Quand ma femme se fait draguer dans la rue, ça me rend
toujours fou de rage. Ces inconnus ne pensent qu'au sexe et s'imaginent
sûrement en train de la baiser. Son corps et ses atouts ne sont que pour moi.
Je suis le seul à avoir le droit de jouer avec ses seins et de toucher à son
vagin. À vrai dire, je ne suis pas aussi vieux jeu que ça. On a déjà été une
fois à un plan libertin et c'était plutôt génial. Mon problème, c'est que je ne
veux pas que ma femme m'échappe entre les doigts quand elle trouvera une plus
belle queue.
Comme elle est très belle, Marylin ne passe jamais inaperçue. Ses collègues ne cessent de la draguer. Je pense même que son patron s'était déjà lancé à sa conquête. Ce dernier est un grand coureur qui se met au lit avec toutes les femmes faciles qu'il réussit à séduire. C'est un jeune homme encore plein de dynamisme et qui a le corps bien sculpté. Il a l'habitude de venir sonner chez nous pour mettre au point certains points de leur projet professionnel. Mas jusque-là, il n'y avait aucune relation bizarre entre lui et ma femme. Jusqu'à ce que je le provoque ?
Je ne sais pas trop
pourquoi, mais j'ai attendu que le monsieur vienne faire son coup de pervers
sur Marylin. Je voulais qu'il démontre son sale caractère et qu'il baise ma
femme. C'est idiot je sais, mais je faisais tout pour que la scène se produise.
Je rangeais la maison, j'ai commandé des plats chinois pour notre invité afin
de rendre l'ambiance plus conviviale et moins stressante. J'ai recommandé à
Marylin de se faire belle et de porter une tenue plus féminine si d'habitude,
elle garde son jogging quand elle reçoit son patron.
« Qu'est-ce que t'as ? a-t-elle dit. J'ai juste
répondu que je voulais qu'elle soit plus présentable. Elle m'a alors taquiné en
me disant que son patron n'allait pas la baiser. Tout en riant, j'ai marmonné
« pourquoi pas ! ». Dès que l'homme l'a vu à la porte, il la
contemplait de haut en bas. Il ne pouvait pas nier à quel point elle était
sublime. Il a même gratté un peu sa paume de main comme pour l'exciter.
Pendant les minutes qui suivaient, aucun des deux ne pouvait
se concentrer sur les paperasses sur la table. Les yeux du mec étaient fixés
sur les jambes de ma femme. Et puis, il n'a pas résisté ! Ils ont commencé
à se toucher et l'homme a tout à coup retiré la tunique de Marylin pour
attaquer les préliminaires. J'ai tout vu et j'ai plutôt bien encaissé. Ils ont
fait l'amour sur mon propre canapé, string sur les dossiers professionnels et
chaussures éparpillées sur le sol. C'était peut-être de l'infidélité, mais cela
m'a permis de comprendre que je suis un candauliste.
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