Le blog de de la rencontre candauliste

Nous sommes un couple marié depuis longtemps. Nous avons beaucoup essayé sexuellement et nous sommes très proches et compatibles sur ce plan. Ce qui s’est passé l’autre jour m’a donc surpris plus que tout. Mais je ne lui en tiens pas rigueur. Au contraire…

Ma femme travaille dans un bureau et a normalement des horaires de travail fixes. Mais ces derniers temps elle revenait à la maison plus tard que prévu. Au début, je n’y ai pas fait attention. Mais au bout de quelques temps, j’ai été étonné qu’elle disparaisse régulièrement sous la douche en rentrant du travail. Ce qui m’a surpris, c’est qu’elle se douche normalement le matin. Qu’elle se douche deux fois par jours lorsqu’il fait chaud ou qu’elle a fait du sport, je peux comprendre. Mais lorsque c’est presque devenu quotidien, cela cache quelque chose.

Le plus étrange, c’est qu’à chaque fois elle allait aussi rapidement que possible dans la salle de bain, sans prendre la peine de m'embrasser ni de me regarder. J’ai commencé à la soupçonner d’avoir une liaison. Mais nous sommes très ouverts l’un à l’autre et j’avais du mal à penser que son attitude bizarre était liée au sexe. Je n’arrivais vraiment pas à le croire.

Dans mon esprit les images les plus folles ont émergé. J’imaginais comment, où et avec qui elle baisait secrètement. Un homme ? Un dominant ? Jeune ou vieux ? Enrobé ou athlétique ? Peut-être une femme ou un collègue ? Son patron ? A l'hôtel ou au bureau ? Chez lui ? Chez nous ?

 « Son entrejambe était chaud, humide, collant et suintant le sexe »

Je me suis vite rendu compte à quel point c'était cool de m'imaginer ma femme se faire démonter par un autre gars. Je me suis surpris à penser que son gros patron l'avait baisée au bureau sans préservatif et qu’elle prenait donc toujours une douche immédiatement pour rincer le jus de sa chatte. Ma main s’est inconsciemment glissée sur ma bite raide et j’ai commencé à me branler.

La pensée me dégoûtait et m’excitait en même temps. Le sentiment était indescriptible. D'un côté, je ne voulais pas spécialement que ce cochon se tape ma femme, mais de l'autre côté, cette pensée me rendait follement excité.

Il était juste après 23 heures lorsque la porte d'entrée s’ouvrit. Cette fois je voulais savoir. Ma douceur est entrée dans le couloir, ses cheveux un peu en lambeaux et l'un de ses bas en nylon était déchiré. Cette fois, je l'ai serrée dans mes bras et je ne l'ai pas laissée entrer dans la salle de bain. Alors que je la serrais dans mes bras, j’ai senti ses seins sous le pull. Pas de soutien-gorge ! J'ai fait semblant de ne rien remarquer et j'ai laissé ma main glisser sous sa jupe lors d'un baiser copieux. Sa culotte était mouillée. Je l’ai écartée sur le côté pour sentir à quel point sa chatte était enflée, l’entrée de son vagin collante et humide. J’ai soulevé ma femme et l’ai portée jusque dans la chambre à coucher. Je l’ai posée sur le lit. Sans même dire un mot, j'ai relevé sa jupe et j’ai enfoncé mon visage entre ses jambes. Son entrejambe était chaud, humide, collant et suintant le sexe.

« Je léchais sa chatte rasée de près »

Alors que je léchais sa chatte rasée de près, elle a gémi. Je me suis couchée à côté d'elle, massant toujours son clitoris. Mon autre main massait ses gros seins. Quand je lui ai pincé les mamelons, elle a ouvert les yeux de douleurs. Dans le même temps, ma main a touché sa chatte humide. Je me suis mis sur elle et j’ai enfoncé ma bite dans son trou humide.

Alors que je la baisais ardemment, je l’ai regardée dans les yeux et je lui ai demandé « Qui était-ce ? »

« Qui était quoi ? ». Ma question l’avait surprise. Je l’ai baisée plus fort encore et j’ai pincé un de ses tétons.

« Ne me prends pas pour un idiot. Qui t'a baisée ? »

« Personne ».

« Tu pensais que je ne remarquerai pas une telle chose ? Alors qui c’était ? Ton patron ? Un collègue ? Qui ? »

Tandis qu'elle répondait en bégayant, je n’arrêtais pas de la baiser. Il a d’ailleurs fallu que je contienne mon excitation pour ne pas la remplir de sperme.

« Mon patron, le gros cochon, menace de me mettre à la porte si je ne le fais pas, si je ne suis pas toujours à sa disposition » a-t-elle dit avec des sanglots dans la voix.

J’étais tellement excité que j’ai demandé si cela lui avait plu.

« Au début, c'était dégueulasse, mais au fur et à mesure j’ai pris du plaisir à me faire utiliser. Je ne sais pas pourquoi. Je suis tellement désolée chérie ».

J’ai éjaculé au même moment et je lui ai dit à l’oreille : « J’y ai déjà pensé. Toute la soirée, je pense à la façon dont ce cochon te baise. Si tu veux continuer à le faire, pas de problème, mais préviens-moi et envoies-moi un SMS si vous le faites. »

Le lendemain, alors que j'étais à la maison, j’ai reçu un sms de ma femme qui m’a donné la trique…