouer un rôle avec ce scénario.
Chaque fois que Jeanne sortait sans moi, je m'occupais à la maison, je rendais
l'endroit agréable, puis je m'installais pour surfer sur le net. Au départ mes
recherches étaient basées sur du porno classique, des images et des histoires
de creampies, de cocus, de femmes chaudes, etc. Au fil du temps, je me suis
davantage intéressé aux forums et aux sites de conseils.
Quand elle rentrait à la maison, j'étais au lit à
l'attendre. Elle se changeait dans ses vêtements de « salope » puis
montait au lit et commençait à me parler de « son rendez-vous fictif » tout en
me faisant nettoyer ses chaussures, ses pieds, son cul magnifique avant, enfin,
de m'offrir sa culotte et sa chatte. Sa culotte et sa chatte que je m'imaginais
imprégnées de sperme.
Cela a suffi - pendant un certain temps. Tout le temps, en
arrière-plan, le besoin de faire cela pour de vrai ne faisait que croître.
Ma principale crainte (et je crois que c'était la sienne
aussi) était de détruire notre mariage. Nous avons eu un très bon mariage. Déjà
à l'époque nous étions un couple fort qui s'aimait, se faisait confiance et
travaillait très bien ensemble. Alors pourquoi cette obsession qu'elle parte
avec un autre homme ? Était-ce dû à une potentielle faible estime de moi ?
Etait-ce une forme de contrôle que je voulais exercer sur elle ? À ce jour, je
ne connais pas la cause profonde.
Ce qui était certain, c'est que de passer du fantasme à la
réalité constituait un risque. Ce n'est que lorsque j'ai abordé le sujet, un
sujet intrinsèquement risqué, que nous avons vraiment commencé à parler et à
envisager d'essayer pour de vrai.
Ensemble nous avons commencé à explorer les possibilités.
Quand nous sortions, elle s'habillait avec des vêtements un peu plus provocants
qu'à l'accoutumée. Quant à moi j'appréciais les regards et l'attention
occasionnelle qu'elle recevait. Je lui ai envoyé des liens vers des articles et
des histoires sur le sujet. Nous allions en ligne ensemble et individuellement.
Nous avons commencé à discuter avec des gens, des couples ayant des fantasmes
similaires.
Enfin, nous étions prêts à franchir le pas. Nous devions
d'abord trouver le bon. Jeanne avait établi des règles de base très claires.
Fondamentalement, il devait être «une personne décente», c'est-à-dire quelqu'un
avec qui elle pouvait réellement sortir :
Son profil : 30 - 49 ans, capable de tenir une
conversation sur autre chose que le sexe ou le football. Un haut niveau
d'hygiène personnelle. Respectueux avec un bon sens de l'humour.
En résumé, un profil presque parfait qui ne serait pas
facile à dégotter parmi la liste des prétendants, d'autant que Jeanne est une
jolie femme offrant du sexe sans engagement. Peut-être que ce profil parfait
était un moyen pour elle de repousser l'échéance. C'était peut-être notre
naïveté, un mauvais choix de mots ou simplement de la malchance, mais nous
avons été inondés de réponses, des messages provenant presque exclusivement de
crétins du style « Je vais te baiser jusqu'à te faire oublier tous tes
autres amants ». Ce genre de commentaires accompagnés d'une photo de leur
bite prédominait. Pas vraiment ce que nous avions en tête. Après plusieurs tentatives
et quelques temps sans regarder notre messagerie, nous sommes retournés à la
planche à dessin.
Or le problème c'est qu'á 30 ans la plupart des hommes de
bonne facture sont engagés dans une relation. C'était une remarque fortuite que
je lui avais fait qui allait finalement déterminer notre sort.
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