Cela n'a pas pris longtemps. En effet, il ne lui a pas fallu
beaucoup d'efforts pour la combler une énième fois sous vos yeux. Vous regardez
son sperme couler le long de sa cuisse alors qu'elle est à moitié allongée sur
lui. Quelques minutes plus tard, il vous redonne à nouveau la tâche de les
nettoyer ; d'abord lui et ensuite elle. Puis vient l'humiliation finale
pour vous avant de les laisser à nouveau seuls ; l'humiliation finale de devoir
se masturber devant eux, de tirer sur votre propre petite érection devant
l'amant de votre femme.
Il y a encore une chose qui suivra toujours la première fois
; une dernière chose à faire le lendemain matin de votre premier cocufiage.
Plus tard, après la douche, ils apparaîtront dans votre chambre. Il sera tout
habillé mais elle ne le sera pas. Comme d'habitude le week-end elle enfilera
juste un petit gilet et une culotte. Vous trouvez très excitants ces vêtements
roses moulants qui se mêlent à son corps, exposant ses courbes et ses mamelons
saillants. Vous avez envie de lui dire qu'elle devrait s'habiller parce qu'il y
a quelqu'un d'autre dans la maison, un invité, un visiteur qui pourrait avoir
envie d'elle. Cela fait partie du jeu que vous menez depuis la veille.
Elle vous embrassera et vous câlinera, du moins espérons-le.
Elle sait que vous avez besoin d'être rassuré ; elle sait que vous devez savoir
qu'elle vous aime pour accepter le cocufiage. Son amant est peut-être capable
de la satisfaire sexuellement, plus que vous en tout cas, mais c'est vous
qu'elle aime toujours.
Avec vous trois assis à la table du petit-déjeuner en train de savourer le café que vous avez préparé, elle vous regarde et vous demande ce que vous ressentez. Que pouvez-vous dire ? Trouverez-vous les mots justes pour décrire cette boule au ventre qui vous prend au corps ? Avez-vous pleinement saisi ce qui s'est exactement passé ?
Vous haussez les épaules. Elle le regarde, cet amant au
regard arrogant, l'homme qui a pris votre place dans votre lit la nuit dernière.
« Il veut me revoir » dit-elle en souriant.
Vous ressentez un peu de jalousie. Vous ne voulez plus qu'il
la revoie. Un autre, oui, mais vous ne voulez plus qu'il la touche, n'est-ce
pas ? Or vous ne pouvez rien y faire. Une fois que vous avez franchi cette
étape ; une fois que vous demandez à votre femme de vous cocufier ;
une fois qu'elle baise un autre homme avec votre permission, votre mariage
change, le rapport de force aussi.
Votre gorge est sèche. Vous essayez de parler et le seul mot
qui sort est « Quand ? »
« Je pensais que nous devrions le laisser en
décider » répond-elle.
Le laisser décider ? Vous avez envie de crier mais vous
restez assis là, bouche bée.
Elle est pour qu'il vienne à sa guise quand il en a envie.
Ses paroles vous choquent, vous font trembler. Elle dit plus ou moins qu'elle
veut être traitée comme l'objet sexuel de cet amant qui s'immisce dans votre
couple.
Et lui de répondre qu'il reviendra certainement bientôt,
sans préciser quand, ce qui rend la couleuvre encore plus difficile à avaler.
Vous ne trouvez pas les mots pour décrire ce que vous
ressentez et pourtant vous sentez votre érection se former à nouveau. Vous
sentez la colère monter et pourtant vous bandez. Vous êtes sexuellement excité
à l'idée qu'un autre homme vienne baiser votre femme régulièrement. C'est
dégradant, c'est humiliant et pourtant?
Elle peut lire sur votre visage que vous n'êtes pas tout à
fait d'accord, mais elle n'attend de vous rien d'autre qu'un acquiescement
docile. Elle s'approche de vous et s'assoit sur vos genoux ; comme elle le fait
toujours quand elle veut quelque chose. Elle vous dit qu'elle sent votre érection en
dessous d'elle, remue ses fesses sur votre bite dure et vous fait comprendre
que vous n'avez aucun argument à faire valoir.
Elle ne vous négligera pas bien sûr, elle connaît vos
fantasmes, elle sait ce qui vous fait bander. Après tout, elle a ses propres
fantasmes à réaliser maintenant et vous êtes un cocu, son cocu. Votre femme est
maintenant une hotwife et elle est impatiente d'explorer sa nouvelle liberté
quitte à ce que vous ayez quelque fois un goût amer en bouche.
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