Mon choc se transformait lentement en luxure. Ma magnifique
femme se tenait devant un autre homme qui lui donnait des ordres auxquels elle
obéissait sans broncher. Ma bite était complètement dure alors que je me
demandais ce qui allait se passer ensuite.
- As-tu rempli ton autre mission ? demanda
Christophe avec un sourire espiègle.
Au lieu de répondre, Mathilde a légèrement baissé sa culotte
pour révéler une zone de poils pubiens fraîchement rasée. Cela faisait des
années que je demandais à Mathilde de porter ses poils pubiens en ticket de
métro. Elle m'avait toujours dit non.
- Merveilleux, déclara Christophe avant de se tourner
vers moi, nous préparons ça depuis des semaines. Flirter, envoyer des SMS, se raconter
des histoires de cul. J'ai dit à Mathilde d'acheter de la nouvelle lingerie
pour ce soir et de se raser comme j'aime. Et elle a fait les deux.
J'ai hoché la tête parce que je ne pouvais pas trouver ma
voix.
- Mathilde, j'aimerais que tu viennes ici et que tu me suces la bite.
Mathilde s'agenouilla devant lui et détacha sa ceinture. Je pouvais sentir la sueur se former sur mon front alors que ma femme baissait son pantalon et ses sous-vêtements pour révéler son sexe. Il était définitivement plus gros que le mien. Elle semblait m'avoir oublié alors qu'elle se penchait et commençait à lécher de haut en bas sa hampe.
Quand elle a mis sa bite dans sa bouche, Christophe lui a
dit : « Regarde ton mari pendant que tu suces ma bite. »
Mathilde et moi sommes ensemble depuis plus de quinze ans et
les fellations ne sont plus aussi fréquentes qu'avant. J'ai perçu une
impatience et une faim dans ses yeux alors qu'elle suçait sa bite, une chose
que je n'avais pas vue depuis des années. J'ai commencé à caresser ma bite à
travers mon pantalon.
- Je veux bien que tu t'amuses, mais tu ne toucheras pas à
ta petite bite tant que je ne te l'aurai pas ordonné.
Christophe jouait parfaitement son rôle de mâle Alpha. J'ai
immédiatement arrêté, car j'avais accepté tacitement le contrôle sur ma femme et
sur moi. Et d'une manière ou d'une autre, j'étais d'accord avec ça.
- Bon garçon, dit-il, Mathilde a beaucoup de talent
dans ce domaine. Qu'est-ce que tu penserais si je te disais que ce n'est pas la
première fois qu'elle occupe cette position avec moi ?
Il semblait attendre une réaction de ma part alors qu'il
confirmait mes soupçons antérieurs. Je n'ai rien dit.
- Nous avons décidé d'attendre pour avoir des relations
sexuelles afin que tu puisses regarder, mais elle profite de ma bite depuis
environ une semaine maintenant. Surtout dans son bureau. Elle était nerveuse la
première fois, mais il semble maintenant qu'elle le veuille presque tous les
jours.
Autant qu'elle le pouvait avec une bite dans la bouche, il
semblait que Mathilde souriait. Et visiblement lui aussi.
- Pourquoi n'allons-nous pas dans la chambre ?
Prend une chaise avec toi afin que tu puisses t'assoir et regarder.
Je les ai rejoints dans la chambre. Mathilde était déjà allongée
sur le dos sur notre lit ; son soutien-gorge était enlevé, mais sa culotte et
ses bottes étaient toujours en place. Christophe était déshabillé, il dévoilait
un corps très en forme et musclé.
Il a fait tomber la culotte de Mathilde jusqu'à ses bottes
et me l'a jetée aux pieds.
- Enlève tes vêtements et mets cette culotte.
Je me suis déshabillé lentement. J'étais empli de honte. Il
en tirait satisfaction si je me fie à son sourire narquois. J'ai enfilé la
culotte de Mathilde. Je pouvais sentir son humidité sur ma bite. Mon érection
dépassait par le haut.
- Tu peux rapprocher ta chaise, je veux que tu voies
parfaitement comment un vrai homme fait l'amour à ta femme.
Il monta sur le lit et commença à embrasser Mathilde.
C'était extrêmement sensuel de la voir embrasser cet homme. J'en avais fantasmé
à maintes reprises. Il descendit le long de son corps s'arrêtant à mi-chemin pour
lécher ses gros mamelons dressés. Il les a légèrement pincés et tirés comme
elle aime. Il couvrit son ventre de caresses buccales jusqu'à ce qu'il atteigne
sa chatte gonflée et excitée. Son excitation ne faisait aucun doute. Il a
poussé ses jambes sur le côté et a commencé à lui lécher la chatte.
Tout comme la fréquence des fellations avait diminué au fil
des ans, les fois où je faisais plaisir à Mathilde avec ma langue s'étaient
faites de plus en rares. Je n'ai jamais eu l'impression de l'avoir fait d'une
manière satisfaisante pour elle. Il ne semblait pas avoir ce problème. Il l'a
amenée au bord de l'orgasme à plusieurs reprises avant de reculer pour faire
monter la tension. La peau de son visage et de ses seins était rouge. Elle
s'amusait vraiment. Il inséra un doigt puis deux, tout en continuant à la
lécher. Ses gémissements s'amplifièrent et cette fois, il ne recula pas.
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