En me voyant, Noémie tapota sur le lit pour m'indiquer de
les rejoindre. Elle ajouta légèrement irritée : « enlève tes
vêtements, idiot. » C'est alors que j'ai réalisé que j'étais le seul qui
portait encore ses habits.
Je me suis délesté de mes affaires et me suis glissé dans le
lit, à côté de Noémie. Thibault taquinait sa chatte avec sa bite, il frottait
son gland recouvert de plastique entre les lèvres et sur le clitoris de Noémie.
Elle gémissait avec une pointe de désespoir dans sa voix : « baise-moi,
baise-moi ! Chéri, dis-lui de me baiser. »
J'étais si étourdi par l'excitation, l'alcool et la
situation invraisemblable, que je n'ai pas réagi. J'ai juste tendu la main pour
attraper un des seins.
« Demande-moi de la baiser » dit Thibault,
taquinant toujours son clitoris avec sa bite.
Le regard de Noémie en disait plus que toute supplique. « Dis-le-lui. » Dans sa voix il y avait à la
fois de l'exigence et de l'impatience.
« S'il te plaît,
baise-la », ai-je demandé à l'homme qui tenait en équilibre sur l'amour de ma
vie. Puis, pour quelque raison que ce soit, j'ai ajouté un « s'il te
plaît, baise ma femme. »
Il a immédiatement enfoncé sa grosse bite dans Noémie qui a
gémi bruyamment. J'ai sucé ses seins alors qu'il se glissait lentement en elle.
Son corps ondulait alors qu'il la baisait. Le seul son qu'elle émettait était
un «hm » qu'elle répétait chaque fois qu'il poussait en elle.
« Retourne-toi », ordonna-t-il en se retirant. Il attrapa ses hanches et la fit rouler dans ma direction. Soudain, elle était à genoux sur moi. Nous étions face à face, nos regards se croisaient alors que Thibault se glissait de nouveau en elle. Elle m'embrassa intensément. Elle ferma les yeux alors qu'une autre poussée s'enfonçait profondément en elle. Ses seins se balançaient d'avant en arrière, frôlant ma poitrine.
Noémie jeta la tête en arrière et poussa ses fesses contre
Thibault. A ce moment j'ai senti un fluide se déverser sur mes jambes. Une ou
deux fois, tout au plus, avait-elle squirté avec moi. Thibault avait réussi
l'exploit pour sa première baise avec ma femme. Cela m'a fait bizarre, même si
je suis plutôt du genre à distinguer le sexe de l'amour.
« Je vais jouir, dit-elle, remplis-moi de sperme, »
J'ai essayé de rétablir un contact visuel avec elle, mais c'était comme si elle
était ailleurs ou comme si j'étais invisible. Elle s'est effondrée sur moi, sa
tête était maintenant à côté de la mienne et sa poitrine appuyée contre mon
torse.
Thibault gémit bruyamment et s'enfonça plus profondément en
elle, tout en ramenant ses hanches vers lui. Encore quelques poussées, et il avait
terminé. Ma gorge était sèche, ma tête étourdie et ma bite toute dure. Un autre
homme venait de jouir dans ma femme. Certes dans une capote, mais tout de même
dans ma femme.
Elle roula sur le dos et il s'allongea à côté d'elle. Ils
s'embrassèrent, étonnamment tendrement. Incertain de mes sentiments et de mon
rôle dans cette situation, j'ai commencé à grimper sur Noémie, prêt à ramasser
les miettes.
« Non, m'a-t-elle dit en posant une main sur mon front pour
m'orienter vers sa chatte, lèche-moi. »
Sa chatte était rouge, gonflé et dégoulinant du sperme d'un
autre homme. Je venais de me rendre compte que la capote avait craqué? C'était
beau et j'avais peur en même temps. Elle a soulevé ses hanches, juste un peu,
vers mon visage. « Lèche-moi, chéri. » Sa voix était rauque et exigeante. Je ne
l'avais jamais entendue comme ça auparavant et cela me passionnait encore plus.
J'ai commencé à la lécher. Elle m'a attrapé par les cheveux
et a poussé mon visage plus profondément dans sa chatte. Je n'ai pas eu d'autre
choix que de respirer l'arôme de sa chatte fraîchement baisée et de goûter le
sperme de son nouvel amant. J'ai léché sa chatte et son clitoris jusqu'à ce
qu'elle jouisse une dernière fois.
« Chéri », m'a-t-elle dit. « Peux-tu nous apporter de l'eau
? » En dépit d'être dur et prêt à baiser, je devais aller chercher de
l'eau. Il était difficile de résister à une demande à ce stade.
Je suis revenu de la cuisine avec deux verres d'eau.
Thibault était dans la salle de bain, il se nettoyait. Cela ne faisait que
souligner le fait qu'il venait de baiser ma femme sous mes yeux. Je n'étais pas
sûr que ce qui venait de se passer puisse être qualifié de plan à trois. Je lui
ai tendu son eau.
La suite la semaine prochaine.
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