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Le jeu du mari cocu : « Il rentrerait après moi à la maison pour nous surprendre en flagrant délit »

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Au cours des sept années, Frédéric et moi avons fait constamment évoluer notre sexualité pour ne pas nous embourber dans les méandres de la routine. Nous avons toujours su faire preuve d’inventivité pour pimenter notre vie sexuelle. Notre jeu préféré du moment consiste à susciter le désir chez d’autres hommes lors de nos sorties. Pas besoin d’aller en club libertin pour le jeu du mari cocu. Il est beaucoup plus excitant de jouer avec des hommes qui n’ont pas forcément l’esprit libertin. Notre terrain de jeu : les bars et les boîtes de nuit. 

Les samedis soirs sont réservés à nos sorties. Tout commence en fin d’après-midi. A la façon d’une top model, j’essaye plusieurs tenues sexy et mon mari joue au juré. A la fin, c’est lui qui décide ce que je porterai le soir. Parfois il exige que je sorte sans soutien-gorge ou sans culotte en dessous de ma tenue. C’est alors le signe que le but ultime sera de ramener quelqu’un à la maison. Ce qui n’est pas toujours le cas. Des fois on aime juste faire « comme si » et on finit finalement la nuit tous les deux.

Une fois dans le bar, nous faisons table à part. Il est en effet difficile pour une femme d’attirer les hommes en compagnie d’un autre homme. Une femme ne reste pas très longtemps assise seule dans un bar. Les hommes ont du flair et beaucoup d’entre eux tentent leur chance. Même quand un homme ne me plaît pas physiquement, je le laisse se perdre dans le labyrinthe qu’il érige lui-même, souvent sans même s’en rendre compte. C’est un peu mesquin mais diablement excitant !

drague

Le jeu du mari cocu : « Du pied sous la table pour lui montrer mes intentions »

D'habitude, tout ce que j'ai à faire est de rester seule quelques minutes et, inévitablement, un gars viendra vers moi. Pendant ce temps, Frédéric, installé au bar, me regarde discrètement. Des jeux de regard laconique s’installent entre nous dès qu’un homme s’approche. Je ne prends pas la peine de cacher mes regards dirigés vers mon homme : avec l’expérience, j’ai pu constater que les hommes aiment la compétition.

Quand la conversation bat son plein et que mon verre se vide, je me débrouille pour que ma proie — même si le mec pense que je suis la sienne, c’est moi qui mène la danse tout du long. Je fais alors en sorte de nous asseoir à proximité de mon mari. À ce stade, le gars n'a aucune idée que nous sommes assis à côté de mon homme. C’était encore une fois le cas samedi dernier.

Eric m’avait fait bonne impression. Ce grand trentenaire aux cheveux déjà grisonnants m’avait abordée après seulement quelques regards échangés. J’aime les hommes qui osent sans tergiverser. C’est une preuve de confiance en soi.

Nous avons bu quelques verres attablés en face de mon mari, qu’il ne pouvait pas voir puisqu’il était derrière lui. J’ai tout de suite senti que le mec ne passerait pas par quatre chemins. Il avait envie et si je lui avais fait comprendre que « non », alors il serait allé voir ailleurs. J’ai donc commencé à lui faire du pied sous la table pour lui montrer mes intentions. Ce soir-là je ne portais pas de culotte sous ma jupe. Il m’a regardé plus intensément encore mais n’a rien dit à ce sujet. Il aurait dit un truc, cela m’aurait ennuyée. J’aurais trouvé cela ringard. Puis son regard s’est posé sur ma main. J’avais fait exprès de laisser ma bague au doigt. Il a souri l’air de dire : « si ça te va, ça me va ».

Le jeu du mari cocu : « je l’ai serrée à travers son pantalon »

Généralement, les hommes me complimentent sur mes jambes. Quand ils sont chauds, ils osent complimenter ma poitrine. Eric, lui, a choisi mes lèvres.

J’ai rigolé et je lui ai dit un peu provocatrice « ah ouais d'accord, c'est tout ce que tu cherches ? » et j’ai posé ma main sur sa cuisse. Nous nous étions en effet rapprochés. Le jeu de séduction marchait superbement.

Il a encore une fois jeté un coup d’œil sur ma main, comme pour me faire dire ce que je ne disais pas.

Je me suis rapprochée de son oreille et je lui ai dit sans chuchoter :

« Nous savons tous les deux ce que nous voulons. Ce soir c’est pour s’amuser. Je veux que tu viennes à la maison. Pas d’inquiétude pour cela » ai-je conclu en lui montrant ma main.

Je l'ai dit assez fort pour que mon mari m'entende. J’ai saisi brièvement la lueur qui brillait dans les yeux de Frédéric. Comme convenu, il rentrerait après moi à la maison pour nous surprendre en flagrant délit.

Ma main a glissé sur sa queue qui commençait à durcir, puis je l’ai serrée à travers son pantalon. Sa main se glissa sous ma jupe et il fut agréablement surpris de trouver ma chatte nue, bien rasée et mouillée. Il a effleuré mon clito avec ses doigts et a dit : « Tu habites loin ? Parce que moi j’habite au coin. On peut aller chez moi si tu préfères. Je ne veux pas t’attirer d’ennuis. »

Aimable de sa part, mais ce n’était pas ce que je voulais.

Le jeu du mari cocu : « le bruit des clés a retenti et j’ai lâché un « oui » de jouissance pour l’accueillir »

« J’ai le goût du risque » ai-je dit en lui prenant la main pour qu’il me suive.

Sur le chemin de la maison, nous agissions comme un couple de jeunes mariés ayant qu’une envie : arriver au plus vite à la maison. Alors que nous nous approchions du but il m’a demandé si je faisais ça souvent. J’ai dit que cela ne le regardais pas tout en laissant sous-entendre que oui. Il n’a pas insisté.

Nous sommes montés et il n’a pas fallu longtemps pour que nous nous sautions dessus. Eric était bien monté et savait s’y prendre. Nous avons baisé sans retenu en plein milieu du salon comme deux amants qui ne se seraient pas vus depuis plusieurs mois. C’est à ce moment que le bruit des clés a retenti et j’ai lâché un « oui » de jouissance pour l’accueillir. Mon mari est arrivé dans le salon. Eric est resté sans voix. Il a arrêté de bouger.

Mon mari, en bon comique qu’il est, a dit : « ne vous gênez pas pour moi. Je vous prépare un thé. Continuez. »

Eric avait perdu son élan, alors pour le relancer j’ai retiré la capote et je lui ai fait une pipe. Doucement sa queue s’est rendurcie. Il m’a dit : « t’es sûre » ? J’ai dit : « A partir de maintenant, tu n’ouvres la bouche que pour me lécher ou me dire des cochonneries. »

Il m’a baisée sans relâche pendant que mon mari écoutait derrière la porte, sûrement en train de se toucher, comme je le connais… 

 

6 commentaires

michelx1945
Le 7 novembre 2018
beau récit et bon scénario....bonne coquine etmari complice j'adore ...
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vega
Le 7 novembre 2018
Oui en effet bon scénario très excitant pour les deux complices ( mari et son épouse ) et surprise pour l'amant de passage
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CandauCple
Le 8 novembre 2018
Très belle écriture ! Sensuelle et racée :)
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gent57
Le 8 novembre 2018
Un jeu sympa, faut bien le dire ! Bien raconté , on a envie d'y être !
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Nath123
Le 14 novembre 2018
J'adore
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stingeractif
Le 15 novembre 2018
wahouh bravo vous avez retenu toute mon attention, quel magnifique conte
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