Le blog de de la rencontre candauliste

Depuis que je suis au courant du fantasme de mon mari, on me confie à chaque fois à des hommes différents. Je ne veux être qu'avec lui, mais comme je me suis déjà engagée dans cette aventure bizarre, je dois accepter les relations qu'on organise pour moi. Je vois des pénis de tout genre. J'ai toujours pensé que les gros calibres étaient bien meilleurs, mais j'ai aussi pu apprécier la douceur des queues d'à peine 12 cm.

J'accepte toujours les relations candaulistes, que cela se passe à la maison ou à l'hôtel. Quand d'autres hommes bandent devant moi, c'est ce qui fait le plus plaisir à mon mari. Je dois donc jouer le jeu, ou au moins, faire semblant. Je n'ai jamais refusé un plan cul, pas quand je suis avec quelqu'un de propre et de séduisant. Mais comme on dit, il y a forcément un début à tout, et je ne m'attendais pas du tout à ce que ça se passe cette soirée-là.

Parfois, une simple conversation suffit !

En général, une rencontre candauliste aboutit forcément à des caresses et des pénétrations, mais pas pour cette fois. Mon mari m'a parlé d'un collègue, un bel homme d'à peine 35 ans qui cherchait des couples passionnés par le candaulisme. Si je me réfère à la description, j'ai en tête l'image d'un vrai apollon sexy. C'était notre invité pour la soirée. Dès son arrivée, déception !

Je m'attendais à un homme grand et charmant, mais c'était un homme en chemise et cravate, un vrai geek qui se tenait devant moi. Il n'avait aucun style et aucun sens de l'élégance. Je m'étais dit, il est sûrement doué au lit. C'était le seul moyen de me motiver à vivre une soirée normale. Mon mari n'a certainement pas remarqué mon hésitation. Je restais correcte et courtoise pour ne rien laisser s'échapper.

Oh purée ! Cet homme-là sentait la fumée de cigarette, et en plus, c'était comme s'il venait de courir une dizaine de kilomètres. Il puait la sueur. Imaginez ma tête au moment de toucher son corps. Cerise sur le gâteau, il avait les ongles sales et mal entretenus. C'était la goutte d'eau qui déclenchait le drame. Je m'étais retenue de le toucher. Je devenais peu à peu distante. Je cherchais des prétextes pour arrêter la mascarade. J'ai fait signe à mon mari en voulant lui dire que je ne me sentais pas bien, mais comme d'habitude, il était déjà impatient de me voir jouir.

Eh bien, je ne comptais pas du tout jouir ! Je n'avais même pas pris la peine de m'excuser ou de dire un mot. Quand notre invité a commencé à me toucher, j'ai immédiatement montré que je n'étais pas prête. Ça apprendra à mon mari de choisir des hommes décents pour me tenir compagnie. En vrai, je m'en fous qu'ils soient sexy ou qu'ils ont des grosses queues. Je veux qu'on me laisse à des hommes qui font une bonne première impression, en apparence et en caractère.